44-BIP

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Je ne sais pas réellement ce que je cherchais en sortant dans cette tenue mais ce qui était sûre c'est que j'avais perdu le contrôle de la situation.

Aaron au-dessus de moi, me regarde après cette phrase plus qu'explicite : « Je te veux, je veux être en toi. ».

Avouons qu'elle laisse peu de doute quant à son envie.

Son regard est sombre de désir, sa respiration plus au moins saccadé. Tous les muscles de son corps sont contractés. Il est évident qu'il se retient qu'il lutte avec difficulté pour ne pas me déshabiller.

Je le désire, je ne doute pas là-dessus, mais est-ce que j'ai envie de le faire maintenant, cela ne changera-t-il pas notre relation ?

Ça ne serait pas ma première fois mais cela reste intimidant, surtout avec un homme comme lui.

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Je l'embrasse dans le but de défaire son regard envieux de mon corps.

Son baiser est loin d'être doux il est brutal et désireux de plus, sa langue s'introduit dans ma bouche.

Ses mains sans grande difficulté écartent mes jambes, il place son bassin contre mon bassin.

Seul nos sous-vêtements l'empêchent d'aller plus loin.

Il stop notre baiser et me regarde fixement.

Il recule à mon étonnement ; le voilà debout devant le lit et moi allonger sur le lit.

« Je vais fermer le yeux 10 secondes, si à 10 tu n'as pas bouger, je me déshabillerai et t'arracherai ses sous-vêtements, je pense que tu n'as pas besoin que je t'explique la suite. »

Une bouffée de chaleur me parvient alors que lui, les muscles toujours contracté il ferme les yeux.

« 1 » Il compte.

Je réfléchi comme je peux rapidement.

C'est un fait je désire cet homme, mais ai-je envie de devenir intimement proche avec lui.

« 2 »

Je veux sentir son corps contre le miens.

J'ai beau essaye de réfléchir l'envie et le désir qu'il a, moi aussi je le ressens tout autant.

« 3 »

Je me redresse, à genoux au bord du lit.

Il est là devant moi. A seulement un centimètre.

Je vois ses bras et sa mâchoire crispé. Il doit vraiment avoir du mal à prendre sur lui pour me laisser partir.

« 4 »

Je pose mes mains sur son torse et le pousse doucement un peu plus loin du lit.

Il se contractent encore plus. Il a peur que je le repousse, je le vois.

Malgré tout il continue à compter, mais il a perdu en assurance.

« 5 »

Je me place sans un bruit devant lui mais à genoux.

Il tourne la tête à gauche et à droite comme s'il pensait que j'étais en train de partir.

Je pose mes mains de chaque côté de son bassin, là où se trouve l'élastique de son caleçon.

Je l'entends déglutir comprenant ma position.

Je commence doucement à baisser le tissu couvrant son membre.

Ma nouvelle vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant