Paris, FR.
William est parti pour une semaine à Marseille pour caler des dates de concerts pour la prochaine tournée de Clément quant à moi je passe mes journées à ranger, regarder la télé ainsi de suite pendant que Clément est au studio pour son prochain album.
Clément ne devrait plus tarder à rentrée alors j'ai enlevé les clés de la porte pour qu'il puisse entrer pendant que je prépare le repas de ce soir, dès Fajitas.
J'entends la porte se refermer très vite et deux mains se poser contre ma bouche m'empêchant de parler, je me fais tirer jusqu'à dans la chambre où je me fais projeter sur le lit et attacher pendant que je hurle à mon secours. Clément entre en trombe dans la chambre alors qu'un homme l'attrape par ses bras pour pas qu'il ne puisse se défendre et pointe une arme à feu contre sa tempe. C'est quoi ce bordel ?
"– Vous êtes qui ?!"
"– Ton petit ami ta pas dit ? Il a vendu pour nous et monsieur est parti avec notre part."
"– J'allais te les rendre Hunter je vais avoir un gros cachet la semaine prochaine fais moi confiance mais laisse ma femme en dehors de tout ça."
"– Deux mois que j'attend, tes belles paroles tu peux les garder pour ta meuf. Apparement tu as su t'amuser avec les filles j'ai su ? Alors pourquoi nous on pourrait pas s'amuser avec TA meuf ?"
J'ouvre grand les yeux choquée en essayant de me débattre alors que Clément pète carrément un câble sur sa chaise avant que le type à ses côtés lui enfonce un violent coup de poings dans la mâchoire le faisant saigner. Le fameux Hunter retire sa veste qu'il jette au sol et se rapproche près de moi une gente de seringue à la main.
"– Détache-moi sale fils de pute."
Je lui crache clairement à la gueule alors que je me prend une violente droite pendant qu'il enfonce l'aiguille pour que le produit se diffuse dans mes veines, me rendant complètement paralysé impossible de bouger ni de parler. Je vois le regard de Clément qui noircis alors que l'un des hommes commence à enlever doucement mon bas alors qu'un autre enlève mon haut pendant que les larmes ruisselle mon visage et que mon regard lance un appel à l'aide envers mon petit ami qui ne peux rien faire.
Pdv Clément.
Assis sur cette chaise attaché impuissant face à une scène d'horreur, quatre fils de pute au dessus de ma femme, qui la touche, la caresse ; rien que d'y penser j'ai le sang qui monte.
J'ai beau bouger dans tout les sens impossible de me détacher je suis impuissant."– Vous êtes vraiment des fils de pute ! Lâchez la putain !"
J'ai beau hurler, crier, jurer, rien n'y fais cette scène me glace le sang et me serre le cœur je ne souhaite à personne de vivre ça un jour.
21:30
Une heure que je fais des aller retour dans les couloirs de ce putain d'hôpital où j'y ai déposé Alix qui a fait un malaise à cause des paralysant et du choc, je n'ai aucune nouvelle d'elle, j'en peux plus, ne pas savoir ce qu'elle a me rend dingue.
"– Monsieur ?"
"– Oui?" Je me retourne.
"– Venez s'il vous plaît."
Je suis le médecin jusqu'à son bureau où il m'indique de m'assoir avant de s'assoir à son tour.
"– Nous avons réussi à réveiller mademoiselle Thomas, on a retiré l'excès de paralysant, nous avons fait des examens et malheureusement avec le choc une partie de sa mémoire s'est effacé. Nous lui avons posé des questions pour savoir où sa mémoire s'était arrêtée et elle nous affirme avoir 17 ans."
L'âge de notre rencontre, ce n'est pas par hasard j'en suis sure.
"– Il faut être très vigilant avec elle, ne pas la brusquer, ne pas trop parler des souvenirs qu'elle ne se souvient pas car en cas d'autre choc sa mémoire pourrait être bloquer sur cette période pour toujours."
Le médecin m'explique qu'Alix va pouvoir rentrer avec moi il m'a aussi donner la liste de médicaments qu'elle aura besoin en cas de migraines ou vertiges on ne sait jamais. Je rejoins donc Alix qui m'attend à l'entrée de l'hôpital complètement perdue.
22:30
Pdv Alix
Après qu'on m'aient expliqué que j'avais perdue la mémoire du à un grave choc, je me suis retrouvé avec ce fameux Clément qui a l'air tout autant perdu que moi, il m'a ramené chez un certain William où apparement on vit depuis quelques jours.
Clément m'a expliqué où se trouvait mes affaires alors je me suis changer et j'ai rejoins celui-ci qui était allonger dans le canapé télécommande en main.
"– Tu ne te souviens de rien? Même pas de moi?" Sa voix était remplis de tristesse.
"– De rien du tout... désolé..."
Une larme coule le long de sa joue ce qui met un malaise dans la pièce, j'essaie de lutter contre le sommeil mais impossible mes paupières se ferment toutes seules, mon corps s'écroule littéralement sur le corps de Clément qui serre ses bras autour de moi alors que je pars dans un sommeil profond.
"– Bonne nuit mon amour."
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Evidencia
FanfictionÉvidence n.f : " Caractère de ce qui s'impose à l'esprit avec une telle force qu'on a besoin d'aucune autre preuve pour en connaître la vérité, la réalité." Hatik & Alix Tomas.