Sur une idée de UnReveDeLiberte, avec les mots imposés par a_bolkove (désolée, désolée, désolée pour mon retard !!) :
Limerence est le nom d'un concept infini
Une vague d'errance, un rêve ou un ami
C'est comme le printemps qui lentement s'avance
Pas à pas, goutte à goutte, et en un pas de danse
Foudre, tonnerre et sang, ton image vivace
Un éclair et je meurs et tu t'enfuis hélas !
Et notre connivence est détruite d'un coup
Temps d'incertitudes, je valse avec les loups
Et toujours tu reviens et toujours tu repars
Garant de mon bonheur ta vie n'est qu'un départ
Je t'aime, je te hais, mais même sans muraille
Tu les abats, je sais, tu agrandis la faille
Personnage onirique en mes rêves maudits
Si un jour je t'aimais, la nuit je te haïs
Ma jugeote s'enfuit ma laissant triste et seule
Mon être tout entier affaibli, sale et veule
Si je ne t'avais vu que de magnificence
Cette obsession de toi devint la méfiance
Je n'avais pas besoin de quelque témoignage
Pour que ton mysticisme appartienne au mirage
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De l'Art d'enfoncer des Portes
PoetryRecueil de poèmes en tous genres, sur la vie et et son sens pour le moins incertain. NB : Souvent, quand j'enfonce des portes ouvertes, je me prends quand même la porte.