[LCDP/La Casa de Papel] Le jour où tout a basculé.

Chapitre 1: Une entrée en beauté.

Dans un petit appartement, situé dans une ruelle de Madrid, habité un couple, des futurs parents... Alicia et German Sierra étaient mariés, et attendaient une jolie petite fille... La future maman arrivait bientôt à son terme, mais cela ne l'empêchait pas de partir travailler chaque matin.

"DRING !!! DRING !!!" sonna son téléphone.

Alicia décrocha.

"Mhh? Pourquoi m'appelez vous si tôt? Il est 4h du matin !" grogna Alicia.

"Nous avons besoin de vous, une prise d'otage, nous vous envoyons une voiture, inspectrice Sierra." répliqua son supérieur.

"D'accord... je me prépare et j'me pointe au lieu de rendez-vous." répondit l'inspectrice.

Son mari fut réveillé par la sonnerie du téléphone.

"Qu'est-ce qu'ils te veulent encore ces enfoirés ?" grogna German.

"Une prise d'otage, une voiture m'attend, je dois y aller." répliqua Alicia.

"Oh l'horreur ! Tu es enceinte jusqu'au cou mon amour... reposes toi s'il te plait." proposa German.

"Pas de repos pour les battantes ! Et ma petite fille en est une !" s'exclama Alicia en montrant son ventre avec ses deux mains.

German leva les yeux au ciel, sa femme était têtue comme une mule, et il le savait très bien. Alicia se leva tant bien que mal de son lit, son ventre était énorme... Elle se regarda dans le miroir...

"Regarde... on dirait une baleine !" constata Alicia en pointant son ventre du doigt.

"Ma petite baleine à moi, alors..." ria German en s'approchant de sa femme pour lui voler un dernier baiser avant qu'elle ne parte.

Alicia descendit les escaliers en se tenant bien à la rampe, ses jambes étaient gonflées, elle avait du mal à respirer vu l'effort qu'elle faisait... Elle bu un café dans la cuisine, prit une sucette et s'en alla rapidement après s'être fait une queue-de-cheval, à son habitude. Elle descendit de son appartement puis rentra dans la voiture qui l'emmena à la prise d'otage.

Puis, la voiture la déposa, elle descendit de celle-ci, sucette à la bouche, une casquette sur sa tête pour cacher ses cheveux mal coiffé... et se rendit voir ses collègues sous la tente, pour connaître les détails de l'affaire.

Alicia Sierra.

"Alors quoi de neuf?" demanda Alicia, essoufflée.

"4 preneurs d'otages, armés jusqu'au cou, 15 otages en tout, ils veulent négocier une rançon." répondit un policier.

"Je m'en occupe, Antonanzas, où il est?" demanda Alicia.

"Je suis là, inspectrice." répondit le jeune policier.

"Fait moi plaisir et va me chercher un deuxième café." demanda l'inspectrice.