Chapitre 9

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J'étais subjugué.

Nous avions donc raison.

Ces souvenirs factices n'étaient pas le fruit de notre imagination.

Toutes ces choses c'étaient bien produite il y a huit ans.

Et ce croque-mitaine de malheur existait bien.

Il se tenait plus qu'à quelques mètres de moi.

Un horrible sourire malicieux et moqueur restais encré sur son visage noirci.

" - Pitch..."

Le dénommé pris un air satisfait.

" - Je vois que tu te souviens de moi... Tu es effectivement différents des autres.

Il semblerait que mon pouvoir n'est mystérieusement pas beaucoup marché sur toi...

C'est regrettable...

- Qu'es ce que vous me voulez ?

- Tout de suite les grand mots. Je ne fait que mon devoir.

Quelqu'un ma anéanti il y a maintenant huit ans. Plus personne ne me vois a présent. Plus aucun humain. "

Je lui lança un regard interrogateur.

- Tu n'es donc pas au courant toi même ? De toute façon je vais te tuer alors peu importe.

Afin de me venger j'ai fait en sorte que personne ne croient en ce garçon, et j'y veille toujours d'ailleurs. Ce maudit Jack frost. "

J'affichais une mine étonné a l'entente de ce nom. Pitch qui jusqu'alors regardait la lune , se retourna vers moi.

" - Une connaissance peu être ? Tu te rappelle de lui pas vrai ?

- Eu...et bien... oui.

- Je m'en doutais. C'est pour cela que je doit t'éliminé. "

Je réalisa ma bêtise et serrait les points en me mordant la lèvre inférieure.

Quel con je faisais.

Pitch repris ses palabres dans le plus grand des calmes.

" - Tu sais j'aurais aimé éviter avoir à faire ça... Cela aurait été plus simple de te refaire tout oublié comme je l'avais fait a tout les enfants.

Mais étant donné que tu es mystérieusement insensible à ce sort je me vois contraint de mettre moi même fin a tes jours avant que la moindre petite lumière vinrent s'ajouter à leur globe ridicule.

Se n'es pas contre toi tu sais. Tu étais enfants et tu ne savais pas ce que tu faisais. Mais tu as contribué à mon état actuel en aidant les gardiens il y a huit ans.

Et je ne peux te caché ma rancoeur envers toi pour ça !

- J...je....suis... désolé.

- Il est un peu tard pour cela jeune homme. T'es excuses ne valent plus rien. "

Le croque-mitaine s'approcha un peu plus vers moi l'air impassible.

Mon cœur s'emballait.

Ma respiration était saccadé.

Je ne voulais pas mourir comme cela.

Je ne voulais pas mourir maintenant.

J'aurais aimé continuer cette histoire avec Sophie.

J'aurais aimé faire quelque chose de bien au moins une fois avant de mourir.

La Sixième LégendeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant