"Les déceptions ne tuent pas et les espérances font vivre."
Noir
Noir, c'est noir, il y a plus d'espoir.
Comme un sort qui m'a été jeté, je vivais une vie qui m'était destinée.
Plongé dans le noir complet dans ma chambre, je regardais la vie passée comme chaque jour qui passait détacher du monde réel, je me réfugiais derrière la drogue et Dépassé par les événements, je ne puisse m'en passer de l'alcool. Je subissais les supplices de la vie. Chacun de mes envies n'était plus que des rêves. J'ai tout perdu de ma voiture à mon argent en passant par mon travail. Cette fille, pour qui je pouvais tout faire, m'a tout pris. Elle ne m'a jamais aimée, elle n'en avait que pour mon argent.
Que vais-je dire à ma mère ?
Elle qui s'est sacrifiée pour moi.
Elle qui a réuni ciel et terre pour participer à ma réussite.
Pourrais-je la regarder ?Que vais-je lui dire ? Qu'une fille m'a tout pris. Non, je ne pourrais pas ma dignité et ma fierté ne me le permettront pas une chose est sûre, je me vengerai.
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Babacar Ndiaye était un jeune Sénégalais de 23 ans plein d'ambition et de rêves. Il avait quitté son pays natal pour s'installer en France, convaincu que c'était là-bas qu'il pourrait trouver le succès et la réussite tant recherchés. Cependant, il ne se doutait pas que son parcours serait marqué par une rencontre qui allait changer sa vie.
Lorsqu'il était parti à l'âge de 15 ans, Babacar avait laissé derrière lui sa famille et ses amis, animé par la volonté de prendre son destin en main. Il était déterminé à faire fortune et à revenir dans son pays en tant qu'homme accompli. Mais les années s'étaient écoulées, et à son retour, il n'avait rien ramené avec lui. Malgré cela, il s'efforçait de faire croire à sa famille qu'il était devenu riche et prospère.
Il utilisait son habillement pour créer une impression de réussite. Babacar avait appris à se fondre dans la société sénégalaise, adoptant les coutumes et les manières des gensriches. Il portait des vêtements à la mode, mais la vérité était qu'il les empruntait à ses amis plus fortunés. Sa vie était celle d'un "Diayy Taar", un terme utilisé pour décrire quelqu'un qui cherche à impressionner les autres en affichant une richesse qu'il n'a pas réellement.
Cette façade lui permettait d'attirer l'attention des filles, qui étaient souvent charmées par son apparence élégante. Mais toutes les filles n'étaient pas dupes. Il y en avait une en particulier qui allait lui rendre la vie impossible.
Cette fille, dont le nom était Aïssatou, était tout aussi insolente et impolie que Babacar . Leur première rencontre ne s'était pas passée comme prévu. Babacar avait tenté de lui faire la cour, convaincu qu'elle tomberait sous son charme. Mais Aïssatou n'était pas du genre à se laisser impressionner par les apparences. Elle avait immédiatement rejeté ses avances, le qualifiant de prétentieux et d'escroc.
Cette confrontation avait allumé une étincelle de frustration et de défi chez Babacar. Il était habitué à être admiré et courtisé, et le rejet d'Aïssatou était un affront à son ego. Il était déterminé à conquérir son cœur, ou du moins à se venger de cette fille qui osait le défier.
Au fil du temps, leurs rencontres se multiplièrent. Leurs différences semblaient les attirer autant qu'elles les repoussaient.
Le premier chapitre de cette histoire s'achève ainsi, laissant place à de nombreuses interrogations. Babacar Ndiaye et Aïssatou étaient destinés à se croiser et à se confronter, leurs chemins s'entrelaçant d'une manière inattendue.
La suite de leur histoire promettait des rebondissements, des confrontations et peut-être même une révélation sur la véritable nature de Babacar. Est-ce que cette relation chaotique allait les pousser à se dépasser et à changer, ou était-elle condamnée à se consumer dans une rivalité destructrice ? Seul le temps le dirait.

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" DIAAY TAAR "
General FictionBabacar Ndiaye est un jeune sénégalais de 23 ans parti en France pour réussir. Il ne se doutait pas que le fruit de son travail sera destiné à une fille. Il était parti à l'âge de 15 ans à son retour, il n'avait que 23 ans, mais n'avait rien ramener...