Chapitre 3

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Il devait être à peu près midi, finalement je n'ai rien manger.
Je me remis à marcher en pansant à leur doux sourires qui rayonnait autrefois,

c'est pas fini n'est-ce pas ? Tant que j'abandonne pas y'aura toujours de l'espoir...
Même si elle a déjà baisser les bras.
qu'ils se retiennent de verser leurs larmes nuit et jours, qu'ils cessent d'espérer.
Moi je ne m'arrêterais pas, je ne m'arrêterais jamais.

Tant que je serais là, tant que je ne les oublie pas, on finira ensemble.
C'est promis.

Je continue ma marche dans les endroits reculer de Tokyo,
Les rues sont étroites l'impression de me serrer un peu plus des murs à chaque pas.
Les rayons du soleil ne traversait pas là villes contrer par les haut bâtiments qui retenaient la lumière.

Elles sont également désertes et ça à apparemment le don de me rassurer.

D'un coup une goute frôla mon front venu se loger sur mon nez dévalant mon visage jusqu'à trouver barrière sur le sol qu'elle avait atteint d'une lenteur exaspérante.
A terre elle s'était éclater ne laissant qu'une empreinte d'eau sur le sol sec et bétonné.

Puis sans trop de précipitations, la pluie venait caresser mes douces oreille en s'abattant sur mon chemin venu rafraîchir chaque parcelle de mon corps.

Je ne pouvais que marcher en baissant la tête...
Mes jambes nues tremblait à chaque goutes.
Mes cheveux entièrement mouiller et mon pull trempée devenue noir à cause de l'eau ayant foncée la couleur.

Je continuer ma promenade jusqu'à ce que j'atteigne le bout d'une ruelle me menant à un grand terrain sans le moindre brin d'herbe.

En m'avançant peu à peu, je compris sûrement grâce aux pierre tombale qui longeait tout les petit carré de béton que je me trouvais malgré moi dans un cimetière.

Il faisait sombre, j'avais l'impression d'être observé,
Sûrement parce que j'ai l'impression de faire quelque chose de mal.

Je regarder les noms des personnes décédés qui reposaient en paix sous le sol glacé.

Tout en affichant un sourire désolé.

On vit pour mourir non ?
On est destiné à cette fin quoi que l'on fasse quoi que l'ont ai.
Tout ce qu'on laissera dans ce monde ce seront les souvenir partageait avec nos proches puis lentement années après année on finira par s'effacer entièrement sans plus personnes pour se rappeler de nous ni même de notre visage ou de notre noms on disparaît simplement.

le vent mêler à la pluie commencer à frapper à pleine force sur mon corps faible...

Je continue d'avancer cherchant désespérément un abris quelconque dans lequel me réfugier,

Jusqu'à ce qu'une ombre commence à se dessiner dans les profondeurs du paysages...

je m'avança jusqu'à elle.
Un homme sûrement.
Un corps mince son visage recouvert d'un parapluie noir.
Je ne parvenais pas à distinguer son visage mes yeux ayant du mal à s'ouvrir d'avantage.

Il se maintenait droit devant une tombe,
La pierre où était gravé un nom "Shinichiro Sano"

L'homme avait l'air perdu dans ses pensée c'est à peine s'il avait remarquer ma présence...

Mais je partage sa peine.
Perdre un proche c'est un sentiment atroce...
un manque qui ne disparaît jamais ce désespoir est sans fin.
On ne trouve réellement le repos que lorsqu'on le rejoint.

Je resta silencieuse au côté de l'inconnue dont les yeux n'avait pas quitter le sol.

Le vent traversant chaque branches emportant avec elle des dizaines de feuille sur son passages « Je suis désolé » dis-je d'un ton mélancolique

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