I'll wait for you

3. Danger au Daily Bugle

Journal de MJ
Ça fait maintenant presque une semaine que je travail au Daily Bugle. J'aime beaucoup ce que je fait et mon patron aime bien mon travail alors c'est super. Pour l'instant je ne vais pas sur de très grand truc, mais mes photos sont quand en deuxième pages pour l'instant. Cette semaine je suis donc allée voir une grande enseigne de magasin, une usine où les ouvriers on était infecté d'une maladie, New York et ses alentours avec les touristes qui arrivent de plus en plus. Enfin voilà je prends en photo et découvre différentes choses.
Je suis toujours en équipe avec Flash, on peut dire que lui et moi ça s'est arrangé. Il est assez gentil finalement, il m'aide à prendre de meilleures photos quelques fois. Il n'est plus insistant et s'est excusé plusieurs fois dans la semaine.
Quant à Peter, ça va mieux. Je n'aime pas trop rentrer avec ma voiture alors de fois c'est lui qui m'amène et qui vient me chercher, il n'a toujours pas eu de réponse pour son travail alors il a du temps pour m'amener. Et je m'en remercie beaucoup, parce qu'il m'aide à aller mieux. Il est aussi venu manger une fois avec moi le midi depuis que j'ai commencé le travail, ça va donc vraiment mieux entre nous. Je ne sais pas trop ce qu'il ce passe entre nous, mais voilà on s'entend bien quoi.
J'ai ma mère au téléphone plusieurs fois par jours, elle est contente pour mon travail et achète le Daily Bugle souvent maintenant. Même si elle trouve que mon patron est une tête de c**. Je lui ai raconté ce qu'il c'était passé avec les voitures depuis cette semaine. Elle a d'abord était inquiète puis m'a rassuré et m'a dit que j'étais forte. Chaque appel avec elle me fait du bien, c'est ma mère normal, non? Ça me fait quand quelque chose de la laisser seul là-bas. Je culpabilise un peu, elle s'est occupé de moi tous le temps. Et moi je la laisse seule...
Sinon, aujourd'hui est un nouveau jour au Daily Bugle. Je ne sais pas encore ce que je vais faire, mais on verra bien. J'imagine que l'on va allé sur le terrain, j'aime bien aller sur de nouveaux endroit.

PDV de MJ:

Je suis donc arrivé, il y'a quelques temps. Aujourd'hui, à mon grand désespoir, on reste au bureau. On va réajuster quelques photos et passages avant qu'ils sortent dans le journal. Donc je m'ennuie, ça m'énerve. C'est tellement nul, je les ai déjà ajusté toutes ces photos. Flash vient de temps en temps à mon bureau pour voir ce que je fais. Je comprends pas pourquoi d'ailleurs. M.Jameson était en retard. C'est deux heures après mon arrivée qu'il a débarqué. Il était accompagné par quelqu'un, un jeune. Il lui ressemble beaucoup. Bien sûr, il avait plus de cheveux, mais bon c'est pas trop compliqué. Mon patron à le sourire jusqu'aux oreilles. Il serre la main et quelques fois prend dans les bras, chaque personne qu'il voit. Puis il arrive mon bureau et me fait la bise, je ne sais pas quoi faire,

Jameson: Bonjour! Comment vous allez MJ?

Je n'ai même pas le temps d'ouvrier la bouche qu'il recommence à parler.

Jameson: Je vous ai déjà parlé de mon fils? Et bien le voilà! John Jameson.

MJ: Oh, enchanté MJ.

Il est timide et n'arrive pas à ouvrir la bouche. Il met un certain temps avant de se mettre a parlé. Il avait la tête toute rouge, il est gêné.

John Jameson: Salut...

Jameson: Il est astronaute! Il vient juste de revenir d'une longue expédition.

MJ: Alors bon retour sur la Terre.

Jameson: Oui c'est ça, j'ai besoin de vous et Flash. Il va l'interviewé et vous allez le prendre en photo.

On se retrouva donc dans son bureau. Et je commença par le prendre en photo. Quand je regardait M.Jameson, je remarquai des étoiles se former dans ses yeux.
Il est très fière de son fils, d'ailleurs je ne comprends pas pourquoi on fait une interview. On a jamais fait quelque chose sur les astronautes, sur l'espace. Ce que je suis sur, c'est que cette homme est son fils. Et voilà pourquoi on fait une interview. Flash est resté pendant au moins une demi-heure avec eux dans le bureau. Je ne sais pas, qu'est-ce qu'ils avaient à lui dire de si long mais bon. Il est donc ressorti avec des yeux énormes, il me regarda saoulé. Je lui rendis un coup d'il pour compatir avec lui. Alors je continua mon travail sur les photos pour le journal. Et celle de son fils aussi bien sûr.