Désolée, je publie beaucoup plus tôt cette histoire. Mais il est vrai que j'ai des échanges d'avis à faire. L'Alpha B. Maudit est également inscrit à un concours d'écriture alors j'espère avoir d'assez bons retours sur cette romance. Sur ce, j'ai le plaisir de vous présenter le prologue.
/\ Version non corrigée et non réécrite.
Depuis des milliers d'années, les malédictions sèment le chaos dans le monde. De celle de Toutânkhamon au clan Kennedy, en passant par celle des Templiers, rien n'avait pu les expliquer. Une, méconnue de tous, était sur le point de se réaliser, celle de l'alphabet maudit et seul celui qui l'avait lancé savait comment elle allait se terminer. Et si l'amour funeste n'était qu'un effet papillon capable de créer discorde, mort et tragédie ?
Au cœur de Rome, une jeune fille aux yeux d'or se réveilla, prise de douleurs intenses. Son prénom débutait par un A. Au cours des éveils, la souffrance s'atténuera mais la nouvelle-née était sans aucun doute celle qui devait endurer plus que les suivantes le marquage de son poignet. Brûlante, sa peau fut gravée à jamais, la forçant ainsi à devenir l'une des leurs, une Supramortelle.
Ils étaient nombreux, mais bien cachés, à la fois puissants et vulnérables. Ils ne se limitaient pas aux créatures de la nuit, et c'était ce que craignait les gouvernements qui en avaient connaissance tels que celui de l'Italie. Rome, le berceau des lycanthropes, abritait un être que seule la mort pouvait arrêter, mais là n'était que le commencement. L'histoire de la Lettre Z allait devoir patienter. Attendue de tous, redoutée d'un unique être, le sort des suivantes ne dépendait plus que d'elle.
L'appel de la louve aux yeux cuprifères allait lui aussi, semer l'anarchie et la dislocation d'une famille tout entière. Elle seule détiendra le pouvoir de tout cesser.
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L'Alpha B. Maudit
RomanceLorsque Zélia commence à être traquée par un Supramortel, les questions se précipitent dans son esprit sans parvenir à en déceler les mystères. Seule, elle devra faire preuve d'audace pour ne pas flancher, mais une fois le masque tombé, Basileus lui...