Chapitre un... Le commencement.

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(PDV Nathanaël)

BIP BIP BIP

- Merde ! Je suis en retard !

Je me leva de mon lit en panique, et couru dans la salle de bain pour me vêtir de mon uniforme scolaire. Je mangea mes céréales, tout en me brossant les dents. Ni une, ni deux je descendis dans la salon et prit une pomme au passage, pas le temps de déjeuner.

- MAMAN JE PARSSSSSSSSSSSSSSSSSS !

Elle ne me répondit pas, normal, elle n'est jamais à la maison car elle est en voyage pour le travail. J'ai toujours la mauvaise habitude de lui parler alors qu'elle n'est pas là.

Arrivé au lycée, cherchant désespérément ma salle de cours. Je percuta quelqu'un, que c'était agréable, son torse était musclé mais tellement confortable. Malheureusement, il me sorti vite de mes rêveries.

- Regarde où tu vas, pouilleux.

Je répondis en bafouillant quelque chose d'incompréhensible, mais il était déjà au loin. Mais je me rappela que je ne trouvais pas ma salle.

- EHH ! TU-TU PEUX M'AIDER A TROUVER MA SALLE ?!

Il se retournera et me dévisagea de la tête aux pieds.

- Ta gueule, tu me dégouttes sale gros pédé.

Je me figea sous le choque, comment pouvait-on être si vulgaire et méchant. Sans savoir pourquoi, mon cur me fit mal. Bon, je vais trouver ma salle tout seul si c'est comme ça.

Après quelques minutes, je trouvais enfin ma salle.

TOC TOC TOC

-Vous êtes en retard jeune homme. M'engueula la prof.

- Dé-désolé, j-je trouvais pas la salle. Répondis-je stressé.

- Ouais, ça va pour cette fois, va t'asseoir à côté de Lorenzo. M'informa cette petasse de prof.

Je n'aimais déjà pas la prof mais je me dirigea tout de même vers le fameux Lorenzo, quand, je vis le garçon du couloir. Eh bah super ça. Ahah

Je peux pas me le voir et comme par hasard, il est mon voisin de classe.

- J'te dis pas bonjour. Dis-je

- Ferme ta gueule sale pute. Me répondit Lorenzo

Je m'assis, les points serrés, je me retiens de lui en foutre une ou deux et écouta le cours.

Le cours fini je me leva pour aller manger, mais je me fis plaqué contre le mur violemment. Aïe ! Qui est le connard qui m'a fait ça ?

Je regarda la personne, mais je ne le connaissais absolument pas. Il était tellement imposant avec son tatouage sur le téco du crane.

- Toi, petit merdeux. Dit-il.

- Euh, oui ? Paniquais-je.

- J'te préviens, tu parles mieux à Lorenzo sinon j'te fais ta fête. Me menaça le rockeur.

- E-euh ou-oui. Bégayais-je.

Il s'en alla sans dire un mot de plus. Mais qu'est-ce qu'ils avaient tous avec moi ?

Je partis dans un coin isolé dans la coure pour enfin pouvoir manger mais comme si la vie me détestait, Lorenzo et son collègue étaient déjà là, mais il y avait trois autres nanas avec eux. Celui qui m'avait plaqué au mur plus tôt me vit et me parla, enfin, m'insulta.

- T'es encore là toi, sale crasseux. T'as un problèmes ?! Cria t-il.

- E-euh, je suis désolé, je voulais juste manger tranquillement. Me soumisais-je.

Une des filles présente prit la parole, elle avait des lunettes mais aussi des piercings et les cheveux rouges sang tah une gothique.

- T'as pas damis ? Va dans l'coin là bas et fait pas chier. Me cracha celle-ci.

Les deux autres filles éclatèrent de rire suite aux paroles de leur copine.

Je me figea avant de me faire pousser par celui au tatouage, il devait faire ma taille.

- T'attends quoi ? Exécute. Me menaça t-il encore.

J'avais déjà prit l'habitude que ce mec me menace donc je n'y fis pas attention. Je partis donc dans le coin, l'homme qui m'avait poussé et les trois filles rigolèrent entre eux, mais, je vis Lorenzo me fixait avec un regard qui parut énervé.

Mon coeur battit plus fort que jamais, il faisait TCHOUBOUBOUM TCHOUBOUBOUM. Il m'énerve, cela doit être la raison du pourquoi il bat si fort.

Je m'installais donc dans le fameux coin pour manger, il avait arrêté de ma regardait, j'étais déçu mais je ne savais pas pourquoi.

La sonnerie sonna 10 minutes après, je retourna en cours, et celui avec le tatouage ne manqua pas de me foutre une balayette, et je m'étala sur le sol devant tout le lycée. #LAHCHOUMAMDRRRRRRRRR

Après cet évènement, je me dirigea, comme si de rien n'était, jusqu'à ma salle de cours.

Ambiance gay { Cocopette }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant