[ Livaï x Reader ] SexTeacher ?

Catastrophe

Lorsque je me tourne, je vois LivaÏ dormir comme un bébé serrant ses bras autour de ma taille. Je ne peux m'empêcher de sourire.

Pourquoi est-il si compliqué comme homme ? Je le déteste mais je l'apprécie énormément à côté. Je bouge légèrement, monsieur n'a pas l'air content car il me serre encore plus. Je m'enlève doucement de son emprise puis le fait un petit bisou sur la joue.

D'humeur taquine je prends 2/3 feutres et m'amuse. Quelques minutes passent et voilà le résultat :

Je me retiens de rire puis pars me préparer. Une fois terminée, je vais rejoindre les autres laissant LivaÏ dormir. Je fus accueillis par le blessé d'hier.

Gojo : bien dormi beauté ?

Moi : bizarrement très très bien

Gojo : c'est étonnant vu que tu ne dormais pas avec moi

Je luis souris gênée puis des chocapics. Celui-ci me parle toujours mais je suis trop concentrée à manger. Il est chelou lui, il faut jamais déranger quelqu'un entrain de manger surtout le lendemain de soirée.

Moi : c'est pas que je t'aime pas mais tu vois je viens de me réveiller et je mange donc on peut parler plus tard là

Sasha : that my best friend

Connie : she a real bad bitch

Puis il se tapent dans la main et rigolent. Leurs rires s'accentuent à la vue de LivaÏ qui arrive. D'ailleurs tout le monde est entrain de rigoler.

LivaÏ : quoi ? j'ai un truc sur la tête ?

Hange. : je savais pas que tu aimais te déguiser en clown -dit-elle entre deux rires

LivaÏ : je comprends pas... oh putain

Il part en toute vitesse se regarder dans un miroir. Mon rire s'intensifie encore plus.

Armin : c'est toi qui as fait ça ?

Moi : bah oui il dormait trop bien pour un connard

Hange : t'es au courant que tu vas mourir ?

LivaÏ : (t/p) !!!!!!!!! Je vais te tuer

Moi : adieu

Il s'approche de moi mais je pars en courant dehors laissant mes chocapics, snif, ce n'est qu'un au revoir, see you again.

Voyant qu'il se rapproche de plus en plus, je vais en dehors des murs, je saute et atterrie de l'autre côté. Je suis devenue un Ninja croyez pas, mais il me suit toujours donc il commence à me saouler le nain.

LivaÏ : rentre ! c'est dangereux dehors !

Moi : mais non n'importe quoi on s'amuse juste !

PDV LIVAÏ

Je la vois courir en dehors des murs en sautant par celui-ci, elle a pas osé ? eh bah si.

Je la suis toujours dans le but de la tuer. Ce n'est vraiment pas raisonnable et c'est dangereux de se dehors, non pas que j'ai peur, mais vu sa débilité j'ai peur pour elle. Je lui dis de rentrer à l'intérieur mais elle en décide autrement comme à son habitude. Je la vois continuer de courir sans regarder devant elle, malheureusement ce que je craignais arriva. Pleins de morts sont sur notre chemin.

Moi : (t/p) !!

(t/p) : merde LivaÏ !

Je la vois partir de l'autre côté afin de fuir les morts qui commencent à nous encercler. J'essaye de me faire un chemin tout en les tuants, nous sommes dès à présent séparés. Je commence à m'inquiéter, elle est forte mais dans ces moments je sais à quel point son stress peut luit faire perdre tous ses moyens. Je crois en elle, elle est courageuse, on se retrouvera.

Je cris son prénom mais aucune réponse ne se fait entendre. Ok là ça m'inquiète. Je regarde de partout mais ne vois aucune (t/p) dans les parages.

PDV (T/P)

Je suis dès à présent séparé de LivaÏ à mon plus grand malheur. Des morts me suivent toujours et je n'ai pas pris d'armes, quelle andouille je suis. Je cours à fond jusqu'a tomber sur un pont avec une auberge. Elle est au bord d'une petite falaise où derrière se trouve une sorte de rivière avec une petite plage. Je cours vers elle, je rentre dans la maison et prends bien le temps de fermer la porte puis cherche une arme.

Je vais directement dans la cuisine et prend un couteau bien tranchant. Une fois munie d'une arme, je décide de sortir par l'arrière de la maison. Je me retrouve devant la falaise et me fait la réflexion qu'elle n'est pas bien haute. Je peux sauter ? De cette hauteur si je tombe dans l'eau ça peut le faire, mais je dois bien calculer mon coup. Prise au dépourvu , les morts qui se trouvaient devant la maison ont dû m'entendre car ils se trouvent devant moi déterminés à mélanger jusqu'au dernier bout de chair sur moi.

Ils m'encerclent clairement et j'essaye d'en tuer le plus possible. Malheureusement, ils doivent être une vingtaine. Je commence à reculer de plus en plus sachant que derrière moi se trouve le vide et une flaque d'eau, le stress s'empara de moi. Je les pousse du mieux que je peux et en tue quelque uns sur le passage mais ça ne suffit pas, je n'arriverai pas à tenir plus longtemps. Je retiens mon souffle et réfléchir, non, je ne peux pas me permettre ce luxe, il faut que j'agisse maintenant.

PDV LIVAÏ

Je cours dans la direction qu'elle a prise puis tombe sur une sorte de grosse maison au bord d'une falaise. Je m'approche de plus en plus vois plusieurs silhouettes au bord de la falaise. En visualisant mieux, j'aperçois (t/p) entourée de morts essayant tant bien que mal de s'en sortir. Je vois qu'elle commence à paniquer. Putain.

Elle se recule de plus en plus mais se rapproche de plus en plus de la falaise. Ça ne me plait pas du tout.

Moi : (t/p) !!! pars !!!

En une fraction de seconde, elle tourne sa tête vers moi puis trébuche sur une branche et tombe à la renverse, je ne la vois plus.

Moi : non non non putain de merde !

Je descends et retrouve (t/p) inconsciente. Des morts arrivent vers elle je les tue avec toute la rage que j'ai accumulé jusqu'à présent. Je prends la tête de ma belle (c/c) puis caresse son visage complètement paniqué.

Moi : aller aller réveilles toi me fais pas ça !

Je la ramène au camp en la portant telle une princesse, j'espère ne tomber sur aucun mort. Qu'est-ce qu'il m'a prit ? Pourquoi j'ai crié ? C'est à cause de moi si elle est tombée putain, je l'ai surprise, je n'aurais pas dû putain. Elle est blessée à cause de moi, je suis néfaste pour elle. Je dois m'éloigner d'elle.. je crois que.. que je..

??? : c'est pas vrai vous étiez-OH MON DIEU (T/P) !