chapitre 7 : " je crois que c'est la fin. "

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Courant encore dans la rue, je cherchais une place où me cacher. J’ignorais où aller, car si j’allais chez un de mes proches, c’est trop prévoyant pour le dieu des enfers. 

Puis, tout à coup, j’ai une illumination. 

Si Lucifer, c’est Satan, alors Dieu est son ennemi ! Donc je dois aller dans une église. Malheureusement, l’église est fermé aujourd’hui… On dirait bien que je vais devoir faire infraction chez le prêtre. Alors je couru jusqu’à l’église et je fis le tour, et je vis une fenêtre, alors j’entra. 

Tout était calme, assez bizarre puisse qu’on étions mardi le 2 novembre et habituellement, à cet heure-ci, c’était la messe. Donc j’alla me cacher dans le purgatoire, l’endroit où l’on confie ses pêchés. 

je n’avais jamais mis les pieds là, mais c’est fou à quel point je sentis une certaine paix intérieur, probablement parce que je me sentais en sécurité. 

Soudain, la petite fenêtre s’ouvrir et le vis le prêtre Roger, qui me regardait d’un air surpris. 

- Mon enfant, que fais-tu donc ici ? Aurais-tu des pêchés à me confier ? Dit-il tendrement. 

- Non, je.. je, j’ai peur, avouais-je. 

-Peur de quoi, mon enfant ? 

-Un homme me poursuit, commençais en choisissent bien mes mots. Nous avons conclu un « contrat » et il se trouve qu’il a triche, alors il veut que je fasse ma pat du contrat pareil. 

-Écoute petit, tu serais mieux de lui donner ce qu’il veut. Dit-il avec un regard aux yeux rouges. 

-Mais je ne veux pas…. avouais-je. 

Je sursauta, à cause que Roger avait placé ces mains sur la seuil de la fenêtre d’un geste très rapide, presque inhumain. 

-J’ai dit que j’aurai cette âme quoi qu’il m’en coûte Logan. 

Le visage de prêtre commença à se fissurer, telle une poupée de porcelaine, les morceaux tombaient jusqu’à ce que je vis son vrai visage. Merde, c’était Lucifer ! 

Je sorti en vitesse du purgatoire et je couru dans le bureau du vrai prêtre Roger, c’était un horreur. Le cadavre sans vie était au sol, sur une marre de sang, avec la gorge tranché. J’essaya de retirer le couteau avec mes mains, mais c’était peine perdu. 

La porte s’ouvrit d’un coup et Lucifer, sous sa vrai forme était là : il avait la peau toute rouge, des dents aussi pointu qu’un vampire, au-dessus de son visage, il avait deux longue cornes ressemblante à un bouc, mais plus longue et plus pointu. 

Il s’approcha et dit doucement : << Pauvre petit prêtre misérable, il se laisse si facilement berner par un enfant qui pleure, pfff >>. Comment il osait-il dire cela ? Comment osait-il tué des innocents ? 

J’étais prise au piège dans son bureau, je crois que c’est la fin. 

Le pacte du DiableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant