𝗦𝗛𝗜𝗡𝗚𝗘𝗞𝗜 𝗡𝗢 𝗞𝗬𝗢𝗝𝗜𝗡 - American nightmare.

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[Personnage - 𝐋𝐢𝐯𝐚𝐢 𝐀𝐜𝐤𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧

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[Personnage - 𝐋𝐢𝐯𝐚𝐢 𝐀𝐜𝐤𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧

Oc - É𝐥é𝐨𝐧𝐨𝐫 𝐅𝐚𝐛𝐫𝐞

Appartenant à - 𝐌𝐨𝐢-𝐦ê𝐦𝐞]


Il faisait froid cette nuit-là, le silence était maître de cette soirée horrifique. Le seul bruit possible n'était autre que les crient des victimes et les coups de feu des bourreaux. Cette nuit-là était bien différente de toute celle qu'ils avaient vécu. Lui, Livai Ackerman et ses deux compagnons Farlan Church et Isabel Magnolia. Tous les ans, à un certain moment de l'année, arrive une nuit, une nuit où tous les meurtres possible et inimaginable sont légaux, une nuit où la haine règne sans que personne ne puisse y faire quoi que ce soit. La nuit du purgatoire.


« –Livai, il n'y a personne... Nous pouvons continuer d'avancer, fit Farlan le bras droit et meilleur ami du dit Livai.

–Grand frère ! Je veux botter des culs ! rit doucement la seule fille du groupe. »


Mais elle ne reçut qu'un simple soupir de la part de son soi-disant grand frère. Le trio marcha dans les rues de Los Angeles, chacun possédant une arme propre à lui. Isabel avait une machette déjà tâchée de sang frais, Farlan avait autour de sa taille une ceinture ou était placer un simple pistolet et Livai avait en sa possession une batte de baseball incruster de clou rouillé et rempli de sang. C'était la première rue qu'ils visitaient ou le calme les accompagnés, seul le vent était présent.


« –On se les pelle ici ! gémit Isabel, Farlan ! Passe ton gilet !

–Tu n'avais qu'à prendre le tien, idiote.

–Hé ! Ne me traite pas d'idiote !

–Bouclez-la, ordonna l'homme de petite taille.

–Mais... Grand frère... se plaignit à nouveau la jeune femme aux couettes. »


Isabel se mis à faire la moue quand quelque chose ou plutôt quelqu'un cogna l'arrière de son crâne avec une casserole, oui, une casserole. De même pour Farlan, Livai n'ayant pas pu réagir plus rapidement ce pris exactement le même coup que ses deux amis.


Quelques minutes plus tard, le réveil ne fut en aucun cas délicat, la vue du jeune homme se faisait trouble et quand il put voir enfin correctement, un sourire effrayant se trouvait face à son visage, il en eut un mouvement de recul.


« –N'est pas peur demi-portion ! commença une fois grave et menaçante.

–Putain, je ne suis pas une demi-portion, connard... »

Recueil de 𝗢𝗡𝗘-𝗦𝗛𝗢𝗧Où les histoires vivent. Découvrez maintenant