Partie d'echec (Gay)

~Chapitre 7 : Plaisir mouillé

Il humait mon odeur comme un chien reniflant son maître.  Cependant, j'étais loin d'être le maître. J'étais un petit "maître " diriger par un grand chien.  J'étais ce genre de pseudo maître, qui ce soumettait à chaque caprices bestiaux, de son animal de compagnie.  Jonathan, n'étais rien de plus q'une petite bête de compagnie que je ne voulais pas avoir auprès de moi, et qui commençait a prendre bien plus de place que je ne l'aurais crue.

Ces yeux qui était remplie d'un désire mystérieux qui longeait mon corps avec envie. Il m'analysait,il ne me touchait pas, mais ce manque d'action ne me faisait pas débander pour autant.  Ces yeux d'un vert presque émeraude s'ouvraient et ce fermaient, il battait des cilles comme un papillon bat ces ailes lors de son envole. Et c'est à travers son regard d'une douceur presque touchante, que je vie cette étincelle amoureuse digne des plus grand films romantique destiné a toutes ces jeunes pré-pubère. Il avait bien plus qu'un simple attachement a mon égard, et il était près à tout pour me capturer, pour m'emprisonner et m'attraper de ces mains salit par le pécher.

Je n'avais aucune envie de céder sous la pression, aucune envie de céder a ce plaisir auquel je serais éternellement soumis, mais avais-je le choix? Ce rapprochant doucement de mon petit corps fragilisé par l'envie, il vint déposé un doux baisé a l'odeur de pèche sur ma joue, tout en me murmurant des paroles piquantes:

"-Je vais te faire céder mon petit Malou.Tu ne gagneras pas. Alors, ne résiste pas ou je serais obligé d'être moins doux que je l'aurais souhaiter."

Mes lèvres s'entrouvrirent pour protester. Cependant, rien n'en sortie. Ce fut un soupir remplie de lassitude, qui vint dédaigner faire son apparition en guise de seul réponse à ces menaces. Jonathan laissa alors, ce petit sourire victorieux qui lui est propre , s'esquisser au coin de sa lèvre. Doucement et sans trop ce presser, pour me faire languir et me punir; il fit marcher ces longs doigts de pianiste sur mon torse. Je me tordais d'émotion sous sa main, et cambrant mon torse par reflex, je le laissais gagné cette nouvelle partie.

De toute manière, ce n'étais pas de ma faute. C'étais lui qui me forçait a faire toutes ces choses plus écœurantes les unes que les autres. Dans cette histoire, c'est lui le coupable. Lui et seulement lui. Lui ce renard aux yeux verts comme la pomme d'Adam et Ève, lui ce petit filous pervers, lui , lui ,lui... Lui , Jonathan.

Je ferma les yeux et le laissa me soumettre sans aucune protestation.

"Règle 1: Tu n'auras pas le droit de me résister qu'elle que soit le lieu ou on ce trouve ."

Voilà, la première règle avait déjà été confirmé, et appliquer. Je ne lui obéissait pas, je n'avais juste pas le choix.

Tout en terminant d'acheminer le chemin qu'il avait commencer avec ces doigts, quelques minutes plus tôt, le jeune brun,détacha délicatement ma cravate nouer autour de mes poignets désormais plaquer au dessus de mon crane. Lorsque le tissus retomba sur mes cuisses, dans un bruie presque inaudible; je couina tout ouïe de cette libération. Ma respiration qui ce faisait saccader, ce ralentie subitement ; la chaleur qui émanait de chacun de mes membres, ce calma et le plaisir jaillit d'entre mes jambes. Jonathan, m'avait à peine toucher pour enlever le tissue qui broyait mon membre, qu'il avait su faire naître d'incroyable sensations. Sa main était froide morte, cette main glacé qui effleurait la peau tendu de mon entre jambe, me déclencha une multitude de petit frisson gourmand et agréable . Mon chandail désormais humide, me semblait moins étroit qu'il y a une dizaine de minute, et ce fut avec une surprise partagé que je m'entendis pousser un dernier gémissement étouffer.

"-Aah..."

Mes yeux ce levèrent en direction du petit vicieux, qui m'avait mit dans cette étât. Lorsque je le vie, le jeune brun avait les yeux écarquiller de stupéfaction. Rabattant quelques mèches de mes cheveux, derrières mon oreille je lui déglutie un simple:

"Quoi?"

Ces moments étaient rare. Ces occasion ou dieu m'avait donner la chance de choquer et de faire taire Jonathan étaient plus que précieux. Que sa soit à la FAQ ou même aujourd'hui, c'était très rarement arrivé, et quand sa arrivait je le regardais bêtement. Et comme pour me faire oublier ce moment exquis , ou il avait su ce taire ; Jonathan , embrassa le coin de mes lèvres avec sa douce petit bouche ,puis finit par ce relever. J'en fis de même, je me releva, le poussa avec une violence inouïe et me rhabilla en vitesse, pour fuir les toilettes dès que cela me serait possible.

"-La prochaine fois je serai plus doux. Avait-il dit le sourire pendu aux lèvre.

-Il n'y aura pas de prochaine fois, retoquais-je avec vivacité"

Le jeune brun a la chevelure chocolat, rigola aux éclats. Il savait tout comme moi, qu'il y aurait une prochaine fois, qu'il y en aurait encore et encore. Il me fit un clin d'œil remplie de promesse avant de me donner une claque sur les fesses et de sortir de la pièce en me conseillant:

"-Rince toi le visage avant de rejoindre ta femme mon petit Malou, tu es rouge comme un piment africains ."

Ce n'est pas ce petit plaisir d'enfant qui m'avait rendu rouge, et pourtant ce fut le cas. La colère, vint alors ce rajouté au rouge qui colorait mes joues. Je ne deviendrai pas gay, et jouir en face d'un homme ne voulait pas dire que j'en étais un.

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Coucou, étant donné que sa fait longtemps je n'ai pas poster je tiens m'excusez auprès de tout mes lectures. Tout comme Malcom , Jonathan et sa femme, j'ai eu mon lot de péripétie amoureuse, de soirées d'anniversaire et de travail, qui m'ont empécher d'écrire. Les seuls moment ou j'avais du temps libre, je dormais comme une marmotte.

Enfin bref, voici donc le chapitre 7 tant attendus! Il n'est pas top, et j'ai longuement hésiter a le faire plus long avec la suite que j'avais en tête , ou a le laisse tel qu'elle.

Voili voilou. Faite moi par de vos avis, j'espère que le chapitre vous a plus . ;)

-Amelia

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