Chapitre 22 : 🍋

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Pdv Lya

Je le fixe sans comprendre, je mets ma main sur sa cuisse mais il la retire.

Moi : Mon amour ?

Il continue de m'ignorer.

Moi : Bon qu'est-ce que t'as ?

Toujours pas de réponses, vexée je mets mes écouteurs et tourne la tête coté fenêtre. Je sens sa main sur ma cuisse mais lui retire, il m'a gonflé ! La voiture s'arrête, je ne réagis toujours pas bien décider à faire la gueule, je le vois faire le tour de la voiture et m'ouvrir. Comme il obtient toujours aucune réaction de ma part il me retire mes écouteurs et se met à genoux devant moi.

Max : Mon amour parle-moi.

Moi : Tu m'as rejeté donc va te faire foutre !

Max : Ce n'est pas vrai...

Moi : Et tu vas me dire que d'enlever ma main n'est pas un rejet ?

Max : Mon amour tu n'imagines pas un seul instant l'effet que tu me fais dans ta robe et à quel point j'ai été fière que tu me défendes tout à l'heure. Si j'ai enlevé ta main c'est pour me contrôler. Tu me rends dingue, j'ai qu'une seule envie c'est de te faire l'amour toute la nuit et toute ma vie.

Je le regarde sans savoir si je dois le croire ou pas mais je décide de faire ma boudeuse et tourne la tête. Je vois qu'on est devant un hôtel magnifique.

Max : Allez mon amour, ne fait pas ta boudeuse. Sens l'effet que tu me fais dans cette sublime robe.

Il me prend la main et me la pause doucement sur la bosse de son pantalon.

Max : Tu vois si tu avais laissé ta main j'aurais été incapable de conduire. Je ne veux pas te mettre la pression mon amour. Déjà au naturelle tu es sublime, mais quand tu te fais belle seulement pour moi tu n'imagines pas comme je suis fière de t'appartenir

Moi : C'est vrai t'es fière ?

Max : Bien sur amour, tu es formidable à tout point de vue, je veux faire ma vie avec toi. Mais là je suis en train de me geler le cul alors si tu pouvais me faire le plaisir de me suivre, ça m'arrangerait !

Cette fois je rigole franchement et le suis, il entre dans cet hôtel juste sublime et dit qu'il a réservé. L'hôtesse d'accueil nous accompagne, elle m'énerve avec tous ses petits sourires.

Moi : Mon amour, regarde.

Je lui montre la photo.

Max : Ils sont trop choux, ton frère va être un super tonton pour notre Nathan.

Moi : Ouais, comme Romane et Vince. Notre fils à de la chance.

À chaque fois que je dis ou insinue que Nathan est mon fils aussi, il a un énorme sourire. On arrive rapidement à notre chambre, pardon notre suite vu la taille. Il dégage l'hôtesse qui a l'air dégouté, puis me regarde stresser.

Max : Ça te plait mon amour ?

Je lui saute littéralement au cou et l'embrasse.

Moi : Mon amour t'est complètement dingue, évidement que ça me plait, mais je te le répète, je me fous de l'endroit où on est temps que je suis avec toi et dans tes bras.

C'est à son tour de m'embrasser puis de m'allongé sur le lit.

Max : Mon amour ?

Moi : Oui ?

Max : Je peux appeler Hugo, j'en peux plus d'être loin de Nathan.

J'explose de rire et on se câline en l'appelant en visio.

De l'enfer au bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant