You'll learn to love me. (Yandere! Masky x Female! Reader) FR

Chapitre 24

« Je me sens nauséeux. »

 J'entendis Liu lâcher carrément. Son corps était tiré le long du canapé alors que sa tête reposait confortablement sur mes genoux. Je suspends mon attention de la télévision alors que je baisse mon regard vers Liu. « Je sais que tu l'es. » Je réponds en tapotant ses cheveux ébouriffés. Je l'entends marmonner quelque chose qui m'est inaudible alors qu'il enfouit son visage près de mon ventre. « C'était quoi ? » Je demande. « Tu es si gentille avec moi, chérie. » Il marmonne contre le tissus de ma chemise. Je hausse un sourcil. C'est dans ma nature d'être gentille avec les gens, je suppose ? Juste avant que je sois sur le point de répondre, Liu ajoute quelque chose d'autre à sa phrase. « Après tout ce que je t'ai fait. Tu me pardonnes toujours, n'est-ce pas ? » Questionne-t-il. je n'ai aucune idée de quoi il parle. Mais comme je le fais depuis des heures, je continue à jouer le jeu. « Bien sûr. » Je réponds, brossant mes doigts dans ses cheveux. Je peux entendre son rire étouffé dans ma chemise pendant qu'il enroule ses bras autour de ma taille. « Tu es si gentiiiiiille... » Il soupire. Je laisse échapper un soupire, tapotant le haut de sa tête. S'il y a quelque chose, il devrait se reposer au lieu de laisser échapper aucun sens d'une seconde à l'autre. Je mords l'intérieur de ma joue et jette un œil à l'une des fenêtres, jetant un rapide coup d'œil à l'extérieur. Le temps empirait de seconde en seconde, et Masky n'était toujours pas de retour. Bon sang, pourquoi suis-je inquiète, même ? Je ne sais pas. J'aimerais vraiment ne pas pouvoir m'en soucier du tout. Je pince mes lèvres, voyageant mon regard vers la porte, comme si Masky pouvait débarquer à tout moment. Cela fait quelques heures maintenant. J'ai besoin de savoir avec certitude s'il est parti. La seule façon de le savoir est d'aller à l'entrée des bois et de vérifier si ma voiture est toujours là. Après tout, Masky est le seul à avoir les clés de ma voiture.

 « Liu, et si tu te reposais ? » Je baisse les yeux vers lui, alors qu'il éloigner sa tête de mon ventre pour me regarder. « Dans ta chambre, je veux dire. » J'ajoute rapidement. Liu laisse échapper un gémissement en se frottant les yeux. « Je veux rester ici. » Il rétorque, saisissant une de mes mains et pressant ma paume contre sa joue. Eh bien, il n'est plus sexy qu'avant, alors c'est bon signe. « J'ai besoin de faire quelque chose. Et tu as vraiment besoin de dormir. Va te reposer. » Je souris, attrapant un oreiller alors que je m'éloigne lentement de Liu, utilisant l'oreiller en remplacement de mes genoux. Liu fronce les sourcils en me regardant me lever. « Oh. » Il marmonne simplement, déplaçant son regard vers le sol. Il a l'air déçu. Si j'ai raison, ça ne devrait pas être trop dur de remonter le moral d'une personne ivre. « Avant que tu te réveilles, j'aurai une surprise pour toi. ». Je lâche la première chose qui me vient à l'esprit. maintenant, je n'ai qu'à espérer qu'il ne se souviendra pas de mes mots, au moment de dessoûler. Liu parvient à sourire légèrement, se levant enfin de sa position détendue. « Ok. » Il répond, s'arrêtant un peu pour se débarrasser de ce que je suppose le vertige de se lever trop vite. « On se voit... euh... » Il semble ne pas être capable de penser correctement et secoue la tête au lieu de finir sa phrase. « Bonne nuit, chérie. » Il attrape mes épaules et dépose un baiser sur mon front. je me tends quelques secondes au contact soudain, mais je me détends assez rapidement. Bon, il ne fait pas nuit, mais bon. « Bonne nuit, Liu. » Je lui fais un signe de la main alors qu'il monte les escaliers, disparaissant dans le couloir.

 Je laisse échapper un souffle fatiguant. Je vais juste faire un petit tour et je reviens tout de suite. Cela ne devrait pas prendre trop longtemps, n'est-ce pas ? Nous ne sommes pas si profondément dans la forêt. Je me dirige vers le cintre et attrape la veste que Liu m'a précédemment donné. J'enfile la veste en ouvrant la porte pour sortir. Mère Nature semble avoir une mauvaise journée aujourd'hui, car au moment où je sors, une rafale de vent me fait presque tomber sur le côté. La neige, qui s'est maintenant pratiquement transformée en glace, n'arrange pas non plus la situation. Je ferme la porte derrière moi, et essaie de relever ma capuche. Même la capuche de la veste ne pouvait pas rester au-dessus de ma tête, elle reviendrait simplement à son état d'origine. Je renonce à essayer de protéger ma tête et de me frayer un chemin à travers le vent et la glace, en faisant de mon mieux pour ne pas glisser et me blesser.