je préviens de suite ce chapitre est pas top du tout TvT
Pdv Katsuki
-Eijiro...explique moi ce qu'il t'a fait...je suis pas dupe tu sais...quand tu dormais...j'ai vu les bleus dans ton dos...
Eiji:-je...il..
Il tremble et commence à pleurer alors je le sers un peu plus dans mes bras
-eiji..ça se voit.... tu mange beaucoup moins aussi...et ton sourire est forcé... je le voit bien...
Il se retient de pleurer mais agrippe mon haut assez fort. je ne dis rien et attends sa réponse, vu son état ça ne doit pas être rose tous les jours...
Eiji:-il me frappe...
J'écarquille les yeux et bouillonne de rage, littéralement. je suis brûlant et me retient de ne pas tout exploser autour de moi...
-ton..père ?
Eiji:-Et...je crois que c'est lui qui a... fait ça à ma mère...
-comment tu-
Eiji:-quand on est arrivés chez moi...j'ai vu deux personnes sortir par derrière mais...c'est...c'est de ma faute...
Et il fond en larmes dans mes bras, je ne me suis jamais autant adouci de ma vie et en même temps j'ai une envie de meurtre...
-de quoi tu parles? Ce n'est pas de ta faute...
Eiji:-si... il soupire et reprend, c'était le type qui a envoyé la photo...et le deuxième...
-hey...c'est pas de ta faute..c'est celle de ces deux tarés...
Eiji:-mon père...
-quoi..?
Eiji:-c'était mon père... le deuxième...
Je vais commettre un meurtre...non, deux meurtres.
-mais pourquoi tu l'a pas dit...
Eiji:-la peur...
Oh je suis con, c'est évident...
-oui...pardon c'était logique...
Eiji:- KATSUKI DERRIÈRE TOI !
Je n'ai pas le temps de comprendre de quoi il parle ni de me retourner que je sens un coup violent me frapper à l'arriere de la tête, je ne peux m'empêcher de m'écrouler par terre et de sombrer dans un sommeil profond, beaucoup trop... .
Lorsque j'ouvre les yeux, je suis toujours au même endroit mais eijiro n'est plus là. Je regarde tout au tour de moi et commence à voir flou...
Pdv Eijiro
J'ouvre les yeux à cause de la douleur persistante au niveau de mes cuisses avec beaucoup de difficultés et observe la pièce dans laquelle je me trouve. Je suis assis sur une chaise emplie de pics qui me brûlent la peau, je sens un peu de sang couler le long de ma jambe et cesse de bouger pour que ça n'empire pas. J'ai les mains attachés à la chaise avec un anneau qui lui aussi porte ces mêmes bouts pointus.
Il y a un faible éclairage au plafond qui me permet de de voir un minimum. Il y a une porte juste en face et une table à côté de moi sur laquelle on a déposé des ustensiles, des instruments de torture. Des larmes commencent à couler sur mes joues et le bruit que la porte fait en se claquant me fait sursauter, enfoncant les pics plus profondément encore dans ma peau, me faisant lâcher un gémissement de douleur.
(nda: Le genre de chaise que tu veux même pas voir XD)
La personne en face de moi se met à rire, provoquant des sueurs froides le long de ma nuque, je ne peux distinguer son visage à cause de l'éclairage insuffisant.
Seulement, je reconnais sa voix, cette même voix qui me faisait trembler le week-end, celle qui riait en faisant passer des lames sur toutes les parties de mon corps ou encore celle qui criait en me frappant lorsqu'il était saoul, celle qui me faisait peur au point de me faire faire des cauchemars toutes les nuits, celle qui me détruit.
Il s'approche de moi et commence à resserrer les anneaux sur mes poignets ce qui me fit saigner et pousser un second gémissement de douleur.
Il s'approche de moi et approche sa tête de mon cou, appuyant sur mes cuisses pour me faire souffrir encore plus, il commence à me faire des suçons, ça fait mal et d'un coup je le sens planter ses dents dans ma peau, laissant couler un filet de sang le long de ma nuque.
Finalement, il s'était déjà lassé de me voir souffrir sur cette chaise, il se redresse, semblant avoir une idée derrière la tête et il partit pour revenir quelques instants plus tard avec une chaîne qu'il attacha à mes pieds avant de me détacher de la chaise et de me balancer par terre, renforçant au passage la douleur.
Il s'approche à nouveau de moi et commence à déboutonner ma chemise, et moi, impuissant, je le laisse faire...
Il m'enlève mon haut et contemple avec envie mon torse marqué de cicatrices, il fait glisser ses doigts dessus et me chuchote à l'oreille
-faut pas avoir peur
Il avait dit ça avec une voix menaçante qui me fait trembler. Il commence à lecher mes cicatrices me laissant une sensation de brûlure sur la peau. Puis il attrape ce qui semble être un couteau ou une lame et pose le côté tranchant sur mon vente, appuie pour l'enfoncer profondément et le retire d'un coup sec pour finir par l'enfoncer une seconde fois dans ce même trou pour augmenter la douleur de mon corps meurtri.
Enfin, il arrête, retire la lame pour contempler son œuvre et s'éloigne de moi. Petit à petit, je sens mes yeux se fermer, sachant pertinemment que je ne pourrais les rouvrir, mais trop fatigué pour lutter contre ce sommeil envoûtant, je laisse mon esprit et mon corps sombrer dans les profondeurs des ténèbres. Pourtant, avant ce vide complet j'entends un bruit.
Une explosion.
Des cris.
Le noir complet, plus rien.
Finalement elle était là, la goutte de trop, celle qui nous fait basculer dans un autre monde, celle qui change nos vies à jamais.
Fin
******
947 mots... pas beaucoup mais je ne pouvais pas faire plus (je suis vraiment à court d'idées ^^')
Salut ^^
J'ai eu énormément de mal à écrire ce chapitre qui est surement le dernier ( il y aura peut être un de plus mais ce n'est pas sur )
Personnellement, je trouve que mon histoire part un peu dans tous les sens (l'histoire avec uraraka, le meurtre de la mère de kiri, et la fin) et je pense surtout que le problème de la photo avec uraraka à été réglé trop facilement...(le pire c'est que logiquement ils peuvent toujours la voir sur internet vu que elle ne l'a pas supprimé il me semble...)Enfin bref, j'essayerai de faire plus d'efforts dans la prochaine fanfic que je ferais (si j'en refais) ^^
A bientôt, j'espère :)
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La Goutte De Trop.
Fanfiction[MHA- TERMINÉE] Kirishima souffre depuis bien trop longtemps maintenant. il le cache tant bien que mal mais bakugo commence à se poser des questions... seulement, bien d'autres choses les perturbera tous les deux au point qu'ils se sentiront faibles...