Chapitre 1

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Dans une douce matinée d'été ,une légère brise effleurait calmement les feuilles délicates, des chênes puissants. Les oiseaux chantait a plein poumons, prodiguant une mélodie agréable et subtile. Les oisillons piaillaient dans de légers cris stridents pour quelques morceaux de vers ou de pain fraîchement récupérer du sol par leur mère. La mousse des arbres étaient bien verte et moelleuse, légèrement humide.
Au pied d'un arbre assez atypique dans une forêt, un jeune homme fixait quelques animaux ; il s'agissait d'un cerf, d'une biche et de trois petits faons. Les faons était de tailles différentes et l'un avait de minuscules bosses sur la tête nous indiquant qu'il s'agissait d'un futur cerf aux bois massifs et majestueux. Ces animaux lui faisaient penser à sa famille et le fit réfléchir à sa vie d'aujourd'hui.
Cette scène que lui faisait voir la nature, lui fit apercevoir toute son enfance, ses choix, ses obstacles, et sa lourde histoire. Cette histoire lui avait servit de leçon et jamais il ne l'oubliera.
Cette histoire je vais vous la racontez.

Antoine était un jeune homme aux yeux clairs, au cheveux bruns assez raides et aux airs naturellement réservé. Son regard soulignait une grandeur d'âme et son sourire une bonne humeur déconcertante. Ses joues légèrement rosées offrait a ce jeune homme un visage harmonieux et singulier. Son nez assez quelconque était le symbole de la banalité la plus percutante. De plus son front et ses sourcils étaient tout autant simple et normal que tout les autres. Cependant ce visage d'une effroyable banalité le rendait d'autant plus beau et harmonieux que de la neige au mois de décembre. Il n'était ni trop grand, ni trop gros,ni trop petit, ni trop mince. C'était quelqu'un de tout a fait normal.
Mais cette simplicité physique reflétait un esprit complexe, doté d'une grande perspicacité.
Antoine était quelqu'un de fier,toujours droit,la tête haute,le regard défiant tout les passants d'un air méprisant et agacé.
Il marchait droit, ses écouteurs dans les oreilles et les mains dans ses poches. Lorsque il était en fin devant le grand bâtiment il remarqua immédiatement le nombre infernal d'élèves agglutiné devant le tableau d'affichage.Tout ça pour savoir sa classe se dit Antoine. Il attendit patiemment que les élèves rentrent dans le bâtiment puis il se rapprocha de ce panneau. Malheureusement trop distrait par la musique dans ses oreilles il ne remarqua pas le garçon adossé sur le poteau a coté du panneau. C'est a ce moment qu'Antoine le scruta :

Pov Antoine

Ce jeune homme était brun, des yeux d'un noir ébène, qui fixait son portable neuf. Il est plus grand que moi, plus musclé. Ses vêtements était simple mais très beaux: un jean bleu marine un sweat-shirt noir et une veste noire. Soudain il me regarde, je détourne immédiatement le regard et me précipite instantanément vers le tableau pour enfin regarder quelle est ma classe. Je regarde, regarde encore et trouve enfin quelle est ma classe: 1ère H.
Je rentre dans le bâtiment monte les escaliers et enlève mes écouteurs. Je remarque assez rapidement que quelqu'un me suis. Ses bruits de pas sont assez proches,de plus en plus proche ; puis il me dépasse, le type de tout a l'heure,le brun. Il m'effleure et se dépêche de monter les escaliers. Agacé je râle intérieurement et me précipite vers ma classe pour éviter d'être trop en retard. Je toque et entre, c'est a ce moment que je remarque qu'elle que chose qui me rend hors de moi. Le brun agaçants de tout a l'heure est dans ma classe, mais en plus, EN PLUS , il ne restait qu'une place a côté de lui. Quelle poisse !
N'ayant d'autre choix je m'assied a côté de lui au 4e rang. Durant l'heure je remarquait qu'il me jetait quelques regards ce qui commença a m'agacer un peu. Au bout d'un moment je lui dit d'un ton des plus glacial :
Antoine- T'en pas marre de me regarder ? Je suis canon a ce point ?
???- non pas vraiment, t'a juste une marque de lait sur le coin de la lèvre.
Antoine (interieurement) – Oh la honte !
Antoine- ah ok... merci (peu fier de lui)
??? sinon moi c'est Henry et toi ?

Antoine : ......
Henry: hèèè! Je te parle
professeur : Je vous dérange pas au fond ?
Antoine : euh non désolé
A peine ai je le temps de finir ma phrase que déjà la prof continua son cours. Je ne l'aimais pas cette prof, je l'avais déjà eu l'année d'avant. Elle était tyrannique, toujours en train de crier et toujours de mauvaise humeur. A croire qu'elle se levait du pied gauche tout les matins. Elle continua ses explications débile de début d'année et nous donna quelque papiers. Quand la cloche sonna c'était un véritable soulagement.
Antoine : Hallelujah !!
je sortit rapidement afin d'éviter de me retrouver ensevelit sous les masses de gens qui veulent sortir du lycée. Henry me rattrapa et cria un peu
Henry : Tu m'a toujours pas donné ton prénom
Antoine : Normal ! T'en aura pas besoin.
Il m'attrapa le bras et m'arrêta dans mon élan lorsque nous étions enfin sortit du bâtiment bondé.
Henry:Ton prénom?! Dit-il sèchement
je répondis « Antoine » et me détache de son emprise puis marche toujours la tête haute, vers chez moi.

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