Chapitre 4

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Hello mes amours 💕
Vraiment désolée j'ai plus de temps à publier ce chapitre , car je suis très busy . Mais je ferai l'effort d'être plus régulière.
Bisou je vous aime. Surtout j'attend beaucoup de commentaires hein . J'adore vous lire aussi 🥰
Bon week-end 💕

                                        ***

Le duc s'extirpa lentement de son long sommeil entrecoupé de cauchemar. Il avait rêvé une fois de plus du corps sans vie de sa petite sœur gisant sur les dunes de sables exposé aux charognard et aux rapace du désert.  Il ouvrit les yeux, les rideaux blancs des baies vitrées laissaient filtré quelques rayons de soleil. Un vint se caresser son arcade sourcilière. Soudain un sentiment de vide lui étreignit le cœur. Quelque chose lui manquait , ou plus précisément quelqu'un. La princesse n'était pas à ses côtés se rendit-il compte avec une frustration évidente..

Il sortit du lit et se mit à fouiller l'immense pièce, mais personne en vue, c'était comme si elle c'était volatilisé. Après avoir passé une t-shirt blanc et un pantalon en lin de la même couleur il sortit de la pièce d'un pas martial.

Arrivée au vestibule, il croisa le majordome, qui transportait une pile de journaux britannique et arabe. Au premier coup d'œil il comprit que leur mariage faisait les gros titres.

-Ou se trouve mon épouse ? demanda -t-il les prunelles dangereusement assombries sur un ton mordant qui fit sursauter le veille homme.

-M-madame l'ambassadrice a emmené la duchesse faire quelques emplette.

Sa voix tremblait et son regard était fuyant nota le duc, il jeta un regard circulaire autour de lui, la posture raide et le regard fuyant des employés n'échappa pas a son sens de l'observation. Quelque chose clochait et semblerait qu'il n'allait absolument pas aimer cela.

-Vous mentez très mal, nous sommes vendredi et tous les magazines ouvre à midi à cause de la grande prière. Alors soit l'horloge est dérèglé soit vous me prenez pour le dernier des imbéciles.

-J-je jamais je n'oserez votre Grace

-Ne vous enfoncez pas plus dans vos mensonges et dites-moi bon sang où se trouve la duchesse.

Le majordome jeta un regard désespéré à la porte principale, avant d'essuyer d'une main nerveuse des gouttes de sueur inexistante sur son front.

-J'attend !

Son ton tranchant ne laissait guère place aux tergiversations.

-Madame la duchesse est partie au palais, lâcha-t-il d'une traite.

Le duc fit craquer sa nuque raide et serra si fort ses poings que le sang déserta ses jointures. Sans mot dire, il tourna les talons et gravit les marches deux pas deux. Une fois dans ses appartements, il prit une douche froide, se sécha rapidement et se vêtit à la hâte. Il referma violement la porte derrière lui avant de se rappeler qu'il avait oublié quelque chose de fondamental : Son arme. Une fois dans sa chambre il se dirigea vers le coffre-fort ou il rangeait quelqu'une des armes avec lesquelles il voyageait toujours. Il se saisit d'un pistolet semi-automatique et chargea l'arme avant de la dissimulé à l'arrière de sa ceinture. Il prit la direction de son dressing et se saisit d'une veste noir qu'il jeta sur ses épaules.
Arrivée dans le vestibule, c'est sans un regard pour le personnel de maison qu'il sortit de l'imposante batiste, au même moment , l'un des employé de l'ambassade garait l'une des imposante jeep de service.

Il contourna le véhicule et délogea le pauvre homme du volant sans une once de courtoisie. Ce dernier se retrouva les fesses au sol, entouré d'une épaisse fumée  de poussière et de sable qu'avait provoqué le démarrage brusque et à toute vitesse du Duc.

-M-mais quel rustre ! s'énerva le médiateur des nations unies en essayant de sauver les reste de sa dignité piétiné.

-Veuillez l'excusez, c'était une urgence, déclara le majordome en venant à la rescousse du pauvre homme.

-J'espère vraiment qu'il s'agit d'une question de vie ou de mort fulmina ce dernier en époussetant son ensemble trois pièces.

-Pire que cela, sa femme a été kidnappé s'exclama le vieil homme en feignant un air dramatique.

-Mais c'est terrible... quel horreur. S'exclama-t-il, avant d'interroger d'une voix pressante le majordome. Son excellence l'ambassadeur est-il présent ?

-Oui dans son bureau, mais il est en vision conférence avec le ministre de la défense en ce mom...

-Conduisez moi immédiatement à lui je vous prie, j'ai des informations de la plus haute importance à lui communiqué.

-Bien, répondit solennellement le fidèle serviteur en notant la mine grave qu'arborait l'émissaire des nations Unies.

-Qui dois introduire ? s'enquit le vieille homme une fois devant le bureau de l'ambassadeur

-Le haut-commissaire des nations unies des droits de l'homme.

-Tout suite.

Au même moment au Palais d'Iglib, la princesse livrait un autre combat d'un tout autre genre.
Cela faisait plus d'une heure qu'elle frappait de toutes ses forces l'immense porte a deux battants du palais. Mais celles-ci restaient résolument fermés. Elle avait tellement martelé la porte que ses phalanges étaient ensanglantés. Des larmes inondaient son beau visage, et tous le personnel était affligé devant une scène aussi déchirante. Mais personne n'osait faire le poindre pas en sa direction. Le cheikh avait été irrévocable, la princesse n'était plus la bienvenue au palais.

-Khaleb, s'il te plait, ouvre moi, pitié, je t'en supplie mon frère. Pas comme ça. Je ne mérite pas ça.

Seul un lourd silence suivit ses suppliques
-J-je te demande pardon, laisse-moi au moins te dire au revoir, laisse moi te prendre dans mes bras avant de partir. Je t'en supplie.

-Mon frère, habib, k...Khaled

Le soleil battait fort dans le ciel et ses rayons n'épargnait pas la princesse qui refusait de s'en aller, malgré les supplications de la femme de l'ambassadeur

-Ma pauvre enfant je suis tellement désolée mais nous devons partir, votre frère ne mérite pas que vous vous mettiez dans un tel état.

-Si vous m'écoutez sachez que vous n'êtes qu'un imbécile, un crétin, un enfant gâté, et borné. S'emporta-t-elle en prenant la princesse dans ses bras, pour la ramener dans la voiture.

Mais celle-ci refusait de partir, avec le peu d'énergie qui lui restait elle cria le nom de son frère si fort que même les lourdes portes en bois massif tremblèrent. Son cri fut déchirant et poignant. De l'autre côté de l'imposante porte le masque d'indifférence que son frère arborait depuis sa venue se fissurait lentement mais surement.

-Putain, grogna-t-il en faisant craquer sa nuque. Il colla son front contre la porte pour dissimulé le trouble et le remord qui le tenaillait les entrailles.

-Tu as le droit de céder de temps en temps, tu as le droit de pleurer, tu as le droit de vouloir la prendre dans tes bras.

Murmura la reine Sadia au creux de l'oreille de son époux en refermant ses bras autours de sa taille.

-C'est là que tu te trompes, un roi se doit d'être fort, les pleurs c'est pour les faibles. Je ne peux aller à l'encontre de mes propres règles. Je les décréter désormais la princesse est persona non grata.

-La princesse toi-même tu l'as dit, mais celle qui se tient derrière cette porte est une duchesse pas une princesse.

-Ne joue pas à ce jeu avec moi femme.

-A chacun ses armes, toi tes lois moi ma ruse mon roi.

-Je n'ouvrirai pas cette porte, faites là partir. Ordonna-t-il en délaissant a grande peine la chaleur du corps de sa femme. Un froid abyssale lui étreignit le cœur mais il refusait de flancher. Elle lui avait désobéit, elle c'était uni à la vermine anglaise, à ce duc de malheur. Son ego refusait de plier devant la morsure venimeuse de la séparation.

Il tourna les talons , mais se retourna brusquement lorsque les paroles de sa femme résonnèrent dans le hall .

-Si je savais que tu agirais un jour de la sorte avec ton propre sang , jamais je ne t'aurais pardonné.

Frappé en plein cœur par ses mots, il marcha droit vers elle, comme un taureau prêt à charger,

-Répète ce que tu as dit.

-Vous m'avez bien entendu votre majesté, maintenant excusez-moi je dois me retirer.

-Tu n'iras nulle part, dit-il menaçant en la retenant par le poignet.

-Lâche moi, tu me déçois tellement. Tu n'imagines même pas à quel point. J-j'ai cru que tu avais changé mais je me suis trompée tu es toujours un homme froid et cruel.

Un tourbillon d'émotions dansait dans les pupilles émeraudes du souverain mais celle qui dominait était la colère.

-C'est la dernière fois que tu t'adresses à moi sur ce ton.

-Sinon quoi ? Tu vas m'enfermer dans les geôles du palais, me faire fouetter à mort ? Que vas-tu me faire, le défia Sadia farouchement en oubliant que son mari était un homme plein d'imagination et de ressources.

-Je vais faire bien pire, si tu ne te calme pas de suite, ne me tente pas. On sait tous les deux comment s'est terminé ta dernière effronterie. Toi sous moi, gémissant comme une diablesse me suppliant d'arrêter.

-Lâche moi, dit-elle en baissant les yeux gêné .

-Hassan,  conduisez la Cheikha dans ses appartements et faites qu'elle n'y sorte pas.

Sadia encaissa l'humiliation dignement, la tête haute et le menton levé, elle toisa son mari et tourna les talons.

-Pas besoin de vous déranger, je connais le chemin Hassan. Par contre dites à votre souverain qu'il n'y est plus le bienvenu.

Sur ces mots elle gravit dignement les marches avant de disparaitre au détour d'un couloir.

-Votre majesté si vous me permettez je pense que vous avez été injuste avec la reine, elle n'a fait qu...

-Mon chère Hassan ne pourrais-tu me dire quelque chose j'ignore ? Je sais pertinemment que je viens de signer mon arrêt de mort, cette petite sorcière va me faire voir de toutes les couleurs, mais mon ego a été plus fort.

Hassan eut un léger sourire avant de reprendre la parole

-Et votre ego risque de vous faire encore plus de mal si vous n'ouvrez pas cette porte.

Le Cheikh ferma les yeux un long moment. Quand il les reouvrit, une farouche détermination pouvait s'y lire.

-Ouvrez les portes toute suite.

Une lumière forte pénétra dans le vestibule une fois que les deux portes furent largement ouvertes. Aussitôt la princesse releva son visage baignée de larme en direction de son frère. Elle baissa les yeux désireuse de lui dissimuler l'ampleur de son chagrin. Son frere détestait les manifestations de faiblesse. Certes après son mariage il c'était grandement radoucit, mais l'ombre de l'homme implacable et intransigeant qu'il avait été forcé de devenir était toujours omniprésente.

-Habibi...

Lorsque la voix de son frère lui parvint , elle crut avoir rêvé ses mots tant il lui avait manqué. Mais lorsqu'elle senti deux bras forts l'étreindre elle reconnut aussitôt la chaleur du corps de son frère. Son parfum vint saturé ses sens. C'était un parfum si familier et réconfortant qu'elle fondit de nouveau en larme. Il la fit se relever, déplia son mouchoir brodé de fil d'or et sur laquelle figurait les armoiries royaux.

-Tu n'es pas très belle quand tu pleures petite sœur.

-Ce n'est pas grave, tant que tu es là pour essuyer mes larmes petit frère. Je te rappelle que je suis sortie du ventre la première.

Le taquina-t-elle en esquissant son premier sourire de la journée.

-J-je suis désolée mon frère.

-De quoi es-tu réellement désolé ? de t'être marié sans mon accord ou d'être tomber amoureuse de cet étranger.

S'enquit le Cheikh d'un ton plus tranchant qu'il ne l'aurait souhaiter. Au final, il ne pouvait plus rien changer. Elle avait à jamais sceller son sort à la vie de cette homme fourbe. Et quand viendra l'heure de vérité, il savait qu'irrémédiablement sa sœur allait avoir le cœur brisé. Il espérait simplement que le moment venu, elle revienne vers lui.

-Je ne pourrais jamais regretter de l'aimer, il est la plus belle chose qui me soit arrivé. Je sais que tu me comprends.

Le cheikh tiqua mais la douce princesse enchaina

-La seule chose que je regrette, ce sont les circonstances, mais toi comme moi savons qu'on n'est pas mettre des évènements et que l'amour peut frapper à tout moment et surtout quand on s'y attend le moins. Et que plus tu le combat plus il s'impose à toi. Vouloir lutter contre lui c'est comme navigué à contre-courant , c'est impossible. Toi mieux que personne peut me comprendre Habib.

Khaleb ferma les yeux frappé par la sincérité qui luisait dans ses yeux si similaires aux siens. C'était la première fois qu'il la voyait si vivante, si combative, si expressive. D'aussi loin qui se rappelait sa sœur avait toujours été un mur de glace, inexpressif, qui encaissait les coups sans jamais rien laisser transparaitre. Au point ou dans  le palais on l'avait appelé la prince de glace. A la différence de son frère, elle n'avait pas hérité du tempérament flamboyant et électrique de leurs ancêtre. Elle était douce et froide à la fois, comme si elle voulait se protéger du monde extérieur, comme si elle c'était résigné à vivre une vie terne et sans saveur. Sa cécité l'avait rendu encore plus timide et réservé. Froide et distante, elle vivait sous l'ombre de son frère. Mais Khaleb nota que quelque chose avait changé. Elle avait changé. Son regard brillait d'une lueur farouche. Que seul l'amour le vrai peut engendré.

-Il ne te mérite pas...

-L'amour n'est pas une question de mérite, ce n'est pas une épreuve de mathématique, ou l'on donne la meilleure note à celui qui a le plus de bonne réponse. En amour il n'ya pas de bonne ou de mauvaise réponse. Et si l'amour était une question de mérite alors tu ne mériterai Sadia.

-Bien envoyé petite sœur.

-Je suis ta grande sœur Khaleb, et j'ai besoin de ta bénédiction pour m'en aller sereine.

Khaleb s'apprêta à répondre lorsqu'un bruit assourdissant se fit entendre, l'horrible son de pneu qui s'entrechoque avec l'asphalte . Au même moment 3 voitures s'arrêtèrent brusquement devant l'allée centrale . Il s'agissait de deux jeeps noir appartenant à sa garde rapproché, quand à la troisième , dès qu'il reconnut la plaque d'immatriculation il sut que sa sœur allait devoir faire face aux foudres de sa nemesis. Elle malheureusement il était impuissant.

Le duc sortit de la voiture et fit claquer les portuaires tellement fort qu'il fit sursauter la princesse qui se trouvait toujours dans les bras de son frère.

-K...Khaleb que se passe -t-il ?

-Il semblerait que ton chien de garde soit venu te récupérer. Déclara le Cheikh d'une voix mordant, assez fort pour que l'injure n'échappe pas à l'intéressé.

Sans relever ses propos, le duc marcha d'un pas tranquille vers eux mais il fut stopper net par une range de garde qui formèrent une barrière humaine l'empêchant de faire un pas de plus.

-Chère beau-frère, demandez à vos hommes de s'écarter de mon chemin immédiatement.

-Sinon quoi...

Au lieu de répondre, d'un geste vif et habile et se saisit de son arme et le pointa sur les hommes du Cheikh  pris de cours. Il ne s'attendait pas à une réaction aussi intransigeante. Malheureusement aucun de portait d'armes, cela avait été interdit a l'intérieur de palais par sécurité de la princesse Yasmine. Cette dernière avait déjà failli se blesser gravement en se saisissant un jour de l'arme d'un des garde qui c'était assoupi dans les jardins du palais. Le Cheikh avait cru devenir fou de rage devant une telle insouciance.

-Maintenant, ôtez-vous de mon chemin où une balle perdu pourrait bien exploser le crâne de l'un d'entre vous.

Plus personne n'osa plus esquisser un seul geste, Khaleb darda un regard réfrigérant sur lui et d'un mouvement de menton , il demande  à ses hommes de s'écarter.
-Rend moi ma femme...

Ordonna le duc en toisant sa némésis du regard. La mâchoire serrée, les muscles tendus de colère, il émanait de lui une aura si menaçante que la présence fit saisi d'effroi...

-A... Alistair pitié calme toi. Intervint  la princesse d'une voix paniquée.

-Toi, tu te tais lui répliqua-t-il en la fusillant du regard, je m'occuperai de ton cas plutard.

Sanae pâlit sous la virulence de sa colère, jamais elle ne l'avait vu dans un tel état de rage. Et pour une fois , elle remercia le ciel d'être aveugle car elle aurait certainement fondu en larme si elle avait déceler la froideur qui recouvrait ses yeux polaires.

-Allons – y ma fille, je refuse qu'un tel carnage me fasse rater le dernier épisode ma série, intervint la femme de l'ambassadeur en refermant sa main autour de l'avant-bras de la princesse.

-Je t'aime Khaleb, j'espère te revoir bientôt.

-Prend soin de ton cœur grande sœur, et si un jour tu en as marre de ton rustre de mari tu es ici chez toi.

Déclara le Cheikh avec une pointe de provocation dans la voix. Avant de la laisser partir il entoura son visage de ses mains gigantesques et déposa un baiser sur son front.

Sanae arriva à la hauteur de son mari, tremblotante, avec une énorme boule d'anxiété au creux du ventre. Elle hoqueta de surprise quand il la souleva violemment pour la jeter sur son épaule. Elle devint toute rouge de confusion et de gêne. Elle savait que c'était une manière pour lui de la punir. Une fois devant l'imposante Suv noir il la jeta sans ménagement sur la banquette arrière, lui mit sa ceinture de sécurité. Puis la portière se referma violement, arrachant un sursaut de détresse à Sanae. Elle gardait la tête résolument baisée, entre ses longs doigts fins, son mouchoirs déjà bien maltraité subissait de nouveau outrages mais résistait vaillamment à ses manipulations fébriles.  Sans en démordre le duc prit place derrière le volant et démarrait en trompe. Le trajet se déroula dans un silence mortuaire, même la veille dame si bavarde de nature semblait avoir perdu de son latin.

-A ce que je vois, je t'ai laissé un peu trop de liberté, sifflât-il d'un ton qui lui fit froid dans le dos. Mais ne t'inquiète pas, je compte  remédier à ce problème très rapidement.

Sanae déglutit péniblement.

-J...je t'en prie, lai...laisse-moi t'expliquer...

D'un coup sec, il freina, retira la clé du contact , et sorti du véhicule, signalant qu'ils étaient arrivés.

-Tes explications tu te les garde, à présent tu vas assumer tes choix et les conséquences qui vont avec.

Des pensées désastreuses assaillirent impitoyablement la princesse. De quelles conséquences s'agissait-t-il.

-Alistair je vous en supplie ne soyez pas trop dure avec elle.

Il se contenta de toiser la vieille dame.  avant que sa grande main se referma sur la taille de la princesse. Il la sortit de la cage d'acier, la jeta de nouveau sur son épaule.
 

Pour l'Amour d'un Duc.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant