42-DANSONS

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Le plat du jour est nommé « Arroz de marisco. ».
Composé de riz de de fruit de mer, c'est un plat portugais que mon ami Ernesto m'avait fait découvrir lors de ma dernière visite, d'affaire forcément, je ne prends, habituellement, jamais de vacances.

Mais avec elle aujourd'hui je fais exception.

Mes dernières vacances dates d'il y a bien longtemps, Clara me tannait souvent pour aller au Portugal.

Revenons-en à notre restaurant ;

Ester quant à elle, à craquer pour un plat très peu portugais, des linguines sauce crevette.

Nos assiettes avaient l'air délicieuse et elles le sont. Je fais gouter mon plat à Ester en lui tendant ma fourchette, et elle sourit disant, la bouche à moitié pleine, à quel point c'est exquis. On repassera pour l'élégance, je souris face à la vision juvénile face à moi, au moins elle se régale.

Discrètement, je balaye d'un regard noir et menaçant ceux qui la dévisage. Pour lui éviter le malaise qu'elle aurait assurément, la connaissant.

Tous baissent les yeux, soit avec mon regard où par l'interventions des serveurs et serveuses qui sont à nos petits soins.

Ils savent que si nous n'apprécions pas ce restaurant, en un mot je peux faire Ernesto le fermer et à l'inverse si je suis convaincu, ils rentreront dans les bonnes grâce de mon ami. Et cela leur serait vraiment favorable, entre don monétaire, et bonne réputation qui leur amènera beaucoup de monde, être bien vu par le chef des Rock's est vraiment bénéfique.

Elle finit son plat toutes contents s'émerveillant de chaque chose l'entourant, elle analyse même la couleur des tapis au sol, ou des lustres au plafond.

Elle n'a jamais dû avoir l'occasion de voyager.

Elle sirote encore son sirop à la grenadine, ses lèvres rosées posés sur cette paille noire.

Ses cheveux ont poussé depuis que je la connais. Ses boucles descendent au niveau de sa poitrine.

Les marques de son cou et poignets disparaissent au fur et à mesure du temps, d'ici un an ou deux ils auront disparu.

De la musique commence à jouer. Sa tête se lève immédiatement. Elle est radieuse.

Elle adore la musique, si elle savait le nombre de fois où je l'ai surpris à danser seule dans une pièce, musique à fond.

Ce sourire qu'elle porte quand une musique ce lance fait chaud au cœur.

Je me lève elle me regarde interrogative, néanmoins ma bien-aimée se décide à se lever et me tend sa main, je l'attrape fermement, l'attirant vers moi.

Un petit bruit de surprise se fait entendre, je souris.

Ma force la tirer contre moi, elle s'est retenu de s'écraser contre mon corps en posant par reflexe sa main sur mon torse.

Avec un léger mouvement de pied je place ses pieds dans l'axe.

Je pose ma main dans son dos, sans lâcher sa main avec mon autre main.

Cela ne fait qu'a peine une seconde que je l'ai attiré vers moi, et la surprise peut encore se lire sur son visage. Sa robe voltige encore dû à ce rapprochement brutale.

Je m'approche de son oreille et lui susurre : « Tu es prête ? ».

Elle me regarde totalement éloigné de la réalité elle n'a pas encore assimilé l'information.

Au placement de ses mains et jambes hasardeux je comprends qu'elle n'a jamais danser en duo comme une valse ou même une danse de salon.

Je souris sachant d'avance qu'elle sera impressionnée, ce qui est bien quand on danse le rock, c'est que la femme à juste se laisser guidée même si elle n'a jamais dansé.

Ma nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant