•Hôpital•

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Des pompiers, partout, vraiment partout, accompagné de policiers également de partout.

Les pompiers sortent alors un brancard afin de le rentrer à l'intérieur du château.

Les policiers quant à eux, rentrèrent également dans le palais et sortirent mon père, les mains menottés dans le dos.

Mais enfin, que ce passait il ? Mon père est roi, alors pourquoi les policiers l'emmène t-il ?

Aurélia arriva derrière père en titubant, des bleus sur le visage et des larmes coulant a pleins flots.

Aurélia : Va te faire foutre connard, crève en prison espèce d'enfoiré.

Elle tomba alors sur ses genoux, pleurant encore plus qu'elle ne pleurait déjà.

Je me dépêcha de courir vers elle, me mettre à genoux également, et la prendre dans mes bras.

T/p: Calme toi, calme toi ça va aller. Dis moi qu'est ce qui se passe ?

Elle essaya de reprendre son souffle du mieux qu'elle pouvait mais aucun son ne sortie de sa bouche.

Je compris ce qui se passait quand le brancard arriva dans l'allée du château.

T/p: Oh non non non, dites moi que c'est une blague ?

Sero, sur le brancard, le bras gauche cassé, des bleus sur la moitié du corps, les lèvres et les oreilles en sang, un œil au beurre noir et ses vêtements étaient déchirés. Il gémissait de douleur et était crispé sur lui même, se tenant le ventre avec le bras encore amovible.

En voyant mon meilleur ami a moitié mort sur le brancard, je m'effondra, l'une des personnes que j'aimais le plus au monde, était a présent entre la vie et la mort et personne ne savait si il allais s'en sortir ou non.

Je pleurais tellement, et tellement fort que je pense que mes larmes sont égale à la quantité d'eau dans la Mer Méditerranée.

Autour de moi, tout était flou, Denki et Bakugo essayaient de nous relever Aurélia et moi, mais mon esprit ressassait sans cesse les images qui venait de défiler juste sous mes yeux. Le son des sirènes, les cris de ma soeur et le boucan infernal des pompiers, tout ça allait faire exploser ma tête. A ce moment là, j'eu l'impression que tout était au ralenti, que chaques gestes exercé, était ralenti par le temps.

Après quelques minutes de pleure, je me retourna et remarqua qu'Aurélia avait disparue. Quand à Denki, il expliquait la situation aux pompiers et aux policiers car il avait vue et entendu toute la scène, et pour Bakugo, personne ne sait où est ce qu'il se trouve en ce moment.

Mon coeur se serra de plus en plus fort, a tel point que j'ai peur qu'il en explose.

Les pompiers retournèrent a l'intérieur du château, je les regardaient, toujours avec cette même impression de ralenti.

Je mis une main sur le mur, me releva avec difficulté et marcha contre le mur afin de ne pas m'écrouler.

Denki se rua sur moi en paniquant et en me demandant de rester assise. Je repoussa sa main, dans le même ralenti que depuis le début, tout autour de moi était bruyant et a la fois si calme. Les multiples bruits que mon cerveau entendait, étaient flou et ralentis, ce qui donnait une impression de paix, sauf que ce n'est pas le cas.

Je pénétra alors dans l'enceinte du château, Aurélia se trouvait devant moi, entourée de pompiers au sol, sa robe ivoire ensanglanté, du sang sortant de sa bouche et le lustre en cristaux, brisé, cassé, juste a côté d'elle puis, tout d'un coup, Bakugo arriva, en panique et me dit.

•Ça N'aurait Pas Dû Être Moi• Bakugo X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant