Chapitre 1: le début du cauchemar

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 Alors voila je suis quelqu'un de chiant donc biensur je me suis mis en pause et j'ai rajouté quelques details infimes à l'histoire mais qui ont une importance donc je reupload (pas sur que ca s'crive comme ça...) voilavoila

Le lundi 14 juin 2013à Grabels,les parents de KevinVaugan, 17 ans, le retrouvèrent mort dans sa chambre avec la fenêtrede sa chambre grande ouverte. Ils décidèrent alors de faire appel àmoi. Enfin la SR fît appel à moi et à mon équipe. Je me présenteMarc Costo, célèbre enquêteur, écrivain à quelques occasions etbeau gosse avec cela!

«- Bonjour M. Costo nous vous attendions je m'appelle Pierre Vaugan et voila ma femme Hélène Vaugan, se présenta l'homme, grand blond la coupe en brosse avec un costume crème d'une très grande marque je suppose.

- Bonjour M. Costo, sniff, je ne comprends vraiment pas. C'était un si bon garçon,bredouilla Mme. Vaugan, elle aussi assez grande pour une femme la quarantaine les cheveux châtains foncés avec des mèches plus claires attachés en chignons qui doit avoir plusieurs heure dans le nez vu le nombre de mèches qui lui tombe sur le visage qu'elle a joli d'ailleurs

- Au plaisir de vous voir dommage que ce sois dans ces circonstances,puis-je voir la chambre et le corps?, dit-je

- Je vous accompagne»dit le père.

Quandje suis entrédans la chambre de Kevin etvis le crack, lespréservatifs et les autres produits dont je tairais le nom jecompris vite que ses parents n'entraient que très rarement dans lachambre de leur môme. Dans la chambre, mon petit frère Alex quiétait accroupi près ducorps, était en train de l'examiner et de prélever des supposéestraces d'empreintes sur le défunt. Aurais-je omis de vous parlerde mon petit frère Alex, qui est bien sur moins célèbre et moinscharismatique que moi. Certes on se ressemble, il est grand, muscléavec les cheveux marron frisés tombant sur son front et les yeuxbleues luipar contre, mais je suis plus beau. Je n'enfais pas trop j'espère?

- «Alors petit frère, des empreintes?

- Ah ah très drôle tu vois bien qu'il n'y a pas de traces a part les marques de strangulation et la poudre bleue que je viens de mettre ne montre rien. Même toi qui a eu ton Bac avec rattrapage, tu pourrais le comprendre. En tout cas il est raide ce qui nous donne l'heure du crime au alentour des 22h30 » m'aboya mon frère qui apparemment ne s'est pas levé du bon pied ce matin.

- Merci je suis à la SR (Section de recherches) depuis plus longtemps que toi! (et tac dans les dents.)

- Si tu le dit, je préfère éviter la confrontation. La victime a été tué par strangulation comme je viens de te le dire et l'assassin portait des gants. En latex je présume.

- Tu présume donc tu n'es pas sûr?le questionnais-je

- Ben non! Y a pas de fibre sous ses ongles il a été tué dans son sommeil.

- Ok.»

Dans la baraque desVaugan, il n'y avait trop rien d'importants à part des meublesanciens qui valaient (et valent toujours je suppose) sûrementtrès cher. Mais je pensais que la piste du cambriolage pouvais êtreexclue car je ne voyais pas pourquoi on métraitune telle mise en scène pour tuer un simple témoin et aussipourquoi avoir épargné lesparents. Le crime passionnel semblait être un piste plus sérieuse,j'allai interroger lesparents du petit Kevinsur les fréquentations de cedernier mais, vu qu'ils n'entraient jamaisdans sa chambre ils devaient savoir que dalle surses relations.

- «Excusez-moi de vous déranger une fois encore mais je voudrais savoir si votre fils avais une petite amie?

- Oui il en avait une, elle s'appelait ...me dit Mme. Vaugan mais elle commença à pleurer au beau milieu de se phrase.

- Elle s'appelait Sophie, Sophie Barnier, elle habite aussi dans le village, dans la rue Charles De Gaulle n° 9, continua le père.

- Je vous remercie je reviendrai vous voir pour vous dire les avancées de nos recherches.

- Merci, me répondirent-ils puis ils rentrèrent chez eux.»

Alorsje m'étais mis en route pour chez Mlle. Sophie et ses malheurs. Jesurpris mon frère entrain de me suivre.

- «Je peux savoir se que tu fous à me suivre bordel?

- Je suis ton nouvel assistant c'est le commandant Gammera qui me l'a ordonné, me répondit mon frère.

- J'ai pas besoin d'un assistant je me débrouille très bien tout seul OK!!

- C'est pas ce qu'en pense Laureline...

- Ok ça va on était en opération et elle s'est prise un balle à cause de moi, mais ça va elle n'est pas morte, elle l'a pris que dans la clavicule!

- Que dans la clavicule mais t'es un danger ma parole, cette balle elle l'a pris parce que Monsieur était distrait par la serveuse du bar (au décolleté plongeant) où il était posté comme couverture. T'es un vrais danger public t'a de la chance qu'on te colle qu'un assistant et non pas qu'on te vire de la SR putain, réveille-toi t'es sur une pente glissante et si tu te ressaisis pas ils vont pas te faire de cadeau.

- Et s'est qui ce «ils»? Je peux le savoir, criai-je. Non mais putain après cet incident tout le monde pensais que j'étais un coureur de jupon et maintenant mon petit frère aussi. P. avait raison personne ne me comprendra jamais!

- L'inspection générale, ils t'ont dans le collimateur. Voilà tu sais tout, maintenant si on allait voir la suspecte. Je suis désolé pour toi frérot et sache que j'aurais préférer être le larbin de quelqu'un d'autre.

- Ah bon première nouvelle l'inspection génitale s'intéresse à moi? Bah c'est moi qui suis désoler j'avais pas à te crier dessus, ce n'est pas ta faute, m'excusai-je.» Et nous reprîmes alors notre route pour chez Mlle Sophie Barnier.

bon pas j'ai rien d'autre a dire hein a plus 

AmortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant