𝙸 - 𝙇'𝙖𝙢𝙤𝙪𝙧

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Jeongguk sortait de son lit difficilement. Évidemment il était resté toute la nuit devant sa fenêtre à contempler les astres, attendant qu'une étoile filante passe par là et lui exauce sont vœu qu'il désire au plus profond de lui. Il attendait une personne importante dans sa vie, celle qui lui donnerai un nouveau sentiment, quelque chose qu'il n'avait encore jamais expérimenté, l'amour.
Il repensa alors à sa soirée, il eu le temps d'y réfléchir et d'espérer que par un miracle ou autres, sa requête sois entendu quelque part là haut dans le ciel étoilé.

Il se dirigea vers la cuisine qui se trouvait en bas des escaliers, sa mère était entrain de préparer le petit déjeuner. Il vivait seule avec elle, sont père les avait quitté brutalement et était malheureusement à sa dernière vie très tôt.

Il arriva un jour où les gens commencèrent à disparaître, à se volatiliser, les scientifiques ont cherché pendant des années jusqu'au jour où il découvrirent le principe des vies. Tout le monde en possédait neuf, comme la légende expliquant que les chats possédaient neufs vies. C'est à dire que les humains aussi avait neufs chances de ce réveiller dans un autre corps avant de vraiment s'éteindre pour toujours.

Jeongguk savait que son père était là quelque part, mais il est formellement interdit de ce retrouver, chaque personne devait accepter de tout oublier à la fin pour faire place au nouveau, il l'avait accepté parce que comme son père lui disais toujours, la fin fait partie du voyage.

"- Chérie ! Tu es enfin debout, tu as l'air épuisé, ne me dis pas que tu as encore regarder les étoiles cette nuit ?

- Maman c'est vraiment incroyable ! Tu devrais voir ça avec moi un jour, comme elle brille, y a celle qui aime se montrer et qui sont d'une clarté magnifique et ceux qui sont un peut plus timide ou leur lumière est plus faible mais tout aussi resplendissante !

- Gguk, écoute, ont en a déjà discuté, tu sais tu as déjà découvert le monde, tu devrais peut être passer à autre chose, ne plus être émerveillé par les choses du quotidien, tu comprend ?

- Mais maman, le monde est surprenant, j'ai envie de tout voir, de tout expérimenter !

- Écoute, tu n'es plus un enfant à présent tu deviens un adulte avec des responsabilités, tu dois accepter le fait que tu grandis, et que maintenant tu as déjà tout découvert, tu ne peut plus rien expérimenter mon chou...

- C'est faux ! Il me reste encore tellement de chose à apprendre, de monde à connaître ! Maman tu ne peut pas dire ça.

- Jeongguk, tu dois l'accepter et puis c'est tout, tu ne pourras pas vivre éternellement comme ça, tu pense ne pas avoir tout vue mais tu te trompes, tu as déjà fait chaque recoin de tout, il faut prendre tes responsabilités et comprendre que il n'y a plus rien à découvrir !

- Papa, lui au moins il me comprenait."

Jeongguk se précipita vers la porte d'entrée, sa mère l'appelant de la cuisine voulant le retenir mais c'était trop tard il était déjà sortie, ce dirigeant vers il ne sais où.

Il était perdu, sa soif de découverte était toujours plus grande, ce n'était pas la première fois que ça mère lui parlait de responsabilité et qu'il grandissait, mais ce qu'elle ne savait pas c'était qu'il en était plus que conscient, mais il refusait de l'accepter.

Il marchait sans remarquer les perles d'eau salées qui se frayait un passage sur ses joues, il se sentait pathétique, même pas capable de vouloir grandir, mais c'était compliqué pour lui, sa mère devait le comprendre, son père lui a laissé le souvenir que grandir était horrible.

Il s'asseyait sur un banc, ces larmes coulaient de plus en plus vite et étaient de plus en plus nombreuses.

Un garçon au cheveux blond passa par la, c'était son rituel du matin, le moment qu'il préférait dans la journée, une petite promenade qu'il appréciait surtout pour la solitude qu'il ressentait. Personne n'était jamais sur le chemin, il était désert.

Sauf aujourd'hui, il remarqua un jeune garçon qui devait avoir son âge assis sur un banc, la tête baissée. Il passa devant, sans aucune envie de s'arrêter devant le jeune homme en détresse, voulant profiter du calme qui l'entourait, enfin ce jusqu'à qu'il entende un pleur étouffé.

Il se précipita vers lui et lui posa les mains sur ces épaules. Jeongguk sursauta à ce contact sans pour autant vouloir lever la tête.

"- Eh petit, qu'est ce qui va pas ?

- Vous êtes un inconnu, on parle pas au inconnu normalement."

Il eu un petit soupir de la part du garçon en face, tandis que Jeongguk décida enfin de lever la tête intrigué par la personne qui lui parlait.

Il était blond avec des lèvres plutôt pulpeuse d'une couleur rosé magnifique, mais ces yeux était ce que Jeongguk appréciait le plus, ils étaient d'une couleur brune clair qui lui donnait un regard à la fois très doux et percent.

"- Très bien je suis Jimin, ravie de te rencontrer et tu es ?

- Je suis Jeongguk..." dit il d'une voix toute basse que même Jimin eu du mal à entendre.

"- Très bien Jeongguk, qu'est ce qui ne vas pas ? Il doit bien y à avoir une raison à tes pleurs ?

- Ma maman m'as dit que je grandissais et que je ne pouvais plus découvrir le monde. Alors je suis partie sans écouter ce qu'elle voulait me dire.

- Tu es à ta combientième vie si ce n'est pas trop personnelle ?

- Ma première..."

C'est a ce moment là que Jimin ressenti une vrai compassion pour ce garçon après tout il était passé par là lui aussi et je peut vous dire que ça a été compliqué.

Suite au chapitre 2 j'espère que mon histoire vous plaît pour l'instant  (:

Le début de la fin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant