•Étoile filante•

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T/p: Je fait le vœu de retrouver ma mère.

Soudain, après ce petit moment merveilleux, il se mit à pleuvoir et mes talons commençaient à me faire mal aux chevilles.

La pluie commença a faire couler mon mascara et a abîmer mes cheveux.

Je détacha alors ma queue de cheval et retira mes talons.

La pluie se faisait de plus en plus violente alors je partie m'abriter sous un arrêt de bus.

Je m'assis et commença a malaxer mes chevilles pour ne plus avoir mal ce qui, soit dit en passant, n'arrangea pas grand chose.

La pluie s'arrêta quelques secondes plus tard et je put continuer ma route.

En chemin, je croisa Sero qui se dirigeait vers sa maison.

Il me remarqua et s'approcha de moi.

Sero: Qu'est-ce qui t'arrive T/p, tu es trempée et tes cheveux sont totalement abîmés.

T/p: Oh, je me suis disputer avec mon père et il m'a dit de rentrer à pied, alors c'est ce que je fais.

Sero: Tu veux que je te raccompagne jusqu'à chez toi, au moins tu ne fera pas le trajet seule ?

T/p: Je veux bien oui, merci Sero.

Sero: De rien c'est normal.

Sur la route, nous parlions de beaucoup de choses qui n'étaient en aucun cas importantes.

Sero: Si tu devais vivre dans l'univers de ton choix ?

T/p: Un monde où il y aurais des super héros, ou des pouvoirs. Et toi ?

Sero: La même chose je pense. A toi.

T/p: Si tu devais changer quelques choses chez moi ?

Sero: Tu veux vraiment que je te fasse la liste complète ?

T/p: Sérieusement là ?

Sero: Bien-sûr que non. Si je devais changer quelques choses chez toi ça serait ton sens de l'humour, il claqué au sol.

T/p: Je vois absolument pas de quoi tu parle.

Sero: Tu vois vraiment pas ? Attend j'ai un exemple :" C'est deux pomme de terre qui sont sur la route, y'en a une qui se fait écrasée et l'autre crie OH PURÉE". Ça te dit quelque chose maintenant ?

T/p: Ouais mais elle, elle est drôle.

Sero: Non. Et toi, si tu devais changer quelques choses chez moi ?

T/p: Ta classe sociale, comme ça, premièrement mon père t'accepterais et deuxièmement ta mère ne serais pas malade car tu aurais les moyens de la soigner.

Sero: C'est vrai.

Sans nous en rendre compte, nous étions arrivés.

Je salua alors Sero puis rentra chez moi.

En poussant les portes du château, Aurélia se rua sur moi.

Aurélia : Dieu soit loué tu es vivante, qu'est ce qui t'es arrivée ? Tu as les cheveux totalement abîmés et ton mascara a commencé à coulé. Viens avec moi, je vais te débarrasser de ça.

Je la suis jusqu'à la salle de bain et elle pris un coton et du démaquillant d'une main et le sèche cheveux de l'autre.

Elle pris mon menton entre ses doigts et leva ma tête.

Aurélia : Tu sais tout comme moi que d'énerver père n'est pas une bonne chose.

T/p: Aurélia, j'ai une question ?

Elle passa délicatement le coton sous mes yeux bleus et alluma également le sèche cheveux.

Aurélia : Dis moi.

T/p: Pourquoi est ce que tu le défend tout le temps ?

Aurélia : C'est notre père T/p, il est normal que je le défende.

T/p: Certes, mais tu n'a jamais remarquer que c'était toujours toi la préférée de la famille ?

Aurélia : Ne dit pas n'importe quoi, c'est faux et tu le sais.

T/p: Je n'ai pas envie que l'on se dispute alors, je vais dire que tu as raison. Merci de m'avoir démaquiller et de m'avoir séché les cheveux.

Je me leva de la chaise et pris la direction de ma chambre.

En sortant de la salle de bain, mon chemin croisa celui de Bakugo, ce qui fait que nous nous percutâmes.

T/p: Oh, désolé prince Bakugo.

Dis je en me moquant de lui et en lui adressant une révérence.

Je continua alors mon chemin sans prêter attention au fait qu'il me fixais m'éloigner de lui.

Une fois sous mes draps, j'éteignis la bougie se trouvant non loin de moi et m'endormie instantanément.

La nuit se passa sans encombres quand soudain, j'entendis des messes basses dans le couloir, et il s'agissait de père et Aurélia.

Père: Ton mariage est prévue dans un mois jour pour jour.

Un mois, déjà ?

Aurélia : Mais père, il y a énormément de trucs à prévoir comme par exemple la salle, la décoration de la salle, la robe, le repas et chez quel traiteur le faire faire.

Père :Ne t'en fait pas pour cela, j'ai déjà tout prévue à l'avance, sauf la robe bien entendue.

Aurélia : Oh je voit, très bien.

Père : Tu sais comme moi que si tu te maries c'est uniquement pour le bien de la famille ?

Comment ça ?

Aurélia : Je suis au courant, tu me l'a déjà dit, je dois l'épouser pour le bien financier de notre famille.

Père : C'est bien, tu a retenue ce que je te dit.

Elle va se marier avec lui uniquement pour le bien financier de notre famille ?

Père : Bien, maintenant va te coucher, il se fait tard.

Elle- elle va se marier uniquement pour le bien de la famille ? Je pensais que c'était elle qui souhaitez se marier.

Aurélia : Bonne nuit père.

Leurs pas s'éloignaient et je resta silencieuse, seule dans ma chambre.

Dites moi que c'est une plaisanterie, cela veut dire que l'un des plus bel homme que j'ai rencontrer dans ma vie, va se marier avec ma sœur uniquement car mon père et sa petite personne ne peuvent pas assurer sur le plan financier. En fait, il la manipule comme sa marionnette.

J'essayer de me raisonner mais des pas se firent de nouveau entendre en s'approchant de ma chambre.

Je me rallongea et fit semblant de dormir pour ne pas avoir de discussion, d'autant plus si il s'agit de père ou Aurélia.

La personne toqua alors a ma porte mais je ne répondit pas.

Elle toqua de nouveau, mais toujours pas de réponse venant de moi.

Cette personne pénétra tout de même dans l'enceinte de ma chambre.

Hello,
Ça va ?

Bref c'est vraiment un petit chapitre, mais je l'aime beaucoup quand même.

J'espère vraiment que ça vous plaît et que la suite aussi vous plaira.

Bref, on se voit au prochain chapitre
Bye

LOVE <3

•Ça N'aurait Pas Dû Être Moi• Bakugo X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant