Cher Plume

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Je sais pas pourquoi j'écris mais je le fait c'est tout ! Je sais pas pourquoi ça m'arrive, pourquoi je ressens ça. C'est pas bien, c'est interdit. Et toi tu ressent rien, c'est impossible !

Je te regarde, tout le temps, toujours. J'en viens à te chercher et à être déçu de ne pas te voir ou déçu d'espérer. Je sais pas si je ressens vraiment quelque chose ou si je me fait des idées, je sais pas. Quand je t'entend au loin je souris. Des fois tu est l'une des première personnes que je vois et je sais que cela va être une bonne journée. Je sais pas si mes sentiments son vrai et de toute façon sa ne change rien, je ne veut pas être avec toi, de toute façon c'est impossible. Quand je t'entend rire au loin, je suis instantanément heureux. Quand je suis déprimer et que je te croise, même de loin, je vais déjà mieu.

Je rêve de passé mes doigt dans tes cheveux. De te parler vraiment, pas d'échanger ces banalités. Être ami me sifffirait, si seulement cela pouvait être vrai. Des fois j'ai l'impression d'entendre ta voix, mais quand je me retourne et que je ne te voie pas, mon cœur se brise. Comment vivre si longtemps sans toi ! Sans le savoir tu m'a fait oublier, tu m'a sauvé. Je sais pas si tu lira ses mots, une partie de moi l'espère.

Peut-être que je brûlerai cette lettre. Ne te trompe pas, cette lettre ne t'es pas destinée. Elle sert à me soulager, à m'ôter se poid qui pèse sur mes épaules depuis la première fois que je t'es vu. Si je ne trouve pas la force de la détruire, elle pourrait être mon témoignage. Les gens verront que j'ai un cœur, que je ne suis pas qu'un monstre sans émotion qui aime voir souffrir les autres, au contraire.

Tu est la seule personne qui me comprenne. On ne sait pas beaucoup parler mais je peu le lire dans tes yeux. Parlons-en de tes yeux ! Ces magnifiques yeux dans lesquels je peu me perdre des heures. Je pourrais passé ma vie à t'observer, à te détailler. Tes magnifiques cheveux brun clairs. Tes yeux bleu si cristallin, si envoutent, je pourrai m'y perdre. Ils me déstabilisent tellement. Ou alors c'est toi qui me déstabilise ?

J'ai rêver de toi, plusieurs fois. Ta voix, ton regard, ta peau, ton parfin. Tout était parfait. Je n'arrive plus à me consentrez. Tu est toujours dans ma tête, quoi que je fasse. Tu est si loin et l'instant d'après si proche de moi. Tu me perturbe.

J'écris car j'ai peur. Peur du regard des autres, mais surtout, peur que tu ne veuille plus me parler. Je peu comprendre que ces lignes ne son pas cohérente, j'écris se qu'il me passe par la tête sans réfléchir.

Peu être que je ne suis pas normal, que je suis bizarre. Quand je pense à toi, je suis triste. Triste car je sais que mes rêves et mes espoirs son vain, que ça n'arrivera jamais. Mais je peu pas m'en empêcher. Je peu pas arrêter de penser à toi comme sa. Des fois je me dégoute. Même si je ne pense à rien de malsain, je n'y peu rien. C'est ma petite voix qui parle, qui me chuchote au creux de l'oreille.

Je n'oserais jamais te dire tout cela même si on m'a dit que tu étais très à l'écoute. A chaque fois que je le vois te parler je ne peu pas m'empêcher d'être jaloux. Il est si proche de toi et moi si loin. Je n'oserais jamais aller te voir comme lui. Lui il est si sociable et il n'a pas peur d'aller voir les gens, pas comme moi. Je me déteste d'être jaloux de lui, c'est mon meilleur ami quand même. Enfin passons.
Je pourrais continuer d'écrire encore longtemps, mais j'ai des obligations. Je dois faire comme si je ne ressentais rien.

Alors à bientôt cher plume qui me délivré de mes maux, car sois en sûr, je reviendrais.

Un inconnu qui tien à toi.

histoires d'un insomniaqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant