05 - Jack

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Elle avait des cernes et je sentais une irristible envie de m bafer émanée de son corps un peu trop maigre à mon goût. Elle est grande, fine et belle, certes, mais c'est beaucoup trop mince que pour que je ne penses pas qu'elle se ne se fasse pas de mal pour ne pas avoir cette ligne de mannequin/poteau. C'est vrai qu'elle est vraiment trop fine mais j'aimerais surtout, pour le moment, voir si elle va me mettre une claque ou pas. Ce serait bien de savoir si elle arrive le contrôle d'elle-même et aussi, la force qu'elle a dans les bras. Je suis sûr qu'elle n'a pas aucune force, même pas pour ouvrir un paquet de mouchoir tellement qu'elle est maigrelette. Je ne dirais pas un squelette non plus, puisqu'elle a comme même l'air de trop aimer les Oréos ou Bueno -ça je ne sais pas- que pour s'en priver totalement.

Je me mets presque à établir un profil psycologique de la personne qu'elle est. Il faudrait vraiment que j'arrêtes de me prendre pour ma psychologue ou sinon je vais finir comme elle. Une cougar qui coche avec ces patients, sauf que moi je serais plutôt un pédophile. Rien que cette idée me donne envie de remettre mon Pina Colada sur les pieds de Cunégonde qui fait du mieux qu'elle le peu pour me faire ces yeux de merlants frits et de ne pas m'en foutre une. Mais je m'en fous, je continues de rire d'elle.

C'est là que la gifle -tant attendu- arriva et je peux dire que je l'ai sentis passé. Habituellement, je suis un dur à cuir, mais là, sa gifle était monumentale, me ramenant à moi en un rien de temps. Même Hayes, qui m'avait giflé violemment une fois n'avait été aussi fort qu'elle. Comme quoi Cunégonde cache bien son jeu derrière son corps maigrelet et ses fosettes qui se dessine et se dévoile grâce au sourire victorieux qu'elle a sur les lèvres. Je vais lui faire ravaler son sourire moi!

Bambi//j.g (a.u)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant