[ Livaï x Reader ] SexTeacher ?

Je veux être avec toi ?

Pleins de souvenirs me reviennent comme un ouragan.

Il se détache de moi de moi puis enlève me haut. Une fois enlevé, je l'embrasse de partout. Je marque mon territoire avant de revenir à sa bouche. Nos lèvres ne font qu'une, nos langues s'accordent parfaitement telle une douce mélodie. Ce baiser devient de plus en plus sauvage et langoureux. Il approfondit le baiser en mettant une de ses mains dans mon cou et l'autre sur mes hanches. Il me pousse vers lui afin que mon soutif touche son torse.

Il me regarde dans les yeux un court instant, je viens alors de réaliser ce qu'il vient de faire, mon soutif tombe par-terre. Il me sourit d'un air provocateur puis me pousse de l'autre côté pour que je sois à mon tour sur le dos. Il enlève son pantalon pour se retrouver en caleçon, il se couche sur moi et fait de légère pression contre ma petite fleure.

Notre rythme commence à s'emballer, il s'empare une nouvelle fois de mes lèvres et j'enlève en même temps le seul sous-vêtement qu'il me reste. Voyant mon action, il ne perd pas son temps et se met au niveau de mon entre-jambe. Il commence à me faire des baisers sur ma cuisse puis remonte légèrement vers l'ouverture. Je commence à me dandiner avec un regard brûlant de désir, voyant ma réaction, il passe un coup de langue dessus me faisant sursauter.

Je m'accroche à la paroi du lit lorsqu'il commence à faire des coups de langue plus réguliers. J'ai clairement le feu entre les jambes ainsi que dans le vas du ventre. Il me regarde puis aspire ma petite fleure me faisant perdre complètement la tête. Il me rend folle. Il insère un doigt, puis une deuxième tout en continuant ses coups de langue.

Je vais bientôt finir s'il continue comme ça plus longtemps. Je décide de l'arrêter pour m'occuper de lui. Je lui enlève son dernier habit laissant place à son anatomie. Je le prends en main et fais doucement des vas et viens, je sais à quel point il aime ça quand ça va doucement. Ça le fait finir plus vite. Il prend ma main et l'a fait aller de plus en plus vite. Il me rempli de désir, je vois du liquide sortir de son pénis et en profite pour le prendre en bouche pour une fellation. Je l'entends jurer puis met sa tête en arrière en soufflant de plus en plus fort. Mes mouvements se font de plus en plus rapide et son rythme devient irrégulier.

Livaï : arrête... je vais finir

Je décide de continuer contre son gré mais il me poussa. Je lui souris d'un air provocateur ce qui lui fait effet.

Livaï : : je vois...

Il me prend par le derrière avant de me mettre à quatre pattes. Il caresse doucement mon clitoris avec son engin puis l'insère doucement en moi. Nous soupirons en même temps de plaisir. Le début se fait doucement puis ses coups de reins se font de plus en plus vite et réguliers. Mes fesses tapent contre ses hanches et son bas ventre.

Nos gémissement remplissent dès à présent chaque parcelles de la pièce. On change de position et je me mets sur lui, mes mouvements sont fluides et ça doit lui plaire vu les soupire qu'il pousse, il met ses mains sur mes hanches entraînant le mouvement que je faisais. Je me mets dos à lui mais toujours sur lui en le chevauchant rehaut en bas, il soupire encore plus fort puis monsieur décide de reprendre les rênes et de faire lui-même les mouvements.

Je sens qu'il va finir et moi aussi. Je ressens des milliers de sensations à cet instant et je veux juste finir avec lui, dans ce lit. Le mouvements durent quelques minutes puis il donne un dernier coup de rein et nous sommes tous les deux au septième ciel.

Complètement à bout de souffle, nous tombons sur le dos contre le lit. Personne ne parle. On profite juste du moment. Les minutes passent puis il décide de rompre le silence.

Livaï : je crois que je ve-

Moi : chut profite

Il se tait et profite. La nuit fit longue car nous avons continué nos ébats.

La nuit passe et le jour se lève. J'ai trop mal aux hanches, les courbatures sont présentes. Je suis en compote lol. Je vois Livaï dormir et pose un léger baiser sur le front. J'ai clairement faillit me faire insulter là.

Je descend difficilement les escaliers. Tout le monde me regarde amusé.

Moi : quoi ?

Jean : vous avez fait un de ces rafuges !

Hange : je pensais pas que vous étiez autant endurants

Oikawa : grave ! et puis les "oui professeur Livaï" c'était trop magique

Connie : et n'oublions pas Livaï "t'es aussi bonne qu'un thé"

Ils explosèrent de rire en rajoutant à leur tour quelques remarques. Je suis complètement gênée.

Moi : ouais bah au moins c'est un bon coup

Hange : oui t'inquiètes on l'a entendu

Oikawa : et puis t'arrives même plus à marcher normalement

Sasha : mais du coup vous êtes ensemble ?

Nous deux ? En couple ? À vrai dire, on s'est pas posés la question puisqu'on a pas vraiment eu le temps. Mais je dois vous dire qu'après s'être amusés pendant un gros et long moment, il s'est mit à parler tout seul, je n'arrivais pas à dormir en repensant à la soirée. Il a dit "je veux être avec toi bordel" je sais pas de qui il parlait mais j'étais un peu jalouse en vrai.

PDV LIVAÏ

Je me réveille en rependant à la soirée d'hier. C'était mouvementé, une fois qu'elle s'est endormie j'ai dit quelque chose d'assez osé, que je n'aurais jamais dit de base. Est-ce que je devrais lui dire en face ? Je devrais me mettre avec elle ? Je ne sais pas. Je pense être prêt à être en couple mais y'a trop de règle. Mais je veux pas qu'elle aille voir quelqu'un d'autre non plus. Putain.

Je me prépare, met ma tenue et descend. J'entends déjà plein de rire puis vois la tête de (t/p) complètement désespérée.

Jean : ah voilà le défonceur de cul !

(t/p) : ferme ta gueule Jean !

Sasha : ça suffit les pauvres ils ont même plus le droit de se faire de bien

Je m'approche de Connie et de Jean pour les frapper mais quelqu'un m'arrête. Je vois...