Le plan machiavélique de Lila "Ne rien faire"

111 7 2
                                    


En se réveillant ce matin-là, Marinette découvrit en regardant son portable qu'Adrien lui avait laisser un message. Ce qui était surprenant c'est que le message datait-t-il y a à peine quinze minute et il était mystérieux.

« Je viens d'obtenir l'accord de tes parents pour notre prochain rendez-vous, donc Lundi pas de cours.

L'adolescente sentit l'embarras monté pour laisser place à la panique assez rapidement.

Qu'est-ce que c'était que ce message ?

Adrien avait parler à ses parents ce matin ? Apparemment, c'était le cas. Elle relut le message plusieurs fois à la recherche d'un sens caché ou d'un émoticône quelconque indiquant que c'était une blague, mais non, rien. Devait-elle comprendre qu'Adrien avait demandé la permission à ses parents pour sortir avec elle. Si c'était le cas, ce serait terriblement vieux jeu et surtout très embarrassant pour elle. Ella adorait ses parents, mais ne tenait pas particulièrement à ce qu'il soit au courant de sa vie sentimentale. Surtout que même si les choses avançaient avec Adrien, elle ne pouvait pas être sûr que cela dur entre eux, loin s'en fallait.

Son père tout spécialement s'était révélé particulièrement émotif et surprotecteur en ce qui la concernait. Au point, de se faire akumatisé lors de sa première peine de cœur, qui n'en n'était d'ailleurs pas vraiment une, mais bon ça c'était une autre histoire et mieux valait ne pas en parler. Et puis c'était quoi cette histoire de ne pas aller à l'école lundi ?

Evidemment, elle ne doutait pas un seul instant du fait qu'il lui suffisses de descendre au rez-de-chaussée pour avoir la réponse à cette question. Connaissant ses parents, il devait attendre son réveil avec beaucoup d'impatience. L'adolescente était même un peu surpris qu'il ne soit pas monté pour lui demander des explications. En tout cas si Adrien avait véritablement obtenu de ses parents qu'elle rate une journée de cours pour sortir avec lui ses dons pour la manipulation surpassaient ceux de Lila.

Elle fit la grimace à l'évocation de la mythomane. Même si elle jugeait la tentative de réhabilitation de la peste par Adrien lui semblait plus qu'illusoire, son plan pour démasqué était pour l'instant la seule possibilité pour découvrir l'identité de papillon et par conséquent cela devait être tenté. N'empêche, elle détestait l'éventualité d'un rapprochement entre ses deux-là.

Marinette poussa un profond soupir et se résigna à descendre. Une bouffé d'angoisse la pris au moment où elle descendit. Adrien n'était pas sympa de lui mettre le seum dès le matin.

« Eh bien, Marinette, tu n'as pas oublié de nous dire quelque chose hier, lui demanda sa mère d'entrée de jeux.

La jeune fille, ignorant ce que le mannequin leur avait demandé, ne sut que répondre sur l'instant. Elle décida de ne pas prendre de risque et préféra éviter de spéculer. Elle décida de formuler sa réponse sur base du peu d'information que le texto d'Adrien lui fournissait.

« Je sais Adrien m'a envoyé un message Je ne vous en ai pas parler parce que j'étais certaine que vous refuseriez que je manque une journée de classe. Apparemment, je me trompais. Mais franchement, je me demande bien comment, il a fait pour vous convaincre.

« Il a su habilement joué sur la corde « le Stylisme, c'est sa passion » et « Ce sera une bonne expérience, monsieur Dupain-cheng », fit son père en faisant des guillemets. Mais je te préviens que ces juste pour cette fois. N'espère Pas de lancer dans une carrière de mannequin au détriment de tes études.

Marinette demeura interdite pendant plusieurs secondes ne comprenant pas, mais alors pas du tout ou il voulait en venir. Puis, elle se rappela qu'Adrien lui avait annoncer la veille que comme premier rendez-vous, il lui avait proposer de remplacer un mannequin féminin qui s'était décider désister à la dernière minute. Marinette n'y avait plus penser, car elle penser qu'il l'a taquiné. Visiblement, elle s'était trompée. Elle se voyait assez mal joué les modèles devant toute une équipe sans paniquer. Rien qu'a cette penser, elle sentait son estomac se nouer.

Depuis ce jour, ou tu m'as casser la gueule sur ton balcon Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant