Ils me protègent jusque dans ma chaire,
Ces doux Yokaī évadés de leurs terres.
Ces esprits malins n'étaient pourtant pas fait,
Pour, par un humain, être adoptés ?Peut-être ont-ils sentis que j'aurais la force,
D'être à leurs côtés, une bête féroce.Car ils le savent encore mieux que moi,
Que mes rêves les plus fous : je ne les lâcherai pas.
Oh non je ne baisserai jamais les armes,
Pour sauver toute entière la contrée de mon âme.
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Si je pouvais repeindre le monde...
PoesíaQuand le bazar sonne dans ma tête, les mots sur des pages s'expriment selon la vague de mes émotions. Ils donnent naissance à des textes, qui ne tiennent pas toujours leurs promesses, mais qui parfois pourront, je l'espère, sonner juste à vos oreill...