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Point de vue Kirishima :

Aujourd'hui, première fois que je fais le ménage. Je stress, je sais que si je le fais mal, je vais me faire punir et vue ce qu'à dit Bakugo la dernière fois je veux pas vivre ça ! Après mettre préparer, je sors de ma chambre, respire un grand coup, puis descend les escalier et fais comme Bakugo m'as appris il y a quelques temps. Je monte les escalier avec tous ce qui me faut, en haut, je pose tout et commence à préparer.

C'est pas comme ça débile. dit une voix rauque derrière moi que je reconnu instantanément.

AH ! Mais tu m'as fait peur ! 

Je suis terrifiant je sais Tête d'orties.

- Tu fais quoi debout ?

- J'étais réveiller et je savait que t'allais faire de la merde.

- Tu t'es réveiller pour m'aider ! 

- Je l'est pas fait pour toi ! 

- Vraiment ?

- Tch. dit-il en levant les yeux au ciel, je sourie en pensant qu'il a penser à moi. Vas-y fais je te reprends à chaque fois.

- Si je me rappelle bien tu m'as aborder en disant " C'est pas comme ça" !

- Bonne mémoire. Tu dois faire l'inverse.

Comme ça ?  dit-je en essayant d'appliquer ce qu'il me conseille.

Ouais.

- Merci ! 

- Tch. "

Je continua sous les conseils de Bakugo, et franchement il m'a bien aidé jusque là, il me manquer juste de passer la serpillère et j'avais enfin finis ! 

Pas comme ça Tête d'orties ! 

- Mince, comment ?

- Comme le balai t'a l'heure.

- Comme ça ?

- Plus de force tu vas rien enlever là.

- Euh-je le fais bien ?

- Plus fluide t'es con ou quoi ?! 

- Là ! 

- Toujours pas ! Force tout en étant fluide ! 

- Enfin ! 

- Mais c'est pas possible de galérer autant !  T'es vraiment con toi ! cria t'il en se mettant derrière moi et mis ses mains sur les miennes, à ce moment là mon souffle se coupa, je pouvais sentir son souffle sur mon cou. Je suis sûr que je suis tout rouge ! Regarde, comme ça. me chuchota t'il."

Bordel, quand il chuchote comme ça au creux de mon oreille rah ça a fait battre mon coeur à mille à l'heure. Il faisait bouger nos mains pour que la serpillère passe parfaitement, je ne me concentrer même pas sûr ça je ne pensais qu'à son souffle dans mon cou, ses mains sur les miennes et son corps contre le miens, j'étais au paradis. 

" T'a compris ?

- Hein ? Ah- euh- je- j'ai- ouais...

- Ça va ? 

- P-p-parfaitement... "

On resta quelques instant comme ça sans bouger quand soudain il s'enleva, me laissant avec un sentiment de vide incompris. J'ai -par je ne sais quel miracle- réussis à appliquer ce qui venait de me montrer.

Orphans [krbk]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant