Les chroniques des Quatre Dirigeants

Révolte des Gueux! (chp3)

Il y a quelques jours de cela, un groupe de vaurien à porté atteinte à notre personne.
Imaginez! Cet irrespect, envers leurs ministres qui réalisent en leur faveur, tout ce dont ils ont besoin!

Nous flemmardions allègrement au gré du vent, dans un petit parc situé dans la ville. Au dessus des jeux pour marmots, une petite plate-forme en pierre ou nous observions le peuple passer, ce groupe de va-nu pieds est arrivé. Pour éviter qu'ils ne nous transmettent quelques maladies bien miséreuses, nous avons commencé a prendre congé tout en parlant de leur laideur sans nom. Cela devait être un honneur pour eux, que l'on parle d'eux en public!

Puis, un de ces mendiants vint accoster notre collègue Gamess. Ces paroles futiles, juste pour troubler la prospérité de notre grand ami, Leriche!
Dans un language inconnu, ils le questionnairent: "Eh, t'es son frère? T'es son frère?" Ce a quoi Gamess répondit "Oui, mais dans quel contexte cette information vous serait utile?" Puis, les miséreux, qui semblaient s'ennuyer dans leur bien triste vie pour venir importuner les grands ministres de Lazup, commençait à faire naître  en eux un mécontentement irrationnel, reprirent la conversation: "Askip t'a insulté ma soeur! T'a insulté ma soeur?!" Cette phrase, bien que trop vulgaire pour nos oreilles délicates, semblait s'apparenter à une question.

Mais, l'incroyable Gamess qui, lui, avait compris ce language incertain, répondit, malheureusement pas assez fort pour que ces idiots l'entendent "C'est une blague de bien mauvais goût, que vous nous faites là."

Cette bande de clochards, si je peut les nommer ainsi, on de suite commencé a violenter Leriche, pourtant ils ont posé une question, restée sans réponse car ils ont agi trop vite et sans preuves réelles autres que celles de leur imagination (trop) débordante.

Coups de pieds, coups de poings et autres violences s'ensuivent. Ils étaient une dizaine, trois venus rejoindre les deux nous ayant accosté, et cinq autres restés dans le parc, se soustrayant du groupe, de peur, sûrement. Ils devaient être tétanisée face à  notre puissance, et a la taille imposante de moi, Illou et Gamess (plus Gamess, je pense).

Le plus haut de tout le groupe, sûrement leur "leader" a proposé un affrontement à un contre un a Gamess, qui est rentré dans son jeu, se laissant sûrement emporter par la colère qu'ils aient violenter son frère. C'est excusable, mais moi, très en colère cependant restée calme, je l'emportait . Illou, et moi, avons chassé deux gueux, assez sèchement pour qu'il n'aient pas le cran de revenir, Leriche, la cible de ces attaques, restait calme et avançait sans se retourner. Gamess avait attrapé un malandrin par le cou, sous son bras pour l'empêcher de s'attaquer à Leriche.

Nous sommes finalement partis en leur laissant notre petit square. Comment avaient-ils osé... ils sont sûrs que Illou, ministre des finances, Gamess, ministre de l'intérieur, Leriche, ministre des transports, et moi, ministre de l'éducation, nous vengerions.
Cet affront, de venir nous importuner ainsi ne restera pas impuni, je vous le garanti.

Juste après leur révolte, nous avons imaginé un petit slogan, ma foi fort sympathique, de si nous étions rentrés dans la violence: "La baston tu cherchera. Une baffe de l'espace tu te prendra. Sur Mars tu décollera." (Lazup, 2021)

De plus, si quelques curieux d'entre vous demandent pourquoi nous ne sommes pas mis nous aussi à la violence, déjà car ce n'est pas digne de nous, et en plus car leur tête aurait sali le sol. Imaginez, qu'ils saignent, même très peu, l'humiliation qu'on aurait fait subir au béton...