•Pour le bien de la famille•

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??: T/p, tu ne dors pas, pas vrai ?

Cette voix, je la reconnaîtrait entre milles.

T/p: Bakugo ? Qu'est ce que tu fait ici ? Et surtout à cette heure ci ?

Le blond ferma la porte en douceur, une douceur que je n'avais pas encore remarquer jusqu'à présent.

Bakugo: Si je suis là, c'est pour te demander si tu as entendue la conversation que ton père et Aurélia ont eu il n'y a pas une minute de ça ?

T/p: Tu l'a entendue aussi ?

Bakugo : Je suppose que tu dois être énervée contre Aurélia où ton père pas vrai ?

T/p: Il est vrai que, tu n'a pas vraiment tord. Pourquoi ?

Bakugo : Parceque moi aussi.

T/p: Je peux comprendre.

C'est vrai, il va se marier avec une femme uniquement car son père ne peut plus assurer les biens de sa famille.

Je pense que j'aurais réagis de la même façon si cela avait été mon cas.

T/p: Et du coup, je ne vois pas où est ce que ça nous mène.

Nous continuons de parler de cela puis, il murmura un faible "Bonne nuit" et repassa par l'encadrement de la porte.

A peine le seuil de la porte franchi, je me laissa tomber, la tête dans mes oreillers.

Aujourd'hui, nous sommes en été, et je compte bien profiter du beau temps.

Je me leva, choisie une tenue à mettre, et sortie prendre l'air dans le jardin.

L'air frais d'un matin d'été embaumait le jardin et le soleil était bel et bien présent.

Il devais faire au alentour de 22°C, ce qui veux dire qu'il ne faisait ni trop chaud et ni trop froid.

Je me balada dans le jardin, slalomant entre les fleurs et les buissons parfaitement taillés.

Tout au bout du jardin, se trouvait un banc se balançant, personne n'était venu ici depuis une décennie.

Le banc se faisait vieux et nous pouvions le voir à la peinture bleue ciel qui commençais à disparaitre, le bois de Pin qui était souillé par la pluie et les grincement du banc pouvant se faire entendre de loin.

Soit dit en passant, cela ne m'empêcha pas d'aller m'y installer.

Je m'asseya sur le banc qui se balançait et commença a doucement être bercée.

A côté du banc, se trouvait une petite étagère où se trouvait des livres, et tout un tas d'autres choses.

Je regarda ce qui se trouvait à l'intérieur et tomba sur des journaux secrets. Ce qui me reste à savoir, c'est a qui appartenait ils ?

Aucun prénom ne me vint en tête, excepté celui d'Aurélia. Cela devrais probablement être elle, qui d'autre est ce que ça pourrait être ?

J'essayais d'ouvrir les petits bouquins, mais aucun d'entre eux ne voulait s'ouvrir.

Je remarqua que sur chacun des livres, se trouvait un coeur avec un trou aussi petit qu'une miette de pain.

Je fixa les journaux secrets et remarqua que les trou en forme de coeur, correspondaient au collier que ma mère m'a transmis.

Je retira mon collier et le plaça dans le coeur du bouquin et, comme par magie, le livre s'ouvrit.

Je ne comprenais pas ce qui se passait à cet instant, mais je regarda la première page du petit cahier noir.

Sur la première page, y était inscrit : «Ce journal appartient à Rei T/n»

Rei ? Ce livre appartenait donc à ma mère ? C'était à l'époque où elle était encore marier avec père.

Je continua de feuilleter le livre et tomba sur des textes, plus ou moins long, et certains avaient été griffonné ou abîmé, d'autres pages étaient blanches et d'autres encore avaient les bords brûlé.

Je me mis a lire les multiples pages se trouvant dans le cahier. Une page en particulier attira mon attention, cette page disait : «je n'en peux plus de vivre ici, je vais trouver un plan et emmener
T/p et Shoto avec moi».

Plus je lisais les pages, plus les pages m'intriguait. Une seconde page attira mon attention elle parlait de nouveau de moi-même : «Si par je ne sais pas quelle chance tu tombes là-dessus T/p je voulais simplement te dire que je suis désolé du plus profond de mon cœur et que je ne voulais pas tout ça, moi je voulais simplement que toi, Shoto et moi vivions simplement sans la souffrance que ton père nous a causé à tous les trois»

Je continuais de feuilleter le petit cahier noir quand Denki apparut et s'asseya à côté de moi.

Denki: T/p, ton père te cherche de partout, il voulait simplement te dire que le repas était prêt et que nous devions passer à table.

T/p: Très bien, j'arrive tout de suite.

Il s'en alla et je glissa le journal sous ma robe en mousseline rose.

Je me dirigea vers la salle à manger du château, trouvant Aurélia et père déjà assis autour de la table dressée.

En m'installant également autour de la table, je remarqua que Bakugo n'était pas encore présent.

Il arriva quelques minutes plus tard en s'excusant du retard.

Au centre de la table, nous pouvions trouver du caviar et des huîtres, comme a chaques repas.

C'est a ce moment que j'eu une réalisation. Je n'ai jamais désirer cette vie là, j'aurais sans doute plus apprécier d'avoir une vie banale, une vie sans avenir déjà tracé.

Cela aurait été probablement mieux de ne pas naître dans une famille royale.

??: T/p, tu m'écoute ?

T/p: Oh désolé Aurélia, j'étais perdue dans mes pensées.

Aurélia : Je te demandais si tu voudrais bien m'accompagner dans le but de choisir ma robe de mariée demain ?

T/p: Pourquoi pas oui.

Le repas se finit plutôt rapidement et j'alla me poser dans ma chambre avec le petit cahier noir dans mes mains.

Je lisais chaque pages que le carnet contenait, a tel point que je ne vis pas l'heure défiler sous mes yeux.

Il était a présent 00h42 alors je déposa le journal sur le bureau et me glissa sous mes draps.

Le lendemain matin, Aurélia arriva à toute vitesse dans ma chambre en me demandant de me préparer pour aller faire les magasins avec elle.

Je mis alors une robe bleue, harmonisant parfaitement avec la couleur saphir de mes yeux.

Nous primes la voiture et nous voilà rendues au centre commercial.

Pendant que nous cherchions une boutique de robe de mariée, je décida de dire à Aurélia que j'avais entendue la conversation qu'elle et père ont eu.

Hello,
Ça va ?

Bref, c'était un chapitre sans rien de bien intéressant, mais j'aime beaucoup quand même.

Bref, sinon on se voit au prochain chapitre.

Bye
LOVE <3

•Ça N'aurait Pas Dû Être Moi• Bakugo X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant