Chapitre 4 Que Dieu vous bénisse

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"Tout à fait intéressant jeune Harry."a déclaré Albus Dumbledore au sujet du jeune garçon qui regardait toujours le couloir maintenant vide tenant son livre serré. "Peut-être que tu peut l'aider, petit." dit-il en replaçant Harry afin qu'il puisse le tenir mieux dans ses bras. "Peut-être que tu l'as déjà fait." Il a ajouté et a marché vers la pièce où un grand gâteau d'anniversaire était sur le point d'être apporté.

Poudlard avait toujours été beau en hiver. Eh bien, Severus repensait, Poudlard avait toujours été beau, sans tenir compte de la saison. Mais il y avait juste quelque chose à propos de la neige fraîche qui faisait que tout se sentait plus pur d'une certaine façon. Plus propre. Comme si la couverture étincelante de blanc vous donnait une ardoise propre, une occasion de recommencer à zéro. Ou quelque chose comme ça, Severus s'est réprimandé pour ses sentimentalités. Juste ce dont il avait besoin dans un jour comme celui-ci.

C'était Noël. Il n'avait jamais vraiment pris de vacances. Non pas qu'il avait même été partial à n'importe quelle fête; après sa mère était morte il n'y avait aucune célébration notable de quoi que ce soit à sa maison. Les anniversaires et les vacances allaient et venaient sans changement apparent dans la vie quotidienne de son père et de lui. Il prétendait que c'était d'accord, qu'il ne voulait pas fêter ça de toute façon, mais au fond, il l'a manqué. Il a essayé de se rappeler la dernière fois qu'il avait vu un arbre de Noël dans sa maison ou tout autre type de décoration de vacances; sa mémoire lui a manqué. Il haussa les épaules pour oublier ses sombres pensées du passé et se concentra sur sa situation actuelle ; il avait bien sûr choisi de passer ses vacances à Poudlard. Et le dîner de Noël était bien, tout comme la pause d'hiver pendant que le château était presque vacant étudiant sage.

Severus ne pouvait pas croire que les donjons qu'on lui avait donnés pour les élèves étaient réels ; c'était une lutte juste pour empêcher sa classe d'exploser et les chaudrons fondus ! Merlin les chaudrons fondus ! Comment ses élèves avaient-ils réussi à faire fondre quatorze chaudrons à mi-parcours seulement ? Étant donné que les chaudrons détruits auraient été treize mais Sybill Trelawney et ses marmonnements fous au sujet de la malchance apporté par ce numéro -et pourquoi oh pourquoi avait-il jamais eu l'idée de mentionner juste combien de chaudrons fondus il avait à sa classe pendant le déjeuner? - l'avait presque rendu fou; il avait détruit le quatorzième chaudron par lui-même un jour où elle avait visité les donjons juste pour faire arrêter le professeur de divination.

Et en parlant de visites, retour à son dernier problème; les Potiers avaient été invités à Poudlard pour le jour de Noël. Pourquoi? Seul Dumbledore savait. Et, quand vous y avez pensé, même cela était douteux considérant la moitié du temps, il était difficile de voir si les actions de Dumbledore ont été planifiées du tout ou étaient simplement des inspirations du moment. Non pas qu'il ne pouvait pas prévoir. Sévère était bien conscient que le directeur pouvait comploter plus vite qu'il ne dévorait ses gouttes de citron bien-aimées ; et pour ceux qui n'étaient pas au courant, cela était vraiment très rapide.

Peut-être que tout ceci était un complot après tout; peut-être que Dumbledore le testait pour voir s'il craquerait sous la pression. Plausible. Sinon, pourquoi aurait-il décidé d'appeler les Potters avec le sac à puces et le loup-garou ? Et même si Lupin n'était pas si mauvais, le bâtard était impossible, tout comme James Potter. Puis il y avait Lily. Severus ne voulait pas vraiment y aller. Penser à elle avec James sur une base quotidienne l'a rendu malade. Penser à elle avec James pendant les vacances, penser à tous ces baisers volés sous le gui dont il avait été témoin dans sa septième année, était une raison suffisante pour sauter de la fenêtre du septième étage. Quelque chose qu'il ferait s'il ne savait pas voler. merde.

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