Toby X Reader

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Il y a quelques années j'avais une vie normale avec des parents normaux et aimais m'a vie, j'étais une madame tout le monde et ça m'allais très bien. Un jour cependant J'étais dans la voiture avec mon père, on était en train de chanter a tue tête sur de vielles musiques qu'on aimait bien quand la voiture qui arrivée en face de nous a commencée a rouler bizarrement , a zigzaguer, a rouler au milieu de la route. quand on s'est rendu compte qu'elle aller continuer a rouler au milieu et qu'on aller la percuter il était un peu trop tard. Papa a essayer de tourner pas de chance la forêt nous attendait les bras grand ouvert, un coup de volant pour retourner sur la route ,la voiture qui était toujours la, un tonneau ou deux. c'était arriver plus vite que je ne mis attendais. J'ai vu ma fenêtre se brisée lors du premier tonneau et ma joue râpé l'asphalte a travers le trou laisser par la fenêtre casser lors du deuxième. je crois que ça a fait mal mais j'avais tellement peur que je n'ai pas senti la douleur avant que la voiture ne s'immobilise enfin , les quatre roue en l'air. Mes oreilles sifflées et je pouvais entendre la musique qui sortais toujours de la radio, la musique semblait lointaine comme si elle passé a travers un entonnoir c'était bizarre je voyais mon père avec quelque chose rouge sortant de sa tête, l'airbag qui s'était déclencher malheureusement un peu trop tard. Ma vue était floue ce qui m'empêcher de dire avec certitude ce qu'il y avait autour de moi puis petit à petit la fatigue pris le dessus et je lutta pour rester réveiller, pour appeler les urgence au moins, je chercha avec mes bras tout engourdis et douloureux, mon téléphone, je pris beaucoup de temps pour que ma vue s'améliore et compose le numéro des ambulance et je prononça difficilement mon appel au secours mais le sommeil eu raison de moi et je m'endormie à la fin de l'appel . Quand mes yeux décidèrent enfin de se rouvrir j'étais dans un lit d'hôpital des bandages me recouvrai la bouche m'empêchant partiellement de parler je pouvais toujours observer la chambre dans lequel j'étais. Pas longtemps cependant parce qu'une infirmière est arrivée. Elle semblait surprise par mon réveil, elle est partie chercher ma mère. Elle est revenue, belle et bien accompagnée de ma mère. En me voyant réveiller elle a commencer a pleurer et accouru pour me câliner.

Maman:" j'ai eu tellement peur !"

Je n'avais pas envie de répondre alors je lui ai juste rendu son câlin. J'ai appris quelque semaine après que mon père avait eu un coup trop fort sur la tête et qu'il ne s'était pas encore réveiller mais que quand il se réveillerai il aurait probablement un soucis comme de l'amnésie ou des difficulté motrice pour parler ou bouger.

Presque deux mois plus tard j'ai pu rentrer à la maison. On m'avait enlever mon bandage un mois plus tôt. L'accident m'avais laisser une cicatrice qui était tout sauf jolie. Évidement. Sinon c'est pas drôle. Mais quand tout semble aller mal il y a toujours quelque chose qui viendra te prouver que tu as tort et t'enfonce encore plus dans ton malheur. Alors même si j'arrive à trouver des bons côtés il n'y a rien qui peux cacher le regard soit de surprise soit de dégoût des gens dans la rue quand je dois faire des courses ou juste que je veux sortir mes voisins me regarde comme si j'étais un monstre. Je reprendrais les cours d'ici peu. Mais si dans la rue les gens me dévisagent seulement je peux être sûre que au collège j'aurai le droit au moquerie et au question en plus des regards qu'on m'offre si gentillement quand je passe. ça risque d'être drôle. Je suis sortie de mes pensées par ma mère.

maman:" chérie ça te dérange d'aller acheter des oeufs je n'en ai plus et j'aimerai faires des crêpes."

moi:" pas de problème maman."

Traînant les pieds j'ai enfiler mes chaussures et suis parti acheter les œufs. J'avais mis mes écouteurs aux oreilles, ça m'éviter d'entre les" eurk" ou les "pauvre enfant" des passants. Je me sentais épié de tout les côtés comme un rat de laboratoire coincé dans son labyrinthe. Je suis arrivé au magasin sans problème et j'ai fais mes emplettes comme d'habitude. C'est en sortant que les choses commencèrent à être bizzare. J'avais l'impression qu'on m'observais non pas comme avant ou c'était des coup d'œil en coin de la part des passants quelqu'un m'observais. J'ai décider de ne pas y prêter d'attention et ai continuer mon chemin. A un moment le sentiment fut tellement fort que j'eu besoin de me retourner pour m'assurer que je rêvais. Mais plus j'avançais plus j'étais parano, je me retourner régulièrement pour m'assurer qu'il n'y avais personne, que c'était juste le fruit de mon imagination, mais j'ai remarquer que a chaque fois que je me retourner le même garçon été toujours là. J'ai suspecté qu'il me suivais et j'ai fini par courir chez moi.

des one shot parce que pourquoi pas ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant