Effy:
Adossé contre un arbre j'essaye de profiter des rayons de soleils qui me procurent des picotements très plaisant aux quelles s' ajoutent d'autre picotements que je ne distingue pas au début.je tourne la tête et tombe sur un Alec la tête niché dans mon cou .
-ça va? M'enquis je
-oui oui effy...c'est ma mère...
Je le regarde tristement et lui relève le visage avant de le prendre dans mes bras
J'essaye de lui changer les idées mais je vois bien que ça ne va pas...sa mère est trés malade elle a besoin des medicaments qui se trouvent en dehors du village seulelent nous n'avons plus le droit de quitter les lieux ces derniers temps d'après les rumeurs ça serait à cause de certaines manifestations là bas...les guerres vont recommencé...
Nous restons allongé avec Alec jusqu'a ce qu'on enttende des bruits de pas un peu plus loin on se relève rapidement noys préparant à voir un soldat mais au lieu de ça c'est un jeune homme au cheveux bleu et violet qui apparut complètement essoufflé:
-oli...dis je anxieuse.
Quelque chose de mal est arrivé sinon oliver ne serait jamais venue ici.celui ci regarda Alec avec un voile de tristesse sur le visage essayant les larmes qui coulait le long de ses joue.oliver était le grand frère d'alec il avait un an de plus que nous.
-Alec tu ferais mieux de rentrer.
Les regards d'alec se vida de toute emotions
-Qu'est ce qui est arrivé à maman? Murmura t il
-maman va bien dit oliver
-alors qu'est ce que...
-Je ne peux...je...alec...viens voir par toi même s'il te plait dit oliver en implorant son frère du regard tendis que ses sanglot redoublait...nous suivîmes oliver tendis que j'essayais de calmer mes battements de coeurs...j'avais peur..pas pour moi..pour Alec il traverssait tellement de chose ces derniers temps...nous arrivâmes enfin devant la maison d'Alec où était rassembler plusieurs personnes un viel homme s' approcha de nous et pris Alec par les épaules.
-Je suis désolé mon petit...il voulait lui chercher ses medicaments mais les gardes lui ont tiré dessus et...et maintenant c'est trop tard...tu dois rester fort mon petit... dit le vieu monsieurs on libérant quelques larmes.Alec se dégagea de l'emprise de cet inconnue et s'avança parmis la foule je le suivai en tremblant comme jamais.Il s'arreta enfin et je poussai un cris devant le spectacle qui se tenait devant...le corps inerte du père d'Alec reposait à nos pied...je me tournai vers Alec les larmes aux yeux et lorsque nos regards se croisèrent je sus que...quelque chose en lui avait été détruite...