13-Bonheur achevé

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Acte 2: The Underground Evil

Ils partirent donc après avoir fait leur sac pour la journée et après avoir récupéré Conrad

Jason: {S'inquiéter} / {S'en ficher} 

Jason: T'es sûr de pouvoir faire ça sans tes béquilles ?

Salva: Mais oui, t'en fais pas, arrête de paniquer, tout va bien
Par contre, je pense toujours que vous auriez du rester 

Nick: Et t'as une raison de penser ça ?

Salva: Ça fait un an que vous ne faites plus de sport; toi et Conrad

Nick: Et pourquoi pas lui !?

Salva: Parce-que je l'ai vu s'entrainer

Nick: Ha ouais ?

Salva: Ouais, même qu'il est p-

Une main se plaqua soudainement sur ses lèvres l'empêchant de finir sa phrase

Jason: T'es fatigué ? Ouais, t'es fatigué, tu ferais mieux de dormir
Dors, dors, oui, dors

Nick: Tu comptes l'étouffer ou..?

Jason: Je l'étouffe pas, je l'aide à s'endormir, nuance

Salva: Ok, ok, je me tais, je te promet

Jason: Je t'étouffe si tu dis quoi que se soit

Salva: Tu m'aimes trop pour faire ça

Jason: T'es sûr de ça ?

Salva: Ya no (Plus maintenant)

Bien vite, ils arrivèrent à leur point repère mais, ça semblait plus que familier pour les soldats pourtant, ils n'étaient jamais venu là; alors pourquoi ?
Quoi qu'il en soit, il oublièrent vite cette impression et commencèrent à avancer tranquillement, dans la bonne humeur général. Salva semblait également allé bien, elle avançais à un rythme plutôt bon et ne ralentissait pas le groupe, ça semblait dire qu'elle allait mieux, enfin, c'est ce qu'elle laissait voir aux autres

Salim: On devrait faire une pose

Nick: Il a raison, on ne sait jamais, juste pour elle

Conrad: Enfaite, elle avait raison, faut que je me remette au sport 

Salva: Et bien, c'est l'occasion parfaite, tu devrais venir ici plus souvent

Cette dernière était assise non loin du groupe, les regardant avec amusement  

Salva: La prochaine fois, vous ferrez comme Jason et vous apprendrez à vous sculpter un vrai corp de rêve

Jason: Salva !

Salva: Quoi ?

Elle lança un regard provocateur à Jason, faisant rire le reste du groupe mais, les rires furent vite interrompu par un tremblement de terre tout autour d'eux et, ils comprirent ce qu'il se passait quand le sol sous eux commençais à s'ouvrir et, bien vite, ils tombèrent tous chacun dans un trous , faisant s'évanouir chacun de son côté

Ray: Bordel, c'est quoi ce merdier encore ?

Thomaz: J'en ai pas la moindre idée, commençons par chercher Levi, on trouvera ensuite un moyen de sortir

Ray: Ok, Caporal, je vous suis 

Les deux hommes commencèrent donc à avancer dans la pénombre, appelant le Sergent Levi. Les deux étaient sur les nerfs mais ne le laissant pas paraitre pour autant. Quand ils entrèrent dans une nouvelle pièce, ils trouvèrent une femme, en fin de vingtaine, rousse, allongé au sol et inconsciente 

Dans ces ruinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant