III

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Valentina

Bon Dieu, est-ce que j'embrasse réellement Marco là ? Je ne sais même pas quoi dire à part que c'est divin. Pourquoi j'ai résister à ça tant d'années ? S'il baise aussi bien qu'il embrasse croyez moi sur parole que je vais faire en sorte d'être souvent seule dans une pièce avec lui.

Je finis par me rendre compte que je n'ai toujours pas répondu à son baiser et m'exécute dès que je m'en rends compte. Me demander pas comment je me suis retrouvée à califourchon sur lui, même moi je n'en ai aucune idée, la seule chose que je fais de moi-même c'est mettre ma main dans ses cheveux et les tirer quand il lèche ma lèvre inférieure. J'ouvre doucement ma bouche et instantanément nos langues se mettent à danser un ballet digne du Lac des Cygnes. Je ne sais pas depuis combien de temps on s'embrasse, la seule chose que je sais c'est que je sens sa queue sous mes fesses et que ça me fait un effet incroyable.

Je ne sais quelle mouche me pique mais me voilà en train d'enlever son t-shirt à Marco, je me mets presque à baver devant son corps, on dirait qu'il à été taillé dans le marbre. Il ne me laisse pas vraiment le loisir de me rincer les yeux car mon haut rejoint rapidement le sien et nos lèvres sont de nouveau collées ensemble. Je commence à rouler des hanches, on gémit chacun contre la bouche de l'autre, sans crier garde, Marco se lève et me porte jusqu'à sa chambre sans arrêter de m'embrasser, il me dépose plutôt délicatement sur son lit et ne tarde pas à nous enlever le peu de vêtements qu'il nous restait, pendant qu'il part à la recherche d'un préservatif dans sa table de nuit, je balance la sangle de mon attele à travers la pièce, si on peux essayer de faire un peu moins tue l'amour je suis pas contre. Il revient vers moi après avoir enfiler le préservatif sur lui, je prends le temps de détailler son sexe dressé devant mes yeux. Je me maudis intérieurement de ne pas avoir savourer ça avant. Si j'avais su qu'il était comme taillé et membré comme ça sous son équipement croyez moi que j'aurais tout fait pour l'avoir à mes côtés depuis longtemps.

Il se place enfin devant mes cuisses ouvertes spécialement pour lui, il me regarde comme si j'étais la 8ème merveille du monde, ce qui m'excite encore plus. Je mets ma main à l'arrière de sa nuque et le tire gentiment vers moi, je plonge mon regard remplis d'envie dans le sien.

Fait en sorte que même l'immeuble d'en face sache à quel point tu me donnes du plaisir.


Il sourit en coin et m'embrasse avant de me pénétrer avec un coup de rein violent. Mon Dieu je vais défaillir, c'est tellement bon. Je gémis quand il commence à faire des vas-et-vient, je mets ma main dans ses cheveux et les tire à chaque fois qu'il s'enfonce plus profondément en moi. Chacun de nous gémit sans retenue. J'enroule mes jambes autour de ses hanches tout en levant mon bassin pour le recevoir au complet. Plus le plaisir monte en moi, plus mes ongles s'enfoncent dans son dos, pour y laisser des stries rougeâtres. Ses coups de rein s'accélère, m'emmenant au plus proche de l'orgasme, je le sens se tendre contre moi en gémissant contre mon oreille, quelques coups de rein en plus et je le rejoint en jouissant, je le sers contre moi en gémissant son nom.

Il se laisse retomber doucement sur moi tandis qu'on reprend peu à peu notre souffle, je caresse du bout des ongles son dos pendant que lui caresse du bout des doigts mes côtes. Après être descendu de notre nuage, il se retire et va jeter le préservatif avant de me rejoindre sous les draps, je pose ma tête sur son torse pendant qu'il passe ses bras autour de moi pour me serrer contre lui. Je me redresse et dépose tendrement un baiser sur ses lèvres en guise de bonne nuit et remet ma tête sur son torse pour y finir ma nuit.

Quelques heures plus tard, une sonnerie stridente me fait sortir de mon rêve merveilleux, j'ouvre un œil en sentant Marco gigoter dans tous les sens en râlant. Je me redresse et le regarde en souriant, même au réveil il est beau comme un Dieu, ses cheveux en bataille et son visage encore à moitié endormi me fais fondre. Il se tourne finalement vers moi et m'embrasse délicatement, je sens que je pourrais m'habituer sans problème à ce genre de réveil, sauf pour la sonnerie stridente.

It's not just slidingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant