Chapitre 8

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Face a se trop plein d'émotions je ne tentais même pas d'aller me coucher.

Après tout, rien de mieux qu'une petite balade nocturne pour se détendre.

Je pris alors lentement ma sœur dans les bras, s'étant endormi sur mon lit un crayon à la main.

Je marcha sans faire le moindre effort pour ne pas la réveiller.

De toute façon je la connaissait, même en la faisant tombé accidentellement sur le carrelage, je doutais qu'elle se réveil malgré tout.

Je la mis dans son lit.

A peine arrivé dedans elle s'engouffra dans les couettes comme un réflexe.

Je ferma alors lentement la porte de la chambre et descendu les escaliers.

Je n'avais pas de manteau malgré le froid mais tant pis.

Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il m'arrivais, moi qui était plus du genre casanier, se genre d'activité nocturne ne me ressemblait pas vraiment.

J'ouvris la porte avec beaucoup de mal.

Celle ci étant rouillé était très bruyante.

Tentant de l'ouvrir sans faire de bruits, je me redis compte que passer par la fenêtre à côté de la porte était finalement plus rapide que de faire tourné la clé de la serrure très lentement.

Je remis les clés dans leur position initiale et sortie par la fenêtre à l'aide d'une chaise.

J'étais donc dans la rue.

Il n'y avait pas un chat, pas une voiture.

L'atmosphère régnant dans cette ville endormi semblait étrange et plutôt menaçante.

Finalement je trouvais la forêt bien plus rassurante et réconfortante...

Peu être car j'avais passé plus de temps dans cette forêt que dans ma propre maison durant mes années de collège...

Marchand a travers ses chemins vieilli et peu emprunté part les gens, plusieurs souvenirs me revinrent.

Il faut savoir que cette forêt dont l'accès était très peu connu a l'époque et même encore aujourd'hui, représentait l'endroit où je passais le plus de temps lorsque j'allais mal...

Et comme la quasi totalité du temps c'était le cas...

J'arrivais alors pas loin de ce fameux lac où nous nous étions promis d'aller avec Sophie.

Ayant l'évident réflexe de m'y rendre je m'arrêtais dans ma lancée.

J'avais promis d'y aller avec Sophie, ce n'était pas le moment de recommencé a tout gâcher.

Je pris alors la direction opposé.

Je continuait alors a arpenter cette forêt.

Aucune route ou chemins n'apparaissait, bien que le chemin me paraissait évident, presque visible.

Me rendant vers l'endroit ou je passais le plus de temps ici je marchais d'un pas exacerbé tellement l'envie de revoir cet endroit était forte.

Je marchais encore quelques minutes avant d'arriver au seul endroit où j'avais pu me détendre et relâcher la pression que je portais chaques jours avec moi durant ces années.

Le bruit de chutes d'eaux était bien plus fort que l'aurais fait une cascade classique, rendant cette endroit absolument unique.

J'arrivais alors a un grillage ou était consigné sur une affiche de rebrousser chemin, jugeant l'endroit très dangereux et sévèrement restreint au domaine public.

J'esquissais un sourire.

En des années rien ne m'était jamais arrivé ici.

Je me baissait alors cherchant le trou que j'avais fait dans le grillage il y a des années.

" - Oh ! Trouvé."

Je m'engouffrais dans l'espace a peine trop petit pour moi.

J'essayais de ne pas me blesser a cause du grillage en fer rouillé, jugeant que se n'était pas le moment d'attraper le tétanos.

Cette idée s'ajouta a ma liste de moyens pour mettre fin à mes jour.

J'oubliais l'instant d'après ces pensées absurde, jugeant cette mort bien trop lente et horrible.

Et puis même, maintenant que j'étais revenu, ma sœur comptais sur moi...

C'était trop tard pour revenir en arrière.

Ça y est, j'étais arrivé sur ce lieux où une partie de ma vie avait fait cour.

C'était un grand barrage automatique ou peu de personne venais sauf lord de travaux ou de modification dans la machinerie.

C'était un grand barrage automatique ou peu de personne venais sauf lord de travaux ou de modification dans la machinerie

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L'endroit était interdit d'accès étant donné la profondeur du vide qu'il avait et l'absence de barrière.

Bien que le barrage soit très épais il fallait mieux éviter de venir durant les jours très venteux.

Je marchais sur le barrage en béton armé me demandant si ce truc pouvais se cassé.

Vu l'épaisseur du truc je doutais même qu'une bombe ne fasse le moindre impact.

J'avais vraiment des idées bizarre...

Je me tournais face a cet immense vide.

L'énorme chute d'eau continuait inlassablement de tomber derrière moi.

Tendis que la rivière tout en bas s'étendait jusqu'à perte de vue traversant comme une ligne bleu le paysage. Celle ci était ponctuer de pont et de bateaux endormi.

Tout a coup un vent glacé vint me mordre les oreilles.

Je me retournais alors en direction de cet événement soudain.

Je fis un mouvement de recule étant extrêmement surpris de se que je voyais.

Je plissais les yeux vers la chose.

Il s'agissait d'un homme habiller tout en noir le rendant très peu visible.

Seul son sourire narquois et mauvais semblait être visible.

Je baissais les yeux et vis qu'il n'était pas sur le barrage...

Comment c'était possible ? Il volais ?

Non...il y avait forcément une explication rationnelle !

Avant que j'eus le temps de me poser plus de questions l'homme s'approcha de moi.

- " Tu te souviens de moi ?

Jamie Bennett. "

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La Sixième LégendeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant