accident

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NDA: Bonjour tout le monde ! Je sais que ça fait pas mal de temps que je ne suis pas apparue mais j'ai eu comment dire ? Une mini-panne d'inspiration ? *fuit ses responsabilité*

PDV Yuzuki 

Je reviens avec ma belle-famille le plus posément possible.

Je m'assois à côté de Taro. La discussion reprend mais je n'y suis pas vraiment.  

Mère de Taro: Vous avez l'air bien fatigué les enfants. On reprendra la cosette demain. Allez-vous reposer 

Je les salue et monte dans la chambre. Je suis soudainement prise d'un vertige alors je m'arrête de marcher. 

Taro: Chérie ça va ?  

Je ne réponds pas et me concentre sur ma respiration. J'ouvre à nouveau les yeux et me tourne vers Taro le plus souriante possible. 

Moi: Oui...ça va 

Je continue ma route jusqu'à la chambre, me change et me couche directement. Je ne pensais pas être si fatiguée puisque je m'endors directement. Pendant mon sommeil, des phrases incessantes prennent possession de mon esprit. Des phrases qui me rappellent des souvenirs d'ailleurs.   

Yuzuki ! Tu ne peux pas partir ! 

Tu es à moi, rien qu'à moi ! 

Ta vie est à Los Angeles ! 

Si tu ne restes pas, tu sais que tu le regretteras ! 

Je reviendrai Yuzuki, crois-moi ! 

On se reverra...

-Moi: NON ! 

De la sueur perle mon front et de légers tremblements secouent mon corps. Je repense à ce mauvais rêve et des frissons descendent le long de mon échine. J'ai peur. Peur. Ce mot qui m'a hantée et qui me hante encore, parfois. J'espérais ne plus avoir à le prononcer ou même y penser mais...  

Je regarde à côté de moi. Taro dort encore. Il ne semble pas m'avoir entendu. A ce moment-là, même son visage d'ange ne suffit pas à me calmer dans ces moments de stress intenses et d'inquiétude profonde.

Je me lève alors, enfile un jogging et un sweat et je vais me défouler dehors. Tout semblait paisible, les lumières étaient éteintes et le calme régnait. Le peu de passants qui étaient là me dévisageaient surement à cause de mes cheveux qui n'étaient pas coiffer et de mon teint rouge. Mon rythme de course était effréné mais j'en avait besoin. Besoin de cette liberté. 

d'un coup, j'entendis un bruit de moteur derrière moi. Il semblait accélérer et me suivre. Je  me retournai pour voir qui c'était mais...rien. un choc immense puis le vide s'installèrent devant mes yeux jusqu'à mon crâne. J'avais mal. Très mal    

Une revenanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant