Chapitre 11... Une fin

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!PDV Lorenzo !:

Je n'avais pas réussi à fermer l'oeil de la nuit, plongé dans mes pensées.

Loïs m'avait gâché ma nuit, et sûrement ma vie. Dans cette histoire, peut importe l'issue, je finirais malheureux, c'était soi ma réputation, soi mon amour. Je ne pouvais pas choisir !

Lorsque je vis les premiers rayons du soleil passer à travers ma fenêtre. J'eus l'illumination de ma vie, oui ! Je n'allais pas laisser un merdeux gâcher ma vie, alors, je gâcherais donc la sienne

!PDV Nathanaël !:

Je me réveilla en sursaut, je n'avais cessé de cauchemarder cette nuit, la SUPER LUNE ne fut pas de mon côté cette nuit la pute. Malgré tout, j'avais pris ma décision, il le fallait de toute manière, c'était le mieux à faire, pour lui comme pour moi. J'attrapai mon téléphone, et parti dm Lorenzo.

PEPETTE : « Il faut quon parle, viens chez moi »

COCO : « j'arrive ? »

Il m'avait répondu à la seconde, putain, ça me faisait vraiment trop mal au coeur, mais je n'avais pas le choix.

Il arriva bien trop rapidement, c'était maintenant, le moment que je redoutais. Ma mère était évidement parti, comme d'habitude, elle m'abandonnait encore et encore. Je n'eus même pas le besoin d'ouvrir la porte dentrée, ni même ma fidèle porte de chambre, il l'avait fait tout seul. Il était maintenant bien là, devant moi. Il s'avança vers moi, dans le but de m'embrasser, mais je le repoussa. Je vis dans ses yeux de l'incompréhension. Mais je ne pouvais tout simplement pas lui faire ça.

!PDV Lorenzo !:

Tout d'abords, il m'avait envoyé un message plus qu'inquiétant, maintenant il me repoussait quand je voulais l'embrasser ? Qu'est-ce qu'il ne tournait pas rond merde ! Je ne dis pas un mot, le laissant parler. Il était trop bizarre.

- Par où commencer Nath prit donc la parole. - Bon, c'est pas de ta faute, crois pas t'es laid, t'es plutôt carrément mignon. Mais, je me sens pas prêt, tout est allé trop rapidement, puis trop de doute, j'ai pas assez confiance en moi pour tout ça

- T'es vraiment entrain de me quitter là connard ? Je l'interrompis sans plus attendre.

- Oui, je suis désolé

- T'es vraiment une ordure, « pas confiance en moi » mon cul, dis plutôt que t'as pas confiance en moi ouais. J'ai tout fait pour toi, j'ai mis ma fierté et mon égo de côté pour toi, j'étais prêt à gâcher ma réputation pour toi ! Et toi comme la petite pute que tu es, tu me lâches comme une vulgaire merde ! JE SUIS PAS UNE MERDE !

Alors là, je suis complètement chokbar de bz, il m'a largué comme ça ? Je passes pour qui moi ? Moi la brute du quartier, me faisait tej par une ptite pute de bourge à la con ? Je ne voulais pas que cela se passe comme ça, donc cela n'allait pas se passer comme il le souhaitait. Je crois qu'il a oublié à qui il avait à faire, je suis pas la petite pédale du coin moi !

Ni une ni deux je l'attrapa violemment par le col, faisant un tête tête.

- J'crois que t'as trop vite oublié qui j'étais, moi je suis le GRAND LORENZO, redouté de tous, je t'ai laissé mon coeur, j'ai cru que tu étais quelqu'un de sincère, mais t'as juste voulu me nuire, ah oui c'était ça ton but, t'avais tout prévu enculé, tu voulais me voir couler. Mauvaise pioche.

Je le lâcha violemment au sol, et lui cracha un gros molar entre ses deux yeux de salope. Aller cheh, dans ta gueule enculé, il m'a prit pour qui lui, azy toz. Je me suis donc cassé de sa putain de baraque de bourgeois de merde.

Une fois dehors, j'ai chopé mon bigo, et appelé toute la team. Il allait voir ce que c'était d'humilier le boss d'un gang. Tu touches à ma click, tu verras on est pas tout seul.

On était donc tous les quatre, posés avec Amalia, Loïs et Amélia, la cinquième membres de notre groupe avait fait la traître, on avait donc brûlé sa maison, bref routine.

- Y'a quoi ma gueule, se prononça Amélia.

- Nouvelle personne à abattre, une ptite pute s'est bien payé de ma gueule. Répondit-je.

- Les gens sont vraiment suicidaire pour se foutre de toi, ajouta Amalia.

Loïs resta silencieux tout le long, on avait eut un petit accrochement la veille en même temps. Mais cela nous arrivait souvent, c'était juste le temps d'un jour. Même si je m'étais juré de gâcher sa vie, pas plus tard que ce matin, les événements qui avaient suivis, m'ont fait revenir sur ma décision, j'ai une autre vie à ruiner, même si cela m'arrachait le coeur, j'étais tellement amoureux putain de sa race. Mais bon, il s'était bien foutu de moi. La rage l'emportait sur lamour.

Ambiance gay { Cocopette }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant