Episode 7-Baiser de fer

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Episode 7

Baiser de fer

Marinette, courrait aussi vite que ses jambes le permettaient avec un garçon d'une cinquantaine de kilo sur l'épaule. Elle ne pensait pas que le gorille les poursuivait, mais d'un autre côté, l'adolescente ne pouvait se retourner pour vérifier. Il convenait donc pour la bonne suite de son plan de rejoindre le parc au plus vite.

Elle atteignit le parc en deux ou trois minutes, elle était assez fière de son exploit.

« Alors, Adrien, impressionner.

« Ouais, pas mal pour une fille, fit-il sur un ton blaser.

« Une fille, hein ? Tu vas voir ce qu'elle va te faire la fille.

Et oubliant totalement sa timidité, sa réserve et ses bégaiement habituelle, la jeune fille profita du fait qu'elle l'avait toujours sur son épaule pour lui infliger une juste punition en lui administrant une fessé magistrale. Et bien qu'il aurait été judicieux de ménager son si mignon fessier, elle y alla de toutes ses forces. Après tout, s'il devait sortir ensemble autant qu'il sache qui était là patronne.

Puis elle, réalisa que beaucoup de monde les regardait amuser. Aie... ce n'était pas bon pour la réputation d'Adrien, ça. Elle était peut-être allée trop loin, le jeune mannequin risquait de lui en vouloir. Puis l'enthousiasme du moment passant, le poids de l'attention des quelques personnes présente dans le parc, elle réalisa ce qu'elle était en train débotter les fesses d'Adrien. Littéralement. La pensée de main sur ses... Cette pensée, la fit rougir et l'embarras fut-elle qu'elle arrêta et balança à terre. Sauf qu'ils se trouvait près d'une pièce d'eau et l'étourderie de Marinette étant ce qu'elle était, le pauvre garçon se retrouva à faire un plat spéculaire dans dix centimètre d'eau.

Marinette fut mortifier. Ce qu'elle pouvait être maladroite. Cette fois, c'était sur Adrien ne voudrait plus jamais lui parler après ça. Adieux hamsters et trois enfants.

« Ad... Adrien, je suis dé... désolé. Je n'ai pas fait tatension... heu attention.

Apparemment, ses troubles du langage étaient revenus. Mais tous son stress s'évanouit lorsque le garçon éclata de rire.

Reprenant confiance, la jeune fille prit un air penaud, et d'une voix pleine d'espièglerie, elle dit d'une petite fille :

« Est-ce que je serais allez un peu loin dans ma leçon d'humilité ?

« Ce qui est sûr c'est que je ne vais pas avoir de leçon de piano, aujourd'hui.

Effectivement, cela allait être complique de se changer et les explications risquait de s'avérer des plus complique. Cela aurait été on ne peut plus gênant à expliquer à des parents ordinaires, mais avec un père tel que Grabriel Agreste cela prenait de tout autre proportion. Elle se demandais comment il faisait pour ne pas paniquer plus que ça. Etait-il extrêmement courageux et ou simplement était-il tout aussi inconscient que chat noir ?

Cette pensé, l'a surpris. Pourquoi pensait-elle à chat noir dans un pareil moment ? D'autant que les garçons n'avaient strictement rien à voir l'un avec l'autre. Ils n'y avaient pas plus différent que c'est deux-là. C'était sans doute la raison de son trouble, décida intérieurement la jeune fille. Il était si différent que leur trouver un hypothétique point commun que cela la perturbait.

« Désolé pour ça, s'excusa la jeune fille, puis en lui tirant la langue, ajouta :

« Je voulais, juste te montrer qui était la plus fort.

« Oui c'est pour ça qu'on est venu. Ce n'était pas la peine de me balancer à la flotte. Mais je reconnais que tu es bien plus forte que moi. Je ne pensais que tu parviendrais à me balader de la sorte.

Depuis ce jour, ou tu m'as casser la gueule sur ton balcon Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant