Chapitre 4

101 7 3
                                    



Des voix inaudibles se fit entendre déformés par Les Échos je ne décerner pas le nombre de personne ni leur direction...
Seulement je sais que je suis sur une chaise les yeux bandé, la bouche scotché, bras et jambes attacher...
En fait je me suis fait kidnapper sans me faire kidnapper ?

Ce Sanzu est vraiment un détraquée et ceux qui le tolère sont vraiment cons...
Je ne sais pas combien de temps j'ai passer ici, ni combien de temps je resterais encore comme ça...

Tout ce que je sais c'est que j'ai faim.

Des pas se rapproché de plus en plus, il était distinct et lent.
Il se presse pas eux...

La porte s'ouvre soudainement.

???: Réveillée ?

Une voix singulière et abattue...
Pourtant familière ?

??? : Sanzu je crois que t'as forcer sur la drogue.

Il m'ont droguer ? C'est pour ça que je me sens bien ?
C'est pas désagréable...

J'étendais l'homme soupirait qui s'approcher de moi diminuant la distance a chiqué de ses pas.
Il retira le bandeau de mes yeux dégoûté.
Mes yeux était alors ouvert je suivait ces gestes du regard attentive aux moindres de ses mouvements lent et sec.

J'y trouver un certain réconfort en sa personne.
Appréciant la vue qu'il m'offrait.
Même si c'est parce que j'ai prononcer son nom que je suis là...

-je suis ou ? "Rindou"

Il ne répondit pas à ma question  « t'as eu de la chance le sol est froid »
se contentant seulement de déserrer les liens qui me retenait fortement à la chaise en bois.

Je soupira face à son silence...

Et je trembla face à Sanzu qui venait à l'instant d'apparaître de nouveau devant les yeux..

Sanzu : j'adore l'effet que j'ai sur toi~

Rindou : Pourquoi elle est là ?

Sanzu : il l'a amener avec elle, il a pas donner d'ordre.

Sanzu dériva ses yeux afin de poser son regard sur moi « pas encore »

Rindou : et tu vas en faire quoi ? Puisqu"il" n'as pas donner d'ordre ?

Sanzu : tait toi si elle sait que j'ai pas le droit de la toucher c'est tout de suite moins drôle dit-il en croyant chuchoter à Rindou...

-en plus d'être fou il est con..? Apprends à maîtriser la porté de ta voix j'ai tout entendu connard.

Rindou lâcha un rictus après ma phrase ce qui ne manque pas de frustrer Sanzu.










j'entra dans la salle que Rindou m'avait pointer du doigt, je ne me sentais pas a l'aise a l'idée de servir sexuellement un inconnu mais pour eux je ferais n'importe quoi.

j'ouvre la porte et traversa le pas de la chambre, l'atmosphère était particulière, on se sentais a l'étroit alors que c'est immense, c'est sombre mais la lumière est allumer, ca sent bon mais l'odeur est dérangeante.

je regarde un peu plus la salle, il y avait un lit au milieu, une grande baie vitrée dont les stores était baisser ne laissant aucun rayons la traverser.

il y avait une grande table avec seulement une chaise...

j'avançai doucement par peur de voir mon "client" et derrière une séparation murale était affalé sur un canape de cuir marron, un garçon au cheveux d'un blanc grisâtre tout vêtu de noir, le regard vide comme briser diriger sur le plafond.

?? : c'est qui ? Dit-il d'un ton saouler...

Je ne répondit pas, bouleverser par la tension et son timbre de voix abattu...
Mais aussi de son mal être.

Il se décide enfin à regarder par lui même qui était présent, Mais il ne me connaît pas, pas encore.

Il se leva dérouté, en soupirant

Il m'approcha ses mains dans les poches par une démarche irritante son regard poser sur moi.
Il avait des yeux d'un noir profonds des cernes creusés en dessous.

Il n'était plus qu'à quelque centimètres de mon visage, je ne tremblais pas face à lui mais je me sentais m'effondrer.

Il bougea enfin après un long jeux de regard, afin de mieux laisser apparaître un pistolet qu'il tenait dans sa main.

Il retira la sécurité de son flingue le positionnant sous mon menton, son doigt sur la détente faisant mine de la presser lentement.

-on m'a dit que tu était effrayant, mais tu me fait plus de la peine...

Il crispa les yeux à l'entente de mes mots sans pour autant détourner le regard, son visage devenue impassible, il me regarder de manière sombre.

?? : sort.

Je ne bougeais pas même s'il m'en menacer...

?? : sort.

J'hocha la tête négativement, son arme suivait mon mouvement.

?? : je t'ai dit de sortir !

J'ai connu pire qu'une arme pointer sur moi.
Qu'un inconnu prêt à me tuer...
Il ne me fait pas peur et si je suis devant lui aujourd'hui c'est que je suis prête à tout pour eux...

-je suis là pour l'emploi, et si tu me demande de m'en aller sans aucune raison c'est un licenciement abusif.

?? : je suis le boss du Bonten, j'en ai rien a foutre de ton licenciement.

-tu n'a pas à me virer parce que je suis là seule à t'avoir dit ce qu'elle pensait qui plus est la vérité.

L'inconnu baissa son arme jusqu'à ma poitrine.
Mon cœur battait de plus en plus vite, j'avais terriblement peur mais je ne laisser rien transparaître...

?? : t'as peur.

-comment tu le sais ?

?? : tu viens de le dire.

-...

Je détourna le regard embarrassé par mon idiotie et cela sans dire un mot...

Je sentais le poids de son regard peser sur moi.
Un sentiment agréable s'empara de moi avec une sensation de chaleur étouffante...
C'est étrange.
Je me sent bien mais aussi mal, j'ai envie d'lui parler mais aussi de ne rien dire, de le regarder dans les yeux sans croiser son regard...
J'aimer la proximité mais j'avais envie de reculer.
Envie de rester mais de m'en aller.

-c'est Nayo...dis-je en bafouillant.

Je finis par le regarder de nouveau, j'était comme absorber par son regard qui ne me quittez pas,
Il paraissait étonné.

?? : si t'étais pas aussi près, j'aurais rien entendu.

-d'ailleurs...,tu peux pas reculer ?

?? : d'habitude elles font tout pour m'approcher autant.

Il recula en deux pas bien distinct, prolongeant la distance entre nous.

-fais pas de généralité.

?? : Nayo c'est ça ? Donc t'es une prostitué ?

-non, enfin si mais la tienne...

L'inconnu esquissa un tout petit sourire, en me regardant.

-qu'est-ce qu'il y a ?

?? : rien, rentre chez toi.

-hein ? Pourquoi ?

?? : je sais pas pour quel raison t'es là mais c'est pas fait pour toi.

-j'ai choisi de devenir ton outil me le fait pas regretter, c'est bien trop important pour que je parte.

---------------------------------------

NDA : je suis désolé je ne terminerais probablement jamais cette histoire, je publi uniquement car il était déjà prêts.

L'outil...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant