02 - Cunégonde

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Je tentais de l'avoir par les sentiments ce Jack Gilinsky. Mais il était solide, comme du roc. Ou alors comme de la merde mais il ferait genre que non. Ca je ne sais pas, ça dépend des avis.

J'ai du mal à croire qu'il tient faire depuis si longtemps. Il est tellement beau que j'aurais cru qu'il se serait laisser faire, mais non, il me gâche mes chances plu vite que la vitesse de la lumière et du son réunit.

Même ma mère aurait déjà abandonné alors que je lui demandais la lune. Lui, il est toujours là à me regarder avec un regard mi-noir mi-charmeur, qui me donne juste envie de le glifler.

J'ai bien compris qu'il ne voulait pas, mais j'aime tellement fairre chier les gens que je pourrais lui faire les yeux de Cocker pendant des anées s'il le fallait.

Je n'étais pas vraiment quelqu'un que beaucop aime, étant donné que j'aime foutre de la merde partout où je vais. Voir même là où je ne suis pas. C'est tellement drôle à voir qu'une fois, je me suis même pissée dessus de rire. Mais bon, cela n'aurait pas été très sexy à lui dire à ce petit Jack.

Alors je joue la carte de la Bambi. Une carte qui à l'air de fonctioner avec lui. En espérant que personne, ni lui ni quelqu'un d'autre, n'asperge de déodorant. Parce que quand quelque chose fonctione, c'est à l'air libre et une aiselle,c'est toujours à l'air, non? Sauf quand on y fout du putain de déodorant qui, pour la plupart, puent la bouse de cheval en aérosol.

En attendant, je suis plus entrain de me gaver moi, que de le gaver lui. Il est presque plus tenace que moi. C'est presque si je ne suis pas à souhaiter de ne jamais le revoir. Ô Jack pendant que je te pètes les couilles, tu arrives comme même à me péter les ovaires.

Bambi//j.g (a.u)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant