La faucheuse peut se montrer tardive.
Alors l'Homme parfois, prend les devants.
Dans le cerveau cette haine captive
Et fait faire des actes malfaisants.
Le visage, même d'allure frêle,
Soudain, deviens tel celui d'un démon.
Les traits sombres, enfin, il se révèle ;
Lui qui avant possédait un prénom.
Devant ta proie, toi personne cruelle !
Tu regardes couler le sang du mort,
Prends plaisir à voir jaillir la cervelle,
Et n'éprouves pas, le moindre remord.
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Visions macabres
PoesíaDans un univers opposé à l'amour, je viens ici parler de la mort. La mort qui nous fait peur, celle qui est violente ou parfois douce et légère. Elle nous fait peur c'est vrai, mais elle reste tout de même poétique.
