Quelques heures après l'altercation avec l'autre énergumène, j'ai enfin terminé les cours. Je rentrai chez moi quand je vu une nouvelle fois, la blonde aux yeux bleu, assise sur le banc de la dernière fois. Cette fois ci elle ne pleurait pas, elle restait juste assise, les yeux vides, comme si quelque chose c'était casser. Cette fois ci je fis preuve de plus de finesse, je m'assieds a côté d'elle, enlève mon sac des épaules et attend qu'elle fasse le premier pas, ce qui mis du temps d'ailleurs.
Après une dizaine de minutes environ, elle brisa la glace ; briser est un peu fort comme mot, mais disons qu'elle mettait du sel sur des icebergs pour les faire fondre. Enfin bref, elle dit d'un ton des plus naturel et déconcertant de ce fait :
???: ça va depuis vendredi ?
Antoine : oui et toi, en fait, je ne t'ai jamais demandé ton prénom. Tu t'appelle comment ?
???: April, et toi ?
Antoine : Antoine
April : Heureux de faire ta connaissance !J'avais l'impression que son humeur semblait fausse, qu'elle faisait semblant pour ne pas attirer l'attention. C'est alors qu'un blanc s'installa, un long blanc, pas de ceux qui nous mettent mal alaise, mais de ceux pour lesquels on ne sait quoi dire. On restait là, assis sur le banc, attendant que l'autre parle ; au bout de 10 minutes je décidais qu'il était temps de m'en aller. Malheureusement on avait la même idée. C'est alors qu'on se leva, prirent nos affaires et s'en alla. Sauf que nous allions dans la même direction, c'était à ce moment la devenu gênant. Pour éviter ce supplice que de marcher l'un a côté de l'autre, je décida de m'arrêter un instant. Force de constater qu'on a les cerveaux branchés, elle fait la même chose. C'est alors que pour éviter que ce ne soit encore plus gênant que maintenant, même si ça peut difficilement être pire je décide de changer de trottoir.
Apparemment ce n'était pas mon jour, je tombe nez a nez avec le stalkeur. Afin d'éviter de devoir me retrouver avec lui pendant une partie du trajet je décide de rechanger de trottoir et de retourner vers April. Arrivé à la hauteur de April on ne parle toujours pas. La pire journée de ma vie.
Mais comme si cela ne suffisait pas il fallait que le stalkeur psychopathe me voit et décide naturellement de m'appeler.
Henry : Antoine ! Antoine !! ANTOINE !!!!!!
Antoine : .......
Henry : Je sais que tu m'as vu arrête de m'ignorer.Henry s'approche alors de nous et entames la discussion. J'ai envie de mourir actuellement me dis-je.
Henry : Alors tu ne me présente pas ta copine ?!
Antoine : Ce n'est pas ma copine !!
Henry : Bah présente moi
Antoine : April je te présente henry dis-je d'un ton agacé
April : t'a l'air enthousiaste dit donc !!!Pendant une bonne partie du chemin Henry la draguais ça m'énervais, un peu, moyennement, beaucoup trop. Je tenais littéralement la chandelle. Au bout d'un moment je décidais d'accélérer la cadence. Je marchais plus vite, beaucoup plus vite, je courrais presque. Au bout de quelques minute Henry me rattrapa cependant April ne suivi pas elle tourna à gauche.
C'est alors que Henry entama la conversation avec son air interrogatif.Henry : pourquoi tu vas si vite ?
Antoine : je n'aime pas tenir la chandelle (de la manière la plus désagréable qui soit)
Henry m'attrape le bras et me fait ralentir puis ajoute :
Henry : t'es jaloux (de façon moqueuse)
Antoine : De toi certainement pas, je la connais a peine.
Henry : non d'elle !!
Je ne savais plus quoi dire a par :
« Non !! » (nda : mdr vous avez trop cru)
Il me prit le bras une nouvelle fois, a croire qu'il l'aime bien, et m'emmène dans la ruelle d'après.
Il me plaque, contre le mur, me regarde et souri. C'est alors que j'ai compris : j'allais rentrer dans son jeu.
Je le retourna, le plaqua a mon tour, et je réussi a le bloquer, peu de temps, mais assez pour lui faire un clin d'œil. Il reprit le dessus et me replaqua, a croire que pour lui c'est un sport.
Pour jouer un peu plus je m'approcha doucement de son visage , dès qu'il lâcha un peu sa prise, j'en profita pour décamper a la vitesse de la lumière en criant : « oublie pour demain, je viendrai pas, et regarde dans ta poche je t'est laissé un souvenir.Je lui avais rendu son bout de papier du matin, et l'avait complété avec le message suivant : TU REVE !!! En lettre capitale.
Enfin chez moi je fus enfin libre du lycée, finalement se fut une journée horrible mais qui finit de la meilleur façons qui soit : l'embobineur alias le stalkeur fut embobiné par la personne qu'il avait embobiné dans son propre jeu.
Comme on dis : on apprend pas au vieux singe à faire la grimace ; à cela j'ajouterai le petit singe apprend très vite de ses ainés.
—————————————————/-/——————-Désolé si ce chapitre a tardé, mais je le trouvais mauvais au début, ducoup je l'es recommencé plusieurs fois, mais enfin le voila
J'espère qu'il vous plaira.
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Love is love
Teen FictionC'est l'histoire d'Antoine un mec banal plutôt mignon qui ne fait pas confiance à grand monde parce que la vie lui a prouver que la confiance est dure à donnée. Il vas alors rencontre un jeune homme et une jeune fille de son lycée et il vas appren...