intro de la mort qui tue

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(quelqu'un connaît une mort qui tue pas ?) (vous avez 3 heures)


1ère question de philo : qu'est-ce que le beau ? c'est quand le chien s'assoit pour le susucre !

😘


Bon.

Passons aux choses sérieuses.

(ou pas)

J'ai commencé à écrire de la poésie (de la vraie, avec des rimes et tout !) (pas qu'il y ait de la "fausse" poésie, hein) cette année, en septembre 2020, à peu près.

J'avais lu Cogito, de Victor Dixen (très bon livre, à ce propos). La narratrice, Rox, écrit des haïkus. J'ai décidé de m'y mettre.

Autant dire tout de suite que les premiers ne sont pas fameux. Je ne savais pas bien compter mes syllabes.

En novembre de cette année-là ("cette année-lààààààààà" !), je commençais à écrire des poèmes plus longs, bien que répétitifs. Racontage de vie, aussi, un peu (Histoire vraie, la mienne), suite à des conversations à propos de cette étrange tristesse qui m'accable indéfiniment.

Et puis, Louise Labbé. Cette femme, c'est tout un poème (sans rire !). J'ai étudié ses 24 sonnets en français. Je n'en pouvais plus. Alors je lui en ai écrit un, en décasyllabes. Le problème, c'est que je n'avais jamais appris qu'il y a vraiment un rythme à respecter pour ce type de vers longs. Donc, il ne sonne pas très bien. Je l'ai réécrit récemment, il sera posté prochainement avec d'autres vieilleries qui s'étaient perdues entre une feuille de brouillon et mon carnet.

L'inspiration vint aussi du latin, car dans certains cours (outre l'ennui qui me poussait à écrire des haïkus), on nous demandais de traduire des textes en alexandrins. Ma nouvelle passion : écrire des sonnets en alexandrins. Seul l'un d'entre eux n'est pas publié ici, car il clôt Le silence du Vent, et ce serait du spoil de vous le montrer sans que vous ayez lu la nouvelle (mais vous pouvez aller la lire, elle est très bien !).


Bon courage, vous en aurez besoin !

LaTombe


De l'Art d'enfoncer des PortesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant