Si il y a bien un truc dont j'ai l'habitude, c'est d'enterrer aussi profond que possible ce sentiment de faiblesse que j'éprouve à chaque fois que je laisse quelque chose me briser. Seulement, pour se faire, j'ai vite compris qu'il était essentiel de s'accrocher à un autre sentiment, beaucoup plus plaisant, la haine, la rage, tout dépend du nom qu'on lui donne. Peu importe ce que certains peuvent dire sur ces conneries des étapes du deuil je reste persuadée qu'il faut passer toute celles ne concernant pas la colère et rester là dessus. La colère ne déçoit jamais, elle ne ment pas, ne fais aucune fausses promesses, et peu importe ce qu'il advient c'est la seule chose qui ne quitte jamais vraiment. C'est vrai, tout le monde sait que la rage ronge de l'intérieur, que dès le moment où on ne la contrôle plus elle s'enflamme et peut parfois brûler et pourtant cette brulure a un côté familier et réconfortant un feu anésthésiant toute les émotions qui pourraient venir, un feu contre la vulnérabilité et le calme. Mais pour être honnête le calme n'a jamais été quelque chose que je voulais ressentir et la vulnérabilité encore moins.
Je me réveille et même si je me suis efforcée à m'empêcher de pleurer et seulement me concentrer sur ce sentiment de colère.
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Divine Violence
PrzygodoweDiane est une combattante extraordinaire mais à quel prix? Une proposition et un bouleversement, des millions de nouvelles possibilités mais plus encore de secrets à découvrir. Nero est du genre sans limites. Si il veut dire ou faire quelque chose i...
