Chapitre 8 : coma qu'est-ce c'est? Ça ce mange? :

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Je me réveille, il fait nuit et j'ai chaud. Quelque chose me chatouille les doigts. Je tire dessus, non je le pousse pas heu je viens de me réveiller j'ai pas encore tous les réflexes normaux. Je sens un visage, puis une main qui me prends ma main, hé rend la moi j'en ai besoin! Puis je sens des lèvres contre le gras de mes doigts.

«- Marccelo... chut je vais appeler un médecin.

- P... essayai-je de dire à Peter car j'avais enfin reconnu la personne à mon chevet. Putain j'arrive pas à parler, j'ai un tuyau dans la bouche,mais comment j'ai fait pour pas le sentir avant ça!

- Tu m'écouteras jamais, je t'ai dit de ne pas parler.... J'aurais du te dire de ne pas te balader dans ce quartier aussi, c'est ma faute j'aurais dû te prévenir, je .... je vais chercher un médecin.me dit Peter d'un ton larmoyant.»

Ce n'est pas sa faute si un gars de son gang ma tiré dessus quand c'est partit en testicule avec Alex. Merde Alex il est où! Je me redressais sur le lit, dieu que je hais les hôpitaux avec leur foutues chemises qui grattent et laissent mon intimité se foutre le camp, je compris que ce putain de tuyau que j'ai encore dans la gorge (faite qui me l'enlève bientôt) n'était pas assez long pour me permettre de m'asseoir. En gros je suis bloqué dans la position couché, je ne peut rien faire et ... Oh un médecin! Enfin il m'enlève ce tuyau. Que je t'aime toi! Mais hey qu'est-ce que c'est que cette aiguille, où tu croit que tu vas la mettre! Je levais mon bras pour l'en empêcher mais c'est alors que Peter me teint et me glissa tout bas que c'était pour me calmer et qu'il fallait que je dorme. Le gentil docteur me piqua donc et je me rendormis aussi sec.

Je me réveille pour la seconde fois, il fait jour et Alex m'observe. Il a l'air renfrogné, il s'avance vers moi et s'assoie sur le lit avec moi:

«- Au bout de deux jour tu te réveille enfin.

- Deux jour! J'ai dormi deux jour! Et l'enquête?

- Ne t'en fais pas pour ça, en attendant le chef m'a mis avec Valérian sur l'enquête.

J'allais lui répondre lorsque Peter entrant dans la chambre. Mon pire cauchemar se réalisé j'étais bloqué dans une chambre, bloqué dans un lit avec mon frère et mon amant. Super!

- Je suis désolé je repasserai, nous dit Peter

- Non c'est bon, reste Peter. Il serait tant que vous ayez une discussion tout les deux, répondit-Alex en sortant.

Il y eu un moment de flottement entre la sortie d'Alex de ma chambre et le moment où Peter pris la parole.

- Le soir où tu as été interné à l'hôpital je t'ai attendu pendant trois heure au resto, je voyais le moment où je t'assassinais et je t'ai appelé. Quand ton frère a répondu j'ai vite compris que quelque chose clochait, t'inquiète je me suis présenté comme un ami et il m'a dit où tu étais. J'ai jamais autant couru de toute ma vie!se dépêcha de me dire Peter en s'asseyant sur mon lit ( c'est une manie chez mes visiteurs ).»

Je ne lui répond pas, au lui de ça, je l'embrasse. Il plaça ses mains sur mes joues sûrement rappeuses après deux jours sans se raser. Ma langue fit le premier pas et nous nous enlacions dans mon lit qui était heureusement très petit ( oui heureusement car comme ça Peter était collé à moi ). On ne vit pas le temps passé puis Peter repris la discussion:

«- Quand j'ai su que c'était un gars de mon gang qui t'avais fait ça, j'ai failli tous les tuer puis ton frère m'a décris le tireur. Ton frère, il est marrant, tellement qu'il était stressé et perdu de te savoir dans cet état qu'il arrêtait pas de parler, de toi, de lui, de votre enfance.

AmortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant