Sous Les Étoiles

52.7K 222 50
                                    

Il était minuit passée ce soir là, j'étais dans les bras de mon amante, caché dans l'ombre au fond de mon emplacement, à l'abri des regards et de la lumière du lampadaire.

Elle était en couple et moi aussi, l'interdit nous a réuni, rapproché et fait frissonner pendant une courte semaine. A l'abri des regards donc, au fond de cet emplacement nous sommes en train de nous embrasser, de nous peloter gentiment. On se donnait rendez-vous tard dans un endroit reculé et calme pour profiter de la chaleur du corps de l'autre. Nous n'avons pas couché ensemble et ce n'était pas au programme. L'amourette d'une semaine que nous vivions se limitait à de longs baisers et caresses à l'extérieur, dans un coin sombre. Ces quelques heures passées ensemble étaient intenses, impossible de se décoller, de lâcher sa langue ou de lâcher son jolie cul. Souvent ma main venait passer sous son pyjama pour attraper ses fesses, mais jamais plus loin.

Nos baisers étaient suffisant car unique et éphémère, nous savions qu'à jamais ils resteraient des souvenirs sulfureux d'un été où nous avions tous les deux franchis un interdis.

Je la retrouve pour notre dernier soir à notre endroit habituel. Elle me voit arriver et me saute dessus, enroule ses jambes autour de moi et m' embrasse. Mes mains tenant fermement ses fesses je la plaque contre un arbre avec mon corps chaud et déjà dur. Mes reins font un léger va et vient que je ne peux retenir et je la sent répondre en resserrant son étreinte dans le même rythme.

Soudainement on est tiré de notre intimité par ce qui ressemblait à une fessée qui claque fort, très fort.

Le petit cri étouffé qui l'accompagne nous arrache un sourire et immédiatement nous fait stopper et nous nous rapprocher discrètement de la tente en question, toujours caché.

Les fessées claquées dans la nuit claire, les gémissements se faisaient plus bruyants. On entendait désormais les coups de reins qui viennent percuter notre chère inconnue. La tente bouge et quelques spectateurs moins discret profite du spectacle nocturne.
Spectacle incroyable d'autant que le cadre est sublime. La nuit est claire, la tente est seule posée au pied de la Dune du Pila que j'ai gravit tant de fois cette semaine.

A la vue de ce spectacle et de son accueil j'ai l'esprit en feu. On continue de regarder ce spectacle en imaginant tout ce qu'il se passe quand je l'attrape et l'attire contre moi. Ma main sur sa gorge, elle dos à moi. Elle est surprise mais autant excitée que moi et ne me retient pas quand ma main glisse dans son maillot, pour attraper son sein. Elle me réponds ne attrapant mon membre bien dur à travers mon short, je l'embrasse et la maîtrise, ne la laisse pas se retourner. Elle commence à me branler, là, sous la lune. Sa main me tient fermement quand je joue avec ses tetons. Les seins à l'air, potentiellement à la vue de quelque curieux bien cachés eux aussi, l'excitation ne fait que grandir.

L'action dans la tente s'accentue. Ponctué par des "oh oui" "baise moi" à moitié discret, je me sens grisé par cette sensation. Ma main toujours sur son cou pour garder le contrôle, je laisse ses seins libres pour passer dans son maillot. Là je découvre qu'elle est trempée, elle lâche un très discret gémissement quand mon doigt effleure son clitoris inondé de désir. Il pénètre en elle rapidement, sa bouche s'ouvre, sa respiration se fait rauque. On oublie la tente pendant que mes doigts découvrent cette femme dans la nature. Deux doigts la pénètrent et rapidement je la sens me comprimer, je la sens trembler et sa main vient couvrir sa bouche quand je comprends qu'elle venait de jouir.

Aussitôt elle se libère de mon étreinte et s'agenouille. Enivrer de plaisir elle baisse mon short et lèche ma bite dure de haut en bas, immédiatement sa bouche s'ouvre et vient gober ma bite, mes mains dans ses cheveux je la guide à peine. De plus en plus profondément elle va, je sens sa langue tourner, ses mains sur mon cul. Je la pousse plus profond encore, elle tousse et recommence. Je baise sa délicieuse bouche quand le plaisir m'envahit. Je ne me retiens et la pousse au plus profond pour délivrer ma jouissance en elle. Je joui, j'ejacule tout au fond de sa gorge et dans sa bouche. Elle avale tout et sourit. Ce plaisir inattendu qui nous a cueilli tous les deux à été exceptionnel et restera gravé dans nos mémoires.

Nous avons terminés avec nos baisers habituels, dans les bras l'un de l'autre avant l'ultime séparation.

La nuit se fait à nouveau calme, on reste là quelques minutes avant de repartir sur nos emplacements respectifs, heureux de ce spectacle et de ce dénouement, des étoiles pleins la tête.

Le lendemain matin, en allant chercher les chocolatines pour le petit-déjeuner, je me permet un détour vers la tente qui transpirait la luxure et qu'elle ne fut pas ma surprise quand je vis deux hommes et une jolie rousse partager le café ensemble.

Chroniques CharnellesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant