Second round sur le balcon

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Marinette était sur son balcon. Elle avait un peu froid, mais elle se disait que chat noir allait peut-être passer. Il ne semblait pas cependant vouloir venir. Comme, elle crut entendre un bruit inhabituel dans la nuit, elle dit juste au cas où, il l'épierait.

« Ha la la la, Je crois que je ne vais pas voir, chat noir, ce soir. Il doit m'en vouloir pour l'humiliante et magistral raclée que je lui ai mise.

Aucune réaction. Probablement, n'était-il pas là. Après tout, il y avait bien des choses qu'un chat se promenant sur les toits pour justifier ce bruit. Elle quasi certaine d'avoir parlé dans le vide, mais comme Marinette avait un petit côté excentrique cela l'amusa de continuer son petit monologue.

Elle soupira :

« Pourtant, je n'ai pas fait ça, méchamment. Je savais que mes coups de poing de collégienne ne pouvaient pas blessée le héros de Paris.

C'était la vérité. Ses coups de poing si puissant fussent-il pour une fille de son gabarit faisait pale figure en comparaison de ceux des sentis monstres qu'ils affrontaient régulièrement. Cependant comme son premier coup avait viser une partie sensible du corps, il avait quand même dû le sentir. L'uppercut au menton et le direct qui avait suivi par contre n'avait dû ne blesser que son ego... et à l'envoyer à terre, évidement.

L'adolescente ne put se retenir de sourire à se souvenir. Elle ne devrait pas, Marinette le savait –elle avait failli casser son chaton-, mais elle avait quand même mis un knockdown, au héros de paris sous sa forme dé transformer, ce n'était pas un mince exploit.

« Il doit m'en vouloir, poursuivit-elle se prenant au jeux. Pauvre chaton, cela doit être déjà humiliant de se faire battre par une civile quand on est le héros de Paris, mais quand en plus la dite civile est une fille de quatorze ans. Ho, la, la, Il ne faudrait pas qu'Alya apprenne ça, elle risquerait de faire un article dans le lady blog. Que penserait les gens de paris s'il savait que lady bug n'était pas la seule à l'avoir balancé dans une poubelle.

Au moment, où Marinette commençait à croire qu'elle parlait dans le vide une présence se glisser derrière elle. C'était une sensation étrange, car il n'avait pourtant rien entendu, mais un mouvement d'air, une odeur étrange et une présence familière lui indiquait sans qu'elle ait besoin de se retourner que son ami et partenaire se trouvait juste derrière elle.

Elle n'eut de toute façon pas l'opportunité de se retourné, car à peine eu-t-elle le loisir d'amorcer un mouvement pour tourner la tête ou d'entre ouvrir la bouche pour la taquiner qu'elle sentit deux bras fin, mais puissant l'enlacer.

L'instant d'après, elle était passée par-dessus le garde-fou, suivi d'une chute d'une bonne dizaine de mètre suivi. La chute fut stoppée à la fin, puis une main la fit basculer d'une épaule dans la benne à ordure. L'adolescente fit chat noir tenant en ce qui aurait été pour tout autre que lui en un équilibre précaire.

Il la toisait avec un petit sourire espiègle sur le visage.

« C'est un prêté pour un rendu, Marinette.

« Tu t'étais déjà vengé en révélant à Adrien qu'il était bouton d'or.

« Je ne lui ai rien révéler du tout je lui ai juste dit que tu étais amoureuse d'un certain bouton d'or et que je t'ai été répété ta déclaration.

« Tu as de la chance que cela se soit bien passé, idiot de chat.

« Donc, vous sortez ensemble ?

« En tant qu'ami dans un premier temps parce qu'il à une peine de cœur parce qu'il était amoureux d'une psychopathe ou un truc dans le genre.

Il masqua son visage de sa main, mais elle avait bien remarqué qu'il se retenait pour ne pas éclater de rire.

Depuis ce jour, ou tu m'as casser la gueule sur ton balcon Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant